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Covid-19 : premières images d’une séance de vaccination à l’officine
DR
Madame C. a 87 ans. Alerte et bourrée d’humour, elle est venue, samedi 13 mars, se faire vacciner à la pharmacie du Parc, dans le 13e arrondissement de Paris. « J’ai confiance en mon pharmacien et c’est à proximité de chez moi », affirme-t-elle simplement.
Madame C. est la troisième personne à se faire vacciner cet après-midi du 13 mars. Christine Bihr, la titulaire, a tout organisé. Ou plutôt, elle a confirmé auprès d’une dizaine de patients leur rendez-vous de ce samedi. « Nous avons une liste d’attente de plus de 100 personnes, de 50 à 95 ans, explique-t-elle. Les gens sont venus spontanément s’inscrire depuis trois semaines au moins, lorsque les médias ont commencé à parler de la vaccination en officine. » La pharmacienne a donc calé 10 rendez-vous à raison d’un tous les quarts d’heure, à partir de 14 heures. Après avoir accueilli le patient, la pharmacienne remplit avec lui le questionnaire fourni par la Direction générale de la santé. Puis, elle l’invite à s’asseoir dans le petit local où elle vaccine. En 2 minutes, la dose de vaccin est préparée et l’injection réalisée. Christine Bihr invite alors le patient à rester à l’officine 15 minutes. C’est le temps de la surveillance. Bien entendu, la pharmacie dispose d’adrénaline en cas de choc anaphylactique. Au cours de cette attente, la pharmacienne renseigne Vaccin Covid, le système d’information mis en place par l’Assurance maladie pour tracer les vaccinations. « La semaine précédente, nous avons eu une formation par Giropharm, le groupement auquel j’adhère », souligne-t-elle.
Et qu’en pensent les médecins du quartier ? « Trois médecins vaccinent, mais deux autres sont partis à la retraite fin décembre 2020. Je cible donc leurs patients qui se retrouvent sans médecin traitant. Les pharmaciens sont complémentaires et ne se substituent pas aux médecins », répond Christine Bihr.
Tout se passe donc pour le mieux. Seule ombre au tableau : les livraisons d’AstraZeneca au compte-gouttes. « Le flacon aurait dû être livré jeudi pour une vaccination vendredi. Finalement, nous l’avons reçu vendredi. J’ai donc dû décaler les rendez-vous au lendemain », relate Christine Bihr. De fait, pour les prochaines livraisons, elle préfère jouer la carte de la sécurité : « Nous appellerons les gens lorsque nous aurons bien reçu les doses ».
Tant que c'était des pays considérés comme "petits" par nos élites ils persèveraient,à peine 1 h après l'Allemagne ils ont du rétropédaler aussi.
Annulation des rv déjà pris,il va falloir sortir les rames pour y revenir,désagréable impression d'être embarqué dans le fameux "responsable mais pas coupable" de nos politiques!
De toute façon, avec les 140 000 doses annoncées (ça diminue a chaque report d'une semaine), c'est a dire 14 000 flacons de 10doses pour cette semaine,parmi les 20 000 phies,on aurait ètè nombreux a ne pas etre livrés. Surtout si les 21 departements "rouges"et tres peuplés ont recu 2 flacons en moyenne......La Presse regionale commence d'ailleurs a ne plus y croire .Titre de Ouest France ce matin ;"toutes les phies sont pretes....il ne leur manque plus que les doses".
L'Allemagne suspend les vaccinations avec le vaccin Astrazeneca.
15/03/2021 à 16h05
Cette décision est consécutive à une recommandation de l'Institut Paul Ehrlich lequel, à la suite de nouveaux rapports de thrombose des veines cérébrales en relation avec la vaccination en Allemagne et en Europe, estime que des investigations complémentaires sont nécessaires.
