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Tisanes en pot
Imaginée par le pharmacien Guillaume Kreutter, la marque d’infusions, Le Jardin Aroma, pousse le concept de l’herboristerie jusqu’à amener le consommateur à cultiver ses plantes médicinales.
Véritable passionné et titulaire de la pharmacie du Pont Kuss, à Strasbourg, Guillaume Kreutter lance une nouvelle offre de tisanes qui utilisent des plantes médicinales à des fins thérapeutiques. Son idée a germé en constatant le succès rencontré par ses propres tisanes vendues dans son officine : six recettes bien-être savamment dosées, soit des mélanges de plantes fraîches bio récoltées par des agriculteurs locaux, puis séchées, auxquelles sont rattachées des allégations de santé. « Les plantes utilisées dans les infusions vendues dans les officines ne sont pas forcément françaises et leur qualité peut s’avérer médiocre. Notre ambition est de démocratiser et de diffuser l’herboristerie en pharmacie comme dans les cabinets médicaux ou, encore, auprès des naturopathes », précise le Strasbourgeois. L’objectif d’implantation est fixé tout d’abord à 400 officines, pour démarrer.
En complément, des formations sur les plantes et leurs usages sont proposées aux pharmaciens.
HERBORISTERIE LUDIQUE.
Le concept est aussi original que ludique : des tisanes sous forme d’infusettes (au nombre de 12), stockées dans des pots « eco-friendly » en kraft (prix de vente conseillé : 10 €). Leur fabrication artisanale est assurée par une équipe sous la houlette d’un pharmacien-herboriste au sein du laboratoire Le Jardin Aroma. Dans chaque pot sont placées des graines emballées dans un sachet kraft et une carte explicative sur la plante médicinale à faire pousser. Il suffit alors de placer, au fond du pot, les infusettes compostables, de rajouter de la terre puis les graines, et d’attendre que la nature fasse son travail ! À chaque pot correspondent une promesse (Digestion, Sommeil, Cycle féminin et Syndrome prémenstruel, Zen & relax, Maux d’hiver…) et une sélection de plantes. Le pot Maux d’hiver, par exemple, est un mélange de cassis, coquelicot, eucalyptus, mélisse, romarin et thym.
Un QR code renverra prochainement vers le site web, actuellement en construction, qui sera alimenté d’informations sur les plantes et de conseils pour les transformer et les utiliser, plus largement, au quotidien (recettes alimentaires, fabrication de teintures mères, de macérats de plantes, de crèmes, etc.). De facture plus classique, des plantes en vrac, emballées dans des sachets (50 g), seront à partir du premier trimestre 2024 également commercialisées (7,95 € le sachet) dans les pharmacies spécialisées en phytothérapie.
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