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Génériques dans le PLFSS 2019 : finie la mention « non substituable » manuscrite
Rino
Renforcer le recours aux génériques, tel est l’objectif du gouvernement. « Le taux de substitution générique/princeps dépasse à ce jour les 80 % en France. Cependant les mécanismes en faveur de la substitution montrent aujourd’hui un certain essoufflement pour assurer le plus haut niveau possible de substitution du princeps par le générique », lit-on dans le dossier de presse de présentation du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2019. Agnès Buzyn, ministre de la Santé l’a confirmé lors de la conférence de presse du 25 septembre : « Nous devons être volontaristes pour rejoindre les autres pays européens, notamment l’Allemagne, pour la consommation des génériques ».
Deux grandes mesures sont donc annoncées. La première concerne la mention « Non substituable ». Elle devra (enfin) être justifiée « sur des critères médicaux objectifs, définis en lien avec l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) ». Ce qui reste à faire. En revanche, l’obligation de la mention manuscrite sera supprimée.
La seconde disposition concerne les patients. S’ils refusent la substitution proposée par le pharmacien, sans justification médicale, ils seront remboursés sur la base du prix du générique et non plus sur celle du prix du princeps. « C’est la responsabilité de l’Assurance maladie de rembourser à efficacité égale les médicaments les moins onéreux et s’il n’y a pas de motif médical à la délivrance du médicament de marque, alors qu’il existe un générique moins cher, et qu’il n’y a pas de mention non substituable sur la prescription, alors il n’y a aucune raison de faire supporter le surcoût de l’achat d’une marque à l’Assurance maladie », a déclaré Agnès Buzyn. Cette dernière mesure ne s’appliquera cependant qu’à partir du 1er janvier 2020 « afin de disposer du temps nécessaire pour accompagner sa mise en place auprès des patients », souligne le dossier de presse.
Concernant le remboursement du princeps sur la base du prix du générique, il me semble que cela s'applique déjà pour les génériques faisant l'objet d'un TFR non ? Dès lors, s'agit-il d'un élargissement du dispositif TFR à tous les génériques ?
Quant à "accompagner les patients", il est en effet grand temps que l'Assurance maladie communique sérieusement et simplement sur les mécanismes de remboursement des médicaments. Pourquoi pas un MOOC sur le sujet (ou une courte vidéo ;-)
qui dit tfr dit remise, donc marge en moins: donc on se la fait m.... bien profond sans en avoir l'air: c'est présenté comme une demande aux médecins et aux patients, mais le financier est pour le pharmacien, qui, jusqu'à présent, a plutôt bien fait le travail. le voilà, le milliard d'économies prévu sur le médicament: tiré une fois de plus, avec élégance et brio, de notre poche. La justification du non substituable, on va la gérer comment au comptoir? qu'est ce qui sera admis comme cause "réelle et sérieuse"? pas de générique, pas de remboursement, tout le monde sera gagnant: les médecins et nous en gain de temps, la secu en remboursement, le patient qui, c'est bien établi par les psy, est plus impliqué et donc mieux soigné, quand il paye! j'en ai vraiment marre qu'on nous prenne pour des vaches à traire!
Oui,la meilleure solution ,c'est pas de remboursement si refus du generique. Tout d'un coup, ça sera "ah si je paye , je prend l'autre" dans 90% des refractaires (qui ne sont plus que 10-12%).
Un motif médical c'est bien, l'illettrisme ou l'analphabétisme (plus rare) n'en sont pas... Pourtant pour ces patients la forme, la couleur de la boite, des comprimés etc. sont un gage de bonne observance et de sécurité. Ce sont souvent aussi ceux là qui ont des revenus modestes. Faudra t'il attendre un accident iatrogène pour que le motif de non substitution devienne objectivement médical?
Demandez au pharmacien la différence de prix entre les médicaments génériques et les autres vous serez surpris. ils sont maintenant quasiment au même prix donc effectivement la question de la marge bénéficiaire du pharmacien n'est peut-être pas là même..... et d'autre part pourquoi si les génériques sont de même qualité que les médicaments de marque ceux-ci ne sont pas utilisés dans les hôpitaux???
What else?!?
je ne suis pas d'accord avec certains ;pourquoi forcer les patients prendre ET PAYER LE surcoût les génériques , alors que le médecin a mentionné non substituable ;ce sont les patients qui trinquent si vous continuez de forcer dans cette direction , vous finirez par perdre des clients .D'autre part , pour certains patients ont le problème d'intolérances à des différents excipients ; respectez les ;pas de logique pour que les patients doivent payer en plus , alors qu'ils ont leur mutuelle . LOGIQUEMENT , c'est à l'assurance maladie doit rembourser tous les médicaments non génériques ; les pharmaciens et les médecins remplissent leur poche pour les génériques ; soyez honnêtes envers vos clients .
@Stef91 : pour information, les génériques ont commencé à être utilisé dans les hôpitaux il y a 40 ans, donc bien avant l'arrivée dans les pharmacies !
Je tiens cette information de ce que j'ai pu voir dans certains hôpitaux et et si c'est le cas dans d'autres c'est peut-être une bonne choses j'ai souvent vu en cardio des chirurgiens qui mettait bien la mention non substituable pour certains médicaments bien ciblées il y a donc une raison en ce qui concerne l'autre partie de mon commentaire sur le prix des génériques ça je l'ai vérifié de mes yeux il y a énormément de générique qui sont quasiment voir égale au prix des médicaments classique qui bénéficie de la différence de marge je ne reprendrai pas certaines phrases d'une chanson de Renaud
Et on a beau me dire que c'est la même chose les uns et les autres mais je peux vous assurer que je ne supporte pas certains générique voir certaines marques de générique comme par exemple l'équivalent du bi-profenid zentiva pour ne pas le nommé qui me donne des nausées je ne pense pas que ce soit psychologique
Enfin pour terminer
Generique et princeps c'est la meme chose ??
