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Auteur(s) : François Pouzaud
Vincent Méneux, installé en centre-ville de Clisson (Loire-Atlantique). Il emploie 6 salariés (dont 2 adjoints). Groupement : Les pharmaciens associés ; syndicat : FSPF.
Avec d’autres professionnels de santé libéraux appartenant à la maison de santé pluriprofessionnelle, nous avons mis en place un centre de vaccination commun aux médecins, aux pharmaciens et aux infirmiers. Il a élu domicile au centre d’accueil des soins primaires local. Pour nous épauler, la mairie a recruté des volontaires bénévoles chargés de l’accueil des patients. Nous avons décidé de mettre en commun toutes les doses reçues individuellement. Ainsi, les vaccinations se font uniquement dans ce centre, dans une logique d’interprofessionnalité. C’est plus simple. Nous y travaillons en binôme depuis le 9 avril sans même avoir abordé au préalable, avec l’agence régionale de santé, les conditions de rémunération et de facturation.
Ronan Le Henaff, titulaire à Rennes (Ille-et-Vilaine). Il exploite une pharmacie de quartier (10 salariés dont 2 adjoints). Groupement : Aelia ; syndicat : FSPF.
Je n’en vois pas l’intérêt pour l’instant. Des étudiants volontaires de la faculté de pharmacie de Rennes se sont précipités pour s’inscrire, mais on leur a répondu qu’il y avait suffisamment de monde dans les centres pour vacciner et qu’il n’y aurait pas de place pour eux avant l’été. Aujourd’hui, on bute sur l’approvisionnement en vaccins : j’ai reçu deux flacons cette semaine et aucun la précédente. Un centre de vaccination offre plus de facilités sur le plan logistique, mais tant que la quantité de doses n’est pas suffisante, cela ne sert à rien de vouloir prêter main-forte pour faire tourner plus longtemps ces centres. Une autre solution pour augmenter les capacités de vaccination est d’autoriser les officines à ouvrir le dimanche… quand les doses seront là.
Bernard Penicaud, titulaire en périphérie de Niort (Deux-Sèvres) emploie 7 salariés dont 3 adjoints. Groupement : PharmaVie ; syndicat USPO ; conseiller ordinal.
Sur Niort, l’activité vaccinale en centre de vaccination a été déployée par la communauté professionnelle territoriale de santé dont je suis le trésorier. Il a été installé sur le site du parc des expositions de la ville. Des pharmaciens ont répondu à l’appel et se sont dits très satisfaits. Le premier jour, 300 personnes ont reçu le vaccin de Pfizer-BioNTech. Pour l’instant, je ne vaccine pas, je suis inscrit en tant que tête de ligne et prescripteur, mon rôle se limite à questionner les patients pour vérifier leur éligibilité et à effectuer l’enregistrement avec ma e-CPS. Dans l’organisation qui a été établie, ce sont les infirmiers et les sages-femmes qui sont les effecteurs de la vaccination. Nous avons recours à des bénévoles en soutien et bénéficions également de l’aide logistique des pompiers.
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