Retrouvez tous vos contenus sur mobile avec l'application du Moniteur des pharmacies.
Téléchargez gratuitement l'application !
Professionnels de santé, accédez à plus de contenu, réagissez aux actus et bénéficiez de tous les avantages en vous connectant à votre espace personnel.
Si vous n'avez pas de compte,
vous pouvez en créer un gratuitement !
Expertise
Nouveaux médicaments
Cortiment est indiqué pour induire une rémission chez les patients adultes souffrant d’une rectocolite hémorragique active de forme légère à modérée lorsqu’un traitement par 5-ASA (dérivés aminosalicylés) ne suffit pas.
• Le mécanisme d’action exact du budésonide dans le traitement de la rectocolite hémorragique n’est pas totalement élucidé. Il inhibe de nombreux processus inflammatoires, dont la production de cytokines et l’activation de cellules inflammatoires.
• La couche gastroprotectrice du comprimé permet une libération dans la partie inférieure de l’intestin (iléon) et le côlon ascendant.
La dose recommandée est de un comprimé de 9 mg le matin pendant au maximum 8 semaines. Le comprimé doit être avalé avec un verre d’eau, avec ou sans nourriture.
Hypersensibilité au budésonide, à l’huile de soja, à l’huile d’arachide ou à un excipient.
• Cortiment ne doit être utilisé pendant la grossesse que lorsque le bénéfice potentiel pour la femme l’emporte sur le risque potentiel pour le fœtus.
• Son utilisation est possible en cas d’allaitement.
• Des effets gastro-intestinaux (nausées, douleur et distension abdominales, bouche sèche, dyspepsie) ont été fréquemment rapportés avec Cortiment au cours des études cliniques. Des céphalées, une insomnie, de l’acné, de la fatigue, des myalgies et une diminution des concentrations sanguines de cortisol ont été fréquemment rapportées.
• Les corticoïdes à action locale exposent fréquemment à la survenue de palpitations, d’un syndrome de Cushing, d’une vision floue, d’une hypokaliémie, de changements de comportement et de réactions cutanées (urticaire, exanthème).
• L’administration concomitante de kétoconazole, d’autres inhibiteurs puissants du CYP3A4, ou de jus de pamplemousse, est à éviter.
• Un traitement concomitant par inducteurs du CYP3A4, comme la carbamazépine, peut réduire l’exposition au budésonide et nécessiter une augmentation de la dose.
FICHE TECHNIQUE
L’AVIS DE LA HAS
DITES-LE AU PATIENT
Prévoyez-vous de fermer votre officine le 30 mai prochain en signe de protestation ?
1Healthformation propose un catalogue de formations en e-learning sur une quinzaine de thématiques liées à la pratique officinale. Certains modules permettent de valider l'obligation de DPC.
Vous avez des questions ?
Des experts vous répondent !