Ben voyons vous avez entendu parler de l'affaire du Levothyrox .....et pourtant le fabricant n'a eu l'audace de ne changer que 2 excipients et vous avez vu le resultat .
Non les generiques et les princeps ce n'est pas la meme chose il n'y a qu' a voir le nombre de specialiste qui EXIGE pour leur patient les princeps.Enfin pour moi le seul gagnant
dans cette affaire c'est le pharmacien qui se gave sur les generiques avec des marges plus importantes ,des primes versées par la Secu ,des contrats occultes passées avec les fournisseurs de generique en fonction des contrats passés avec les generiqueurs ....Mais tout ça on ne nous le dit ....le loby ds pharmaciens est tres present et influent dans les spheres gouvernementales !!!!
Generique et princeps c'est la meme chose ??
Ben voyons vous avez entendu parler de l'affaire du Levothyrox .....et pourtant le fabricant n'a eu l'audace de ne changer que 2 excipients et vous avez vu le resultat .
Non les generiques et les princeps ce n'est pas la meme chose il n'y a qu' a voir le nombre de specialiste qui EXIGE pour leur patient les princeps.Enfin pour moi le seul gagnant
dans cette affaire c'est le pharmacien qui se gave sur les generiques avec des marges plus importantes ,des primes versées par la Secu ,des contrats occultes passées avec les fournisseurs en fonction de la taille des commandes et de la" fidelité."au generiqueur .....Mais tout ça on ne nous le dit pas ....le loby ds pharmaciens est tres present et influent dans les spheres gouvernementales !!!!
Bonsoir Madame
Desolé de vous contredire mais même si je n'aime pas les generiques je ne peux pas laisser passer une telle affirmation.Ce n'est pas parce que vous avez pris des generiques que vous avez fait une tentative de suicide mais tout simplement parce qu'on vous a donné un anti depresseur sans l'accompagner d'un anxiolytique( ou que la dose de l'anxiolytique etait trop faible ou que vous n'avez pas voulu le prendre ) SURTOUT en debut de traitement Tous les medecins et en particuliers les psychiatres savent cela .....le debut d'un traitement anti depresseur s'accompagne quasi constament d'une majoration de l'anxiete et d'un risque suicidaire augmenté d'ou la necessité d'un anxiolytique en debut de traitement
C'est d'ailleurs marqué sur la notice y compris des medicaments anti depresseurs princeps .Votre medicament generique n'y est pour rien !
J'ai toujours pris des generiques depuis leur apparition. Mais, concernant le Valsartan ( que je prenais depuis 2012) j'ai eu un problème en juillet 2018, on m'a donné un generique d'un autre labo qui à son tour a été rappelé en décembre 2018!
Mon cardio, comme moi-même n'avons plus confiance en ces generique dont la production a été honteusement cédée à la Chine et l'Inde!!! Qui paie les conséquences : les patients!!!! Ce n'est pas normal!
J'ajoute sue concernant le sotalol, certains génériques, bien que noté sécables, ne le sont pas et donc en essayant de les fractionner, on en gache beaucoup! Où est l'économie quand ils ne font plus 30 jours!!!
je ne suis pas contre les génériques mais quand on m'en propose en boîte pour un mois (0,50) et que le princeps existe en boîte de trois mois mais pas le générique, je prends celui que me coûte 0,50 plutôt que celui qui me fera payer 3 X 0,50. De plus mon médicament pour le cœur qui est supposé sécable comme le princeps se coupe mal et la dose n'est pas respectée. Et que dire du pharmacien qui change de laboratoire (biogaran/sandoz). les formes des gélules est différente et le nombre varie. Pour 3 mois 90 contre 100. Où est l'économie là dedans ??
Madame Agnès Buzyn, devrait se pencher sur le fait qu'à cause des génériques, nous sommes en rupture de médicaments non substituables ordonnés, des maladies graves ne peuvent plus être soignées normalement, ça c'est un vrai problème.
Mme la Ministre Agnès Buzyn j'ai beaucoup de respect pour votre travail au sein du gouvernement mais je pense qu'avant de mettre une loi au profit d'une caisse plutôt que d'écouter le moteur du patient qui se gère avec la prescription thérapeutique qu'il utilise depuis plusieurs mois et même années dans laquelle il y trouve un peu de bien être
être malade la plupart du temps on ne l'a pas demandé ça nous tombe dessus et il faudra se dire que ce sera notre compagnon de route il nous demandera à chaque seconde hé l'ami t'as mis ma posologie à mon service et tout se passe bien et le jour vint ou il doit changer ses habitudes et en 2020 il se prénomme Générique et vient à son les taux qui prennent de l'altitude on ne sait pas quand cela s'arrêtera peut seulement au moins du comma SAMU hôpital urgence docteur lui aussi surmené au bord de la dépression
alors additionnons les coûts de toutes ces interventions et faisons un point avec le réel trou de la SS notre belle caisse qui avait pour action de protéger le corps de l'humain
ne serait pas plus intéressant de financer un bon médicament que de financer un futur cercueil
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