Enquête économique 2018 : la FSPF compte sur vos bilans d’ici le 31 juillet - 13/07/2018 - Actu - Le Moniteur des pharmacies.fr
 
13/07/2018 | Le Moniteur des pharmacies.fr ..

Enquête économique 2018 : la FSPF compte sur vos bilans d’ici le 31 juillet

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Décidée à rouvrir dans les plus brefs délais les négociations avec l’Etat sur la rémunération officinale, la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) compte sur la participation du plus grand nombre de pharmaciens pour alimenter son enquête économique annuelle de 2018. Pour pouvoir effectuer une analyse microéconomique utile, entre autres, à la défense du réseau officinal auprès des pouvoirs publics, ce syndicat a besoin des bilans des pharmacies relatifs à un exercice comptable de 12 mois clos dans le courant de l’année 2017. La FSPF garantit l’anonymat de cette enquête.

Comment participer ? Il faut désormais faire vite car les dossiers doivent parvenir à la FSPF avant le 31 juillet 2018. Pour cela, le titulaire doit télécharger le questionnaire intitulé « lp_2018-30c-imprime_enquete_economie_v2.doc » à partir du site www.fspf.fr, le remplir et le retourner en y joignant l’ensemble de sa liasse fiscale avec les données de 2016 et de 2017, soit directement par mail à ecoenquete@fspf.fr ou par courrier non timbré à l’adresse suivante : FSPF, AUTORISATION 20132, 75443 PARIS CEDEX 09. 

En l’absence de transmission des éléments fiscaux de 2016 et de 2017, « nous ne pourrions pas réaliser des comparaisons entre ces deux années, ni exploiter les réponses », insiste la FSPF sur la marche à suivre.

Pour ceux qui souhaitent déléguer ce travail à leur expert-comptable, une demande devra être faite par un courrier-type également à télécharger sur le site du syndicat. Dans ce cas, il ne faudra pas oublier, sur le questionnaire, de cocher la case demandant à son expert-comptable d’envoyer les documents comptables à la FSPF.



François Pouzaud

Les dernières réactions

  • 13/07/2018 à 20:18
    pharmaco2b
    alerter
    C est la Berezina..pas besoin de bilans 2017/2016 pour dire que c est la deche!!Et quid de la declaration de CA demandee par les ARS qui se croient toujours en 1982 ..quand il y avait des croissances a 2 chiffres
  • 16/07/2018 à 08:47
    MAURICE
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    Toujours la même impéritie des syndicats, à anticiper les conséquences de leurs signatures.
    Après l'autosatisfaction de la signature, vient la douleur de s'être fait mettre, comme l'on dit vulgairement.
  • 16/07/2018 à 10:28
    BREZHONEG
    alerter
    Et toujours aucune action offensive de protestation.....
  • 16/07/2018 à 15:17
    cf
    alerter
    Quand on voit ce que la FSPF signe pour détruire la moitié de la profession, jugée trop ringarde ...Nos syndicats alimentent seulement ceux qui profitent ( déjà) ( largement ) de la situation actuelle en leur réservant des "évolutions "sur mesure, basées sur des services que seuls les plus nantis pourront gérer avec leur personnel..
  • 17/07/2018 à 10:22
    BREZHONEG
    alerter
    Oui,mais il y a un piege qui se referme sur les "plus nantis":bientot,ils ne pourront plus le payer,ce personnel qui delivrera au comptoir pendant que les plus competents feront les entretiens.Dont l'attrait s'etiolera progressivement,vraisemblablement.
  • 17/07/2018 à 11:56
    pharmaciencensuré
    alerter
    En 2016 les honoraires pour entretiens ont représenté 1 million d'€ sur 6,7 milliards de rémunération.
    Il est sur que ces entretiens n'apporteront jamais une rémunération suffisamment importante pour être rentable et son soumis à l'accord du patient qui le plus souvent n'en éprouve pas le besoin quand il est bien suivi par son pharmacien.
    Il ne faut pas oublier qu'un patient chronique passe dans son officine entre 15 et 20 fois par an, a t'il besoin d'entretiens supplémentaires quand on lui consacre entre 15 et 20 minutes si nécessaire à chaque passage ?
  • 17/07/2018 à 12:16
    cf
    alerter
    Les syndicats comptent arriver à augmenter ces honoraires progressivement à plusieurs dizaines de millions d'euros voir plus, qui seront donc captés par une petite partie des officines ,seules capables de les réaliser.. Le problème est que ces chiffres vont augmenter de fait la rémunération globale du réseau , qui pourra alors supporter de nouvelles baisses de prix du médicament ...et les syndicats se féliciteront encore de leur choix
  • 17/07/2018 à 19:52
    BREZHONEG
    alerter
    Il faut donc demander que les budgets prevus pour les entretiens et non utilisés cette annee et les precedentes ,soient consacrés a l'augmentation de l'honoraire a la boite,; en attendant une modification du systeme puisqu'il y a constat de son echec de "protecteur" du reseau.

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