Les personnes qui ont déjà été vaccinées avec Astrazeneca et qui se plaignent encore de malaise et de saignements cutanés punctiformes quatre jours après l'administration doivent consulter immédiatement un médecin. Cependant, jusqu'à présent, cela s'est produit très rarement. Il y a sept cas qui pourraient être liés à une telle thrombose cérébrale, avec plus de 1,6 million de doses d'Astrazeneca administrées .
La décision allemande suit de très peu la publication dans la presse
norvégienne d'un communiqué officiel à 14h08
Une travailleuse de la santé admise à l'hôpital avec un caillot sanguin particulier après la vaccination est décédée.
C'est ce qu'a déclaré l'Agence norvégienne des médicaments lors d'une conférence de presse lundi.
Le samedi 13, l'Agence norvégienne des médicaments et FHI ont déclaré que trois personnes vaccinées avaient été admises à Rikshospitalet en raison de cas graves de caillots sanguins.
"Rikshospitalet a déclaré que l'un d'eux était mort", dit Steinar Madsen.
La personne décédée faisait ainsi partie des trois agents de santé de Santé Sud-Est qui ont été admis avec une hémorragie cérébrale ou un caillot sanguin après vaccination . Les deux autres patients sont toujours hospitalisés
"Pour l'un des deux que nous avons admis, la condition est stable. Et dans une certaine mesure, ils répondent au traitement", dit Pål Andre Holme du département des maladies du sang.
"C'est une travailleuse de la santé de moins de 50 ans qui est décédée. Elle a été admise dans un hôpital local jeudi et transférée à Rikshospitalet vendredi. Elle y est décédée dimanche", a déclaré le médecin en chef Trine Kåsine à Rikshospitalet.
"Malheureusement, elle n'a pu être sauvée. Elle est morte hier. C'était un patient en bonne santé avant. Elle a reçu tous les soins intensifs possibles au Rikshospitalet", dit Kåsine.
Le directeur de la lutte contre les infections, Geir Bukholm, de FHI, a déjà déclaré que trois jeunes avaient été hospitalisés, et il a décrit les symptômes comme très graves et spéciaux. C'est parce qu'ils ont une combinaison de plaquettes basses, de caillots sanguins et de saignements.
L'Agence norvégienne des médicaments et la FHI ont également été informées la semaine dernière d'un décès après une vaccination avec le vaccin AstraZeneca dans les terres. Une jeune femme agent de santé est décédée des suites d'une hémorragie cérébrale. Cela fait l'objet d'une enquête en relation avec les cas de caillots sanguins, dit Madsen.
"C'est une image de la maladie qui variera légèrement d'une personne à l'autre, mais les principales caractéristiques sont présentes chez tout le monde. Ce dont nous avons parlé: faible taux de plaquettes, saignements et caillots sanguins"
"Nous évaluons s'il existe des similitudes entre les trois patients qui peuvent dire quelque chose sur la raison pour laquelle ils ont eu une maladie aussi spéciale", déclare Madsen de l'Agence norvégienne des médicaments.
1 - Enquête de pharmacovigilance du vaccin Covid‐19 Vaccine AstraZeneca
Rapport n°3 : période du 19 février 2021 au 25 février 2021
CRPV d’Amiens ‐ CRPV de Rouen
A noter, dans la procédure des cas marquant, un cas de coagulation intravasculaire disséminée (CIVD)
compliqué de thromboses multiples (cérébrale, portale et embolie pulmonaire) survenu chez une trentenaire
2 - Enquête de pharmacovigilance du vaccin Covid-19 Vaccine AstraZeneca
Rapport n°4 : période du 26 février 2021 au 04 mars 2021
CRPV d’Amiens - CRPV de Rouen
Un cas, déjà vu dans le précédent rapport car transmis suivant la procédure des cas marquants, rapporte la
survenue, 7 jours après l’injection vaccinale (lot ABV3025), de thromboses multiples (cérébrale, portale et
pulmonaire) dans un contexte de CIVD faisant évoquer un syndrome catastrophique des antiphospholipides sans
mise en évidence à ce jour d’anticorps. Evolution en cours d’amélioration.
