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QUESTION DE COMPTOIR
Auteur(s) : Alexandra Blanc
Allaiter n’est pas une contre-indication à la prise d’une contraception d’urgence hormonale. Cependant, les deux molécules actuellement utilisées, le lévonorgestrel et l’ulipristal, sont toutes les deux excrétées dans le lait maternel en quantité très faible (l’enfant reçoit de 4 % à moins de 1 % de la dose maternelle en fonction des molécules). Alors que le Centre de référence des agents tératogènes (Crat) ne recommande pas de suspension de l’allaitement après la prise de la contraception d’urgence, les monographies des médicaments préconisent de l’interrompre, par prudence, jusqu’à huit heures après la prise du comprimé pour le lévonorgestrel et durant une semaine pour l’ulipristal. Dans ce dernier cas, il est conseillé de tirer le lait maternel afin de continuer à stimuler la lactation et de le jeter pendant cette période.
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