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Auteur(s) : François Pouzaud
Julien Carabelli, titulaire dans le centre-ville de Vitrolles (Bouches-du-Rhône). Son officine emploie 7 salariés dont 2 adjoints. Groupement : Pharma Group Santé ; syndicat : FSPF.
Je n’ai pas le sentiment d’en faire plus. C’est d’autant plus difficile à estimer que je réalise des tests antigéniques à l’extérieur, dans une maison de santé, avec trois autres pharmaciens et en concomitance avec cinq à six infirmières. Je continue cependant à être sollicité à l’officine. Parmi nos patients, nous dénombrons environ 6 à 7 % de positifs pour lesquels il convient de trouver les cas contacts, mais ces derniers ne vont pas forcément se manifester et venir se faire tester à la pharmacie ou à la maison de santé. Il est difficile de les identifier et on ne va pas non plus aller les chercher à leur domicile.
Sylvie De Graeve, titulaire à Muret (Haute-Garonne). Sa pharmacie de quartier emploie 9 salariés dont 3 adjoints. Groupement : Pharma XV ; syndicat : FSPF.
Beaucoup de mesures sont mises en place pour lutter contre le Covid-19, mais la réalité du terrain est plus compliquée. Sur mon secteur, il n’y a pas forcément plus de personnes qui viennent pour un test à la pharmacie, de même que tous les patients testés positifs n’en réclament pas un nouveau à la sortie d’isolement, comme le demande notre caisse de Sécurité sociale. Il n’y a pas non plus de cas contacts qui repassent à la pharmacie pour faire un second test. Nous restons sur la même dynamique : environ 25 tests réalisés par semaine. Il faut préciser qu’un laboratoire d’analyses médicales est implanté sur la commune, organisé en drive, qu’il a augmenté sa capacité à rendre des résultats de test RT-PCR en 24 heures, et il dépote pas mal !
Hervé Burtin, titulaire en milieu rural, à Fleury-la-Vallée (Yonne), d’une pharmacie avec 2 salariés (pas d’adjoint). Groupement : Alphega Pharmacie ; syndicat : USPO
J’observe un léger frémissement. Depuis trois à quatre jours, je réalise un nombre de tests plus important que d’habitude. Cependant, il est encore trop tôt pour conclure sur une tendance à la hausse. Les nouvelles règles de dépistage ont seulement une dizaine de jours et si elles sont respectées, il est certain que j’en ferai plus. Les personnes qui ont été testées positives au Covid-19 il y a 10 jours devraient logiquement entraîner, dans les jours qui viennent, le dépistage des personnes qui ont été à leur contact. Il faut tenir compte d’un délai d’atermoiement avec ces cas contacts. On devrait pouvoir effectuer un état des lieux dans huit à dix jours, après la fin de la quarantaine, au plus tard à la fin mars, et mesurer l’impact de ce nouveau dispositif.
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