Des cas de SAPL sont déjà décrits avec certains vaccins ainsi que dans des contextes infectieux [1-3]
Bien qu’il n’y ait qu’un seul cas en France à ce jour, mais compte tenu de sa gravité et de l’existence de cas
autrichiens de thromboses multiples ayant conduit à la suspension du lot ABV5300, nous considérons qu’il y a
un signal sur les cas de coagulopathies.
Il existe un signal européen en cours d’investigation sur les thrombocytopénies qui objective des cas
avec des thromboses multiples (08/03/2021) : proposition d’ajout des coagulopathies et les SAPL dans
la requête européenne car certaines thrombopénies secondaires ne sont pas codées comme telles et
ne semblent pas ressortir.
NB. Le 11/03/2021, le Danemark, l’Islande et la Norvège ont décidé de suspendre jusqu’à nouvel ordre
l’utilisation du vaccin AstraZeneca en raison d’un risque de thrombose.
L'INVITÉ DE 8H20 : LE GRAND ENTRETIEN France Inter
Mardi 16 mars 2021 par Nicolas Demorand , Léa Salamé
Alain Fischer, pédiatre, professeur d'immunologie et président du Conseil d'orientation de la stratégie vaccinale, est l'invité du Grand entretien de France Inter.
extraits : à partir de 4min20s
LS : Qu'est-ce qu'on a observé ?
AF : Chez une série de personnes vaccinées, la survenue de thromboses avec des anomalies de la coagulation que l'on an'a pas l'habitude de voir dans les embolies pulmonaires "classiques".
On entre dans le technique :
- un manque de plaquettes
- des anomalies de la coagulation qu'on appelle une coagulation intravasculaire disséminée ( ça parlera aux médecins )
- une consommation des facteurs de la coagulation qu'on observe dans certaines situations par exemple d'infections graves ou autres.
Et est-ce qu’il y a des manifestations cliniques ou biologiques qui sortent de l’ordinaire ? C’est plutôt sur cet aspect qu’il y a discussion. Je dis bien “discussion”
ND : Que dites-vous aux 1,3 million de Français qui ont déjà reçu leur injection d’AstraZeneca ?
AF : Les événements observés l’ont tous été dans les dix jours qui ont suivi la vaccination. Donc on peut penser que pour ceux qui ont un délai supérieur, ils ne doivent pas s’inquiéter. Pour ceux qui ont été vaccinés très récemment, il faut juste être attentif : s’il se passe quelque chose d’anormal, consultez votre médecin, c’est du bon sens. Au-delà de ça, le nombre d’événements dont on parle est très faible, autour d’une dizaine de cas. C’est tout petit, mais c’est le caractère atypique qui justifie cette attention particulière.
Tous les scénaris sont possibles.
Est-ce qu’on détecte un signal qui laisse penser qu’il y a un rapport avec la vaccination ?
Si c’est le cas, il faut reprendre dans ce contexte l’analyse bénéfice/risque revue et corrigée, au vu de ces connaissances.
Ensuite, on se demandera s’il faut modifier par exemple les personnes à qui on doit proposer ce vaccin, est-ce que des personnes ne doivent pas le recevoir, est-ce que d’autres au contraire doivent le recevoir, etc."
Aujourd'hui, on est dans une situation de doute raisonnable scientifique.
L'INVITÉ DE 8H20 : LE GRAND ENTRETIEN France Inter
Mardi 16 mars 2021 par Nicolas Demorand , Léa Salamé
extraits : à partir de 17min10s
Adrien ( pharmacien ) :
Je trouve la décision de suspendre le vaccin AZ honteuse.
Le réseau de pharmacovigilance n'évoque pas plus de risque de thrombose que dans la population générale.
Cette décision est une décision politique et une perte de chance pour les personnes à risque qui attendent de se faire vacciner.
Est-ce qu'on suspend aussi la pilule contraceptive ?
AF : on n'est pas du tout dans le même registre.
