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Parmi les plantes contribuant à favoriser la perte de poids, celles augmentant le métabolisme de base et favorisant le déstockage des graisses occupent une place prépondérante. C’est le cas des plantes à caféine, comme le maté ou le guarana.
Particulièrement riches en caféine, les graines de guarana (Paullinia cupana) bénéficient d’une allégation de santé pour favoriser le contrôle du poids et du métabolisme lipidique et énergétique(2).
Il a été montré que la consommation de guarana induit une augmentation du métabolisme énergétique de base, donc des dépenses énergétiques, en favorisant la thermogénèse, c’est-à-dire la production de chaleur par l’organisme. Celle-ci s’effectue au niveau du tissu adipeux brun, présent chez tous les mammifères, et dont la masse augmente au cours de l’apport de guarana(3). Quatre molécules présentes dans le guarana participent à l’activation du tissu adipeux brun : caféine, théobromine, catéchine et épicatéchine.
Une étude préclinique chez l’animal montre qu’une supplémentation en poudre de guarana prévient la prise de poids lié à un régime occidental versus le groupe témoin soumis au même régime sans supplémentation(3).
Une étude épidémiologique conduite en Amazonie chez des patients âgés de plus de 60 ans montre que la consommation de guarana est associée à une réduction de l’obésité et de l’hypertension artérielle(4). De plus, par rapport à la cohorte témoin, les hommes consommateurs de guarana avaient un tour de taille plus faible et les femmes, un cholestérol plus bas.
Au-delà de la dépense énergétique liée à l’exercice, l’activité physique préserve la masse musculaire qui augmente le métabolisme de base, participe au maintien de l’équilibre glycémique et contribue à réguler les prises alimentaires(1).
Atteindre progressivement l’équivalent de 30 minutes par jour d’activité physique modérée (marche rapide) au moins 5 fois par semaine(15).
Assimilation des nutriments, synthèse de vitamines et d’acides aminés essentiels… le microbiote intestinal intervient dans de nombreuses fonctions digestives et métaboliques, dont la régulation de l’appétit grâce à certaines entérobactéries comme Escherichia coli et Hafnia alvei(6).
Présente au niveau intestinal ainsi que dans les produits à base de lait cru, l’Hafnia alvei est capable de produire la protéine ClpB présentant des similitudes avec l’une des hormones de la satiété, l’α-MSH (alphamelanocyte stimulating hormone)(7).
Une étude clinique randomisée en double aveugle menée sur 236 personnes en surpoids a testé l’apport de cette souche probiotique en association à un régime hypocalorique(9). Après 12 semaines, la perte de poids était significativement plus importante dans le groupe H. alvei et la sensation de satiété était significativement améliorée.
Une étude consommateur ayant inclus 279 personnes en surpoids, dont 81 % avaient de mauvaises habitudes alimentaires, confirment ces résultats avec des bénéfices sur le comportement alimentaire dès le 10e jour : diminution de l’appétit, du grignotage, des portions et des envies sucrées(10). Après 3 mois de prise, la perte de poids moyenne était de près de 5 %.
Le surpoids est un facteur de risque des maladies cardiovasculaires au même titre que la sédentarité, le tabagisme, l’hypertension artérielle et le diabète. Le diabète de type 2, le plus fréquent, a lui-même pour origine principale une alimentation trop grasse et trop sucrée combinée à la sédentarité.
Oligoélément dont les sources alimentaires sont variées (viande, matières grasses, céréales, légumineuses), le mécanisme d’action du chrome reste mal élucidé et son intérêt pour une population en bonne santé incertain(11).
Certaines suggèrent un bénéfice pour le picolinate de chrome en particulier(12).
Dans une étude clinique menée sur 180 hommes et femmes diabétiques de type 2, la supplémentation en picolinate de chrome a amélioré significativement la glycémie et a eu des effets bénéfiques sur la cholestérolémie(13).
Une étude ayant inclus 113 personnes souffrant de troubles de l’humeur montre qu’une supplémentation en chrome peut aider à atténuer les envies de grignotage, en particulier de produits sucrése(14).
> Réduire la consommation de graisses animales, en particulier d’acides gras saturés, et augmenter les apports en fibres alimentaires.
> Diminuer la ration énergétique en contrôlant ses portions et en limitant les aliments à forte densité énergétique, riches en lipides (fritures…) ou en sucres (pâtisseries, boissons sucrées et alcoolisées).
En conservant 3 repas par jour équilibrés, en mangeant assis, lentement et en conscience pour ressentir les signaux de satiété.