Retrouvez tous vos contenus sur mobile avec l'application du Moniteur des pharmacies.
Téléchargez gratuitement l'application !
Professionnels de santé, accédez à plus de contenu, réagissez aux actus et bénéficiez de tous les avantages en vous connectant à votre espace personnel.
Si vous n'avez pas de compte,
vous pouvez en créer un gratuitement !
Actualité
Enquête
Les ventes de préservatifs dans l'officine n'augmentent pas aussi vite que les infections sexuellement transmissibles (IST)... Les jeunes paraissent libérés mais ils sont toujours aussi timides quand il s'agit de demander des capotes au comptoir : rires nerveux, prédiv du copain qui n'a pas osé venir lui-même... D'autant plus que le malaise existe aussi du côté de l'équipe officinale. D'ailleurs, les « premières fois », les ados préfèrent de loin les distributeurs. « Nous sommes difficilement accessibles et impressionnants derrière notre blouse blanche, et il existe parfois un grand écart de générations », reconnaît Philippe Demaiter, titulaire à Rieux (Oise), qui prépare pour le groupement Giphar une nouvelle communication sur le préservatif.
« Le consommateur doit se trouver dans un univers où il se sent à l'aise. Il faut devancer sa demande en jouant le jeu de l'exposition et du merchandising. L'idée c'est pas la braderie, mais c'est de montrer les préservatifs pour en parler et susciter les achats », assure Jean-Marc Bloch, chef de produit Manix. Pour Philippe Demaiter, le pharmacien doit rester un professionnel de santé avant tout et s'engager dans la prévention des IST « en trouvant le juste milieu entre le côté ludique et le message trop agressif du sida pour sensibiliser les adolescents ».
Vous sentez-vous régulièrement en insécurité dans vos officines ?
1Healthformation propose un catalogue de formations en e-learning sur une quinzaine de thématiques liées à la pratique officinale. Certains modules permettent de valider l'obligation de DPC.
Vous avez des questions ?
Des experts vous répondent !