S'il n'y avait ( et c'était la situation telle que je l'ai perçue ce week-end ) que le signalement d'accidents thromboemboliques, d'embolie pulmonaire ou de manifestations de ce type, clairement le nombre de cas n'était pas tel qu'il y ait une alerte.
C'est le fait qu'il y ait quelques cas très atypiques et troublants qui justifie cette pause , cette réflexion, cette analyse.
Le temps n'est pas perdu, il est nécessaire pour l'analyse.
Les pharmaciens ne peuvent pas être prescripteurs de la vaccination COVID chez les patients atteints de troubles de l'hémostase car dans ce cas des protocoles pré-vaccinaux peuvent être nécessaires et donc nécessitent une consultation médicale.
Directives de vaccination contre le COVID-19 pour les personnes atteintes de troubles de la coagulation Fédération mondiale de l’hémophilie - 22 décembre 2020
Directives de la Fédération mondiale de l’hémophilie (FMH), de l’European Association for Haemophilia and Allied Disorders (EAHAD), du Consortium européen de l’hémophilie (EHC) et de la National Hemophilia Foundation (NHF) aux États-Unis.
Il est important que les centres de traitement de l’hémophilie, en étroite collaboration avec les organisations de patients, prennent des mesures pour informer les personnes atteintes de troubles de la coagulation sur les vaccins contre le COVID-19 et contribuent à un programme de vaccination efficace.
Les personnes atteintes de troubles de la coagulation ne présentent pas un risque supérieur de contracter le COVID-19 ou de développer une forme sévère de la maladie ; elles ne sont donc pas considérées comme un groupe prioritaire pour la vaccination.
Le vaccin doit être administré par voie intramusculaire. Il faut, dans la mesure du possible, utiliser le plus petit calibre d’aiguille disponible (25-27). Certains vaccins doivent obligatoirement être administrés à l’aide de l’association aiguille-seringue qui les accompagne et le recours à une autre aiguille peut ne pas être possible ou souhaitable. Une pression doit être appliquée sur le site pendant au moins dix minutes post-injection afin d’atténuer saignements et gonflements. En outre, il est recommandé de procéder à une auto-inspection/palpation du site d’injection plusieurs minutes puis deux à quatre heures après l’injection afin de s’assurer qu’il n’y aura pas d’hématomes tardifs. Une gêne ressentie dans le bras pendant un ou deux jours après l’injection n’a rien d’alarmant à moins qu’elle ne s’aggrave et s’accompagne d’un gonflement. Tout effet indésirable (par exemple, hématome, réaction allergique) doit être signalé au centre de traitement de l’hémophilie.
Les patients doivent immédiatement contacter leur médecin ou se rendre aux urgences les plus proches s’ils présentent une réaction allergique (fièvre, sensation de chaleur, rougeur, éruption cutanée avec démangeaisons, essoufflement ou gonflement du visage ou de la langue), car le pronostic vital peut être engagé. Les patients ayant des antécédents de réactions allergiques aux concentrés de facteur de coagulation à demi-vie prolongée contenant du polyéthylène glycol (PEG) doivent discuter du choix du vaccin avec leur médecin car le PEG est utilisé comme excipient dans certains vaccins.
De nombreuses personnes atteintes de troubles de la coagulation peuvent ne pas avoir facilement accès aux thérapies hémostatiques pré-vaccination. Dans ce cas, dans la mesure du possible, il faut tenter d’accéder à d’autres facteurs de coagulation.
En outre, les instructions ci-dessus doivent être suivies en veillant à utiliser le plus petit calibre d’aiguille possible et à maintenir une pression pendant au moins dix minutes.
Pour les patients ayant une hémophilie sévère/modérée, l’injection doit être effectuée après une injection de facteur VIII (FVIII) ou de facteur IX (FIX). Pour les patients ayant un taux basal de FVIII ou FIX supérieur à 10 %, aucune précaution hémostatique n’est requise.
