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Les médecins généralistes utiliseraient la mention « non substituable » pour 22 % de leurs prescriptions, selon une étude réalisée par BVA auprès de 200 médecins généralistes (dont 15 % sont installés à Paris et 85 % en province) pour le compte du Gemme (Générique, même médicament). L'âge et l'activité des médecins seraient en outre des critères déterminants, puisque « ce taux est encore plus élevé pour les médecins généralistes de plus de 55 ans et avec une patientèle importante » . Le Gemme souligne également qu'en 2011, « l'usage abusif et non justifié de la mention » non substituable « » aurait coûté près de 180 millions d'euros à l'Assurance maladie. Le 6 juin prochain, l'Assurance maladie présentera aussi les résultats d'une enquête sur le « non substituable » réalisée par les caisses primaires. Frédérick Van Roekeghem, directeur de l'Union nationale des caisses d'Assurance maladie, assurait dans un entretien accordé au Moniteur des pharmacies le 26 mai dernier, que le taux de « NS » n'était « peut-être pas à un niveau si élevé que certains peuvent l'anticiper » . D'après certaines sources, il serait de 4 %.
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