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Actualité
Les prescriptions en dénomination commune progressent lentement : 7,6 % des prescriptions entre décembre 2004 et novembre 2005 (+ 0,9 %), selon le « Baromètre de la prescription en DC » publié en avril par la Mutualité française (FNMF). Ce taux y est de 8,4 % pour les généralistes (+ 1 point) et de 3,5 % pour les spécialistes (en stagnation). « Il y a une quasi-disparition des comportements complètement réfractaires », se félicite la FNMF. Au dernier trimestre 2005, seuls 1 % des généralistes ont rédigé moins de 1 % de leurs prescriptions en DC contre 46 % au printemps 2002. A l'inverse, 51 % des généralistes ont libellé plus de 10 % de leurs ordonnances en DC (5 % en 2002).
La FNMF relève aussi une « forte corrélation entre prescription en DC et délivrance de génériques ». Fin 2005, 16 % des ventes de médicaments étaient des génériques, dont 8,7 % libellés en DC. Ainsi, « la délivrance de génériques est plus facile pour le pharmacien car mieux acceptée et plus claire pour le patient », assure la Mutualité. 50 à 60 % des ventes de génériques sont le fait d'une substitution officinale, supposant que « dans 40 à 50 % des cas, la délivrance de générique est facilitée par la prescription du médecin qui a prescrit un générique ou en DC ».
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