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Alors que l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) conclut dans son rapport final à l’absence d’arguments en faveur d’une toxicité propre de la nouvelle formule du Lévothyrox, Philippe Besset, président de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF), a indiqué ce vendredi 14 juin sur son compte Twitter que des médicaments tels que la lévothyroxine « doivent être dispensés en tenant compte de la stabilité de la formule pour certains patients ».
Réclamant depuis plusieurs mois l’annulation de l’article 66 de la loi de financement de la Sécurité Sociale (LFSS), qui doit entrer en vigueur le 1er janvier 2020, il alerte qu’à compter de cette date les pharmaciens seront dans l’obligation de substituer le princeps si le médecin oublie de mentionner l'indication "Non substituable" ou NS. « Aujourd’hui, le pharmacien a encore le choix de délivrer Lévothyrox prescrit à un patient en l’absence de la mention "NS". Demain, il n’aura plus cette marge de manœuvre », estime-t-il. Si le patient refuse le générique, il sera de sa poche puisque le remboursement du princeps se fera sur la base du prix du générique.
Bien que la substitution du Lévothyrox soit exclue de la rémunération sur objectifs de santé publique (ROSP) générique, le président de la FSPF demande à l’ANSM d’intervenir pour faire abroger cette mesure et laisser au pharmacien le droit de choisir entre princeps et générique.
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