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Actualité
Enquête
Claire Sevin, installée à Clamart (Hauts-de-Seine), est fidèle à Pharmaland depuis plus de 12 ans. Elle dispose aujourd'hui de la dernière version logicielle (V7). « A l'origine, j'avais choisi LSI parce que l'assistance et la prise en charge semblaient de qualité. Depuis, c'est une histoire d'amour, avec ses hauts et ses bas ! La V7 a corrigé les insuffisances de Pharmaland 6, notamment dans la gestion des produits de la réserve hospitalière et de prescription restreinte, et la mise en relation des informations du fichier clients avec les prescriptions. »
Au moment de passer à Pharmaland 7, Claire Sevin a fait un tour d'horizon des logiciels existant sur le marché. Ce qui l'a décidé à rester chez LSI ? Les améliorations de la V7, bien sûr, mais surtout la possibilité de récupérer son historique clients, personnel, prescripteurs, produits. Le plus pratique d'après notre consoeur : la sauvegarde ultrarapide sur clé USB et la présence de postes complets avec serveur, et pas un système « clients légers », qu'elle juge moins fiable. Sans compter l'Internet à tous les postes.
Jean-Michel Massuelle, titulaire de la Pharmacie de la place Pereire, à Paris, voulait avoir un logiciel sous Windows et il a donc opté pour Pharmaland 7 en mai 2006. Il connaissait aussi très bien les logiciels de la ligne Idiel (Softime, Créaline, Créagest) développés par l'équipe LSI, dont il est un utilisateur très satisfait. Les atouts du logiciel d'après lui : la gestion de la caisse (possibilité de rectification permanente), la facilité de facturation (notamment des avances vignettes, de la délivrance de plusieurs ordonnances pour différents bénéficiaires en ne lisant qu'une fois la carte Vitale, des retours multiples...), la fonctionnalité et la lisibilité des écrans produits (stock, réserve, commande en cours, promis, attente de réception), la gestion de commandes (programmation à date fixe pour être en flux tendu, nombre d'unités moyennes vendues par achat, duplication d'une ligne de commande avec modification d'un détail du libellé...), la gestion des périmés par laboratoire, le calcul des prix, le requêteur (transformation des données produits...). « Autant de fonctionnalités et d'astuces qui optimisent tous nos actes professionnels. »
Claire Sevin reproche à LSI l'absence de possibilité d'archivage par scanner et le manque de formation sur la version Pharmaland 7 : « Nous devons nous débrouiller seuls et faire appel à la hot line quand nous sommes vraiment dans une impasse. » Une opinion partagée par Jean-Michel Massuelle. D'autres petits points restent à finaliser : impossibilité de sortir des espèces de la caisse par exemple, d'imprimer les documents pour les médicaments d'exception, pas encore de norme PharmaML...
A chaque fois que j'ai eu un gros problème (disque dur hors service, problème de sauvegarde avec effacement des prix des spécialités...), la réponse a été immédiate et efficace », reconnaît Claire Sevin, qui souligne également que LSI est une société souple qui a pu reconnaître à un moment ses erreurs, notamment une fois la relative incompétence d'un de ses techniciens, et agir en conséquence. La réactivité de la hot line s'est aussi beaucoup amélioré d'après elle ces derniers temps.
Pour Jean-Michel Massuelle, l'écoute est bonne et la réactivité correcte. Il a relevé quelques points d'amélioration et « oublis » de programmation qui devraient être corrigés sous peu... : nécessité d'appeler séparément chacun des « crédits » au sein d'une même famille (impossibilité de faire des reports sur plusieurs membres de la famille successivement), pas de prise en compte dans les propositions de commandes du caractère saisonnier des produits.
Claire Sevin a quitté une petite SSII qui a fait faillite depuis. Elle a utilisé son logiciel de tiers payant de 1985 à 1992. « C'était une époque où nous n'avions le choix qu'entre de grosses sociétés, avec lesquelles mes confrères avaient des problèmes importants et dont les coûts étaient prohibitifs, et de petites unités dont la pérennité n'était malheureusement pas garantie. J'ai ensuite travaillé quelques années avec Pharminfor, qui a été rapidement débordée par le manque de souplesse de son système sous Prologue et l'absence de réactivité de son service de maintenance. » Pour choisir Pharmaland 7, Claire Sevin a éliminé LGPI (Pharmagest Interactive), jugé trop cher et trop orienté « commerce », WinPharma (Everys), dont elle estimait les écrans « chargés », avec trop de menus déroulants et de combinaisons de touches, même si l'aspect « à la carte » l'a tentée, Alliance Plus (Alliadis), pour son manque de souplesse et d'ergonomie à l'écran, et enfin Léo, (Isipharm), jugé « trop jeune ».
Jean-Michel Massuelle a quitté Pharmagest (Pharmagest Interactive) pour Pharmaland 7 parce qu'il ne souhaitait pas migrer vers LGPI, un logiciel dont le pharmacien ne peut devenir propriétaire et qui fait l'objet d'un contrat locatif jugé trop contraignant.
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