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Vous avez la parole
Auteur(s) : ■ PHILIPPE DAUPHIN, TITULAIRE À BEAUCHAMP (VAL-D’OISE)
Pour un titulaire, investir dans le capital d’une autre pharmacie en SELARL reste une bonne idée de placement : bonne rentabilité sur le long terme, bonne sécurité… mais mauvaise labilité, car si l’exploitant ne veut pas vendre ses parts au moment où l’investisseur veut récupérer ses billes, on peut rencontrer un problème.
Au moment du départ en retraite, l’exploitant peut garder une partie de ses parts pendant dix ans, alors qu’un investisseur le peut seulement pendant un an. De quoi décourager les investisseurs ayant dépassé les 55 ans.
Imaginons que le pharmacien puisse rester minoritaire aussi longtemps qu’il le souhaite, même après la retraite : cet investissement deviendrait vraiment très attractif sur le long terme. Plus besoin d’OCA, ni de booster d’apport. Pas besoin de créer un fonds éthique. Mieux vaut être « lié » à un autre confrère qu’à un fonds d’investissement. Une solution simple et facile à mettre en œuvre pour faciliter l’installation des jeunes.
Pourrez-vous respecter la minute de silence en mémoire de votre consœur de Guyane le samedi 20 avril ?
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