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Éditorial
Auteur(s) : Laurent Lefort
C’est une histoire qui fait se tourner et se retourner les sangs. Petit résumé des INR (informations nouvellement récoltées) précédentes. Tout commence dans les pages de la convention pharmaceutique qui reconnaît l’utilité des pharmaciens dans le suivi des patients sous anticoagulants oraux. Justifié, rétribué et réjouissant. Enfin, réjouissant… pas pour tout le monde. Deux jours après la signature de ladite convention, les médecins ruent dans les brancards craignant que la mesure ne soit qu’une vile manœuvre pour leur ôter le pain de la bouche. Explications, conciliation, les esprits échauffés s’apaisent dans ce grand mouvement pacifique de la coopération interprofessionnelle. Une paix qui a pourtant tout l’air d’être achetée. En effet, le 6 juin dernier, à la sortie de la première réunion entre Assurance maladie, pharmaciens et médecins pour parvenir à des accords sur le suivi des patients sous anticoagulants oraux, ces derniers obtiennent un accord de principe sur le fait qu’un médecin qui équilibre, même par téléphone, un traitement d’antivitamines K soit rémunéré. Le 13 juin, les biologistes se plaignent soudainement d’être les oubliés du groupe de travail interprofessionnel sur le sujet et demandent à prendre le train en marche. Il ne faut bien entendu y voir aucune relation de cause à effet.
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