Les patients sous émicizumab (avec ou sans inhibiteur) peuvent être vaccinés par voie intramusculaire à tout moment sans précautions hémostatiques et sans recevoir de dose de FVIII.
Les patients ayant une maladie de Willebrand (mW) de type 1 ou 2 doivent avoir recours à des traitements (DDAVP le cas échéant ou acide tranexamique notamment) en accord avec leur centre de traitement de l’hémophilie, et ce en fonction de leurs taux de base d’activité cofacteur de la ristocétine (RiCof) du facteur Willebrand (FW). Les patients ayant une mW de type 3 doivent recevoir une injection contenant le FW.
Tous les patients atteints de troubles rares de la coagulation (y compris ceux ayant une thrombocytopénie ou des troubles de la fonction plaquettaire) doivent être vaccinés. Ceux sous anticoagulants doivent passer un test du temps de prothrombine dans les 72 heures précédant l’injection afin de déterminer l’INR (International Normalized Ratio) ; si les résultats sont stables et dans l’intervalle thérapeutique, ces patients peuvent être vaccinés en intramusculaire.
Il n’y a pas de contre-indications à la vaccination spécifiques liées à l’hémophilie ou à d’autres troubles de la coagulation ou leurs traitements. La tolérance immunitaire, le traitement de l’hépatite C et du VIH et d’autres affections ne sont pas des contre-indications à la vaccination.
La vaccination n’est pas contre-indiquée pour les patients sous agents immunosuppresseurs (cortisone, autres médicaments immunosuppresseurs).
Les contre-indications potentielles doivent être examinées au cas par cas avec son médecin, étant donné que les recommandations varient dans les différentes juridictions en raison de l’absence de données dans des populations spéciales (notamment femmes enceintes et allaitantes).
La Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency au Royaume-Uni et les Centers for Disease Control and Prevention aux États-Unis ont recommandé de faire preuve de vigilance quant à l’utilisation du vaccin Pfizer/BioNTech en cas d’antécédents de réactions allergiques importantes. Chaque agence a publié des recommandations spécifiques pour les personnes ayant des antécédents allergiques/anaphylactoïdes.
Les personnes prenant part à une étude clinique doivent informer les investigateurs de l’étude de la vaccination.
Les informations seront actualisées au besoin sur les sites Web de la FMH, de l’EAHAD, de l’EHC et de la NHF.
Les informations seront actualisées au besoin sur les sites Web de la FMH, de l’EAHAD, de l’EHC et de la NHF.
Merci pour cette longue réponse,je rappelai juste que par rapport à l'étonnement feint de ces troubles graves de la coagulation existait quand même cette question dans l'entretien pré vaccinal.
J'ai l'impression que l'entretien pré-vaccinal sensibilise sur le fait que lors de la vaccination il y a effraction de la peau et donc risque "mécanique" de saignement non maîtrisable chez les personnes atteintes de troubles de l'hémostase, ceci indépendamment des problèmes de coagulopathies éventuellement consécutives à l'injection du "principe actif" du vaccin.
Mais c'est vrai que depuis le début de la polémique au sujet de cette vaccination, comme vous avez pu le constater, je pense qu'on entretient délibérément la confusion sur le sujet...
Pour info, la CIVD constatée en France chez une trentenaire s'est produite entre le 18 et le 25 février ...
En effet, le cas ne figure pas au niveau du Rapport n°2 : période du 12 février 2021 au 18 février 2021 dans Enquête de pharmacovigilance du vaccin Covid-19 Vaccine AstraZeneca )
A 14h, le Comité pour l'évaluation des risques en matière de pharmacovigilance (PRAC) de l'Agence européenne des médicaments (EMA) doit faire un communiqué au sujet d'une mise à jour concernant l'utilisation du vaccin AstraZeneca.
Peut-être va t'on s'orienter vers des restrictions d'utilisation dans une catégorie donnée de la population ( par exemple les individus de moins de 60 ans ? ).
Pourrez-vous respecter la minute de silence en mémoire de votre consœur de Guyane le samedi 20 avril ?
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