« Il peut y avoir une décote du prix si les cessions se font entre associés » - Le Moniteur des Pharmacies n° 2852 du 30/10/2010 - Revues - Le Moniteur des pharmacies.fr
 
Le Moniteur des Pharmacies n° 2852 du 30/10/2010
 
LUC FIALLETOUT, DIRECTEUR GÉNÉRAL ADJOINT D’INTERFIMO

Le grand débat

Les prix des pharmacies relèvent du libre jeu de l’offre et de la demande. Par conséquent, les vendeurs ne baisseront leurs prétentions que s’ils y sont contraints par l’urgence d’un départ en retraite, de difficultés économiques, d’un arbitrage familial ou s’ils trouvent un intérêt à vendre moins cher. Sur ce point, il y a des raisons d’espérer une évolution des comportements.

Chez les professions libérales, où le phénomène associatif est ancien, les experts-comptables ou les biologistes par exemple, il y a une nette décote sur les prix des clientèles lorsque les cessions interviennent entre associés ou au profit d’un collaborateur qui devient associé.

Dans nos dernières études statistiques, nous relevons 10 à 15 points de moins en pourcentage du chiffre d’affaire dans ces circonstances. Lorsque les protagonistes ont un intérêt et un agrément à exercer ensemble, les prix s’ajustent. Donc, cela peut aussi gagner la pharmacie avec le développement du phénomène associatif.

Vous sentez-vous régulièrement en insécurité dans vos officines ?


Décryptage

NOS FORMATIONS

1Healthformation propose un catalogue de formations en e-learning sur une quinzaine de thématiques liées à la pratique officinale. Certains modules permettent de valider l'obligation de DPC.

Les médicaments à délivrance particulière

Pour délivrer en toute sécurité

Le Pack

Moniteur Expert

Vous avez des questions ?
Des experts vous répondent !