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Dispensation sous protocole : les médecins généralistes n’en veulent pas (bis)
shocky - Fotolia
L’amendement sur la dispensation sous protocole (permettant au pharmacien de délivrer sans ordonnance des médicaments à prescription médicale obligatoire pour certaines pathologies) que compte déposer le député Thomas Mesnier (LREM) dans le cadre du projet de loi Santé met en colère les médecins généralistes.
Ainsi, le syndicat MG France« s’oppose fermement et sans concession » au projet. Tout comme il s’y était d'ailleurs opposé en octobre dernier, lorsqu’un amendement similaire avait été déposé au projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2019 : « La prescription définit l’action du médecin, la délivrance définit le rôle du pharmacien ».
Aujourd’hui encore, le syndicat réfute les arguments des porteurs du projet. La dispensation sous protocole pour parer à la difficulté d’obtenir un rendez-vous avec le médecin traitant ? « Pas recevable » : le délai moyen pour obtenir un rendez-vous chez le médecin généraliste est de deux jours, avec une consultation dans la journée en cas d’urgence, selon une enquête de le DREES (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques) de 2018 citée par MG France. « Prétendre ainsi rendre service à la santé publique est donc fallacieux et surtout, dangereux », argue le syndicat. « Qui peut imaginer que le pharmacien va distinguer au simple regard la cystite aiguë de la pyélonéphrite, l'angine bactérienne de la mononucléose ? Qui peut croire que sans diagnostic les prescriptions seront moins nombreuses et mieux adaptées ? Qui peut prétendre que le pharmacien sera mieux armé que le médecin traitant pour refuser une demande de prescription injustifiée ? »
Quant au choix de la molécule, de son dosage, de sa durée de traitement, il « relève d’un acte médical ». MG France s’interroge : « Quel sera le critère de choix du produit par le pharmacien ? Comment fera t-il pour choisir entre un des nombreux produits « en vente libre» ornant ses rayons et une des molécules dont le prix, les effets indésirables et les risques ont jusque là interdit la délivrance sans ordonnance et la publicité ? »
Ce que MG France n’entend pas, c’est que la dispensation sous protocole est présentée comme une « ordonnance collective », élaborée en concertation avec le médecin.
Même son de cloche pour l’UFML-syndicat (Union française pour une médecine libre – syndicat) : « Aux médecins il ne resterait que les actes lourds. Ces actes lourds, maladies chroniques, seraient évidemment payés au forfait. » La Confédération des syndicats médicaux français (CSMF) semble plus mitigée : « La médecine évolue et les rôles de chacun aussi. Mais les évolutions doivent se faire après réflexions entre professionnels, avec l’aide des règles de bonnes pratiques, en dehors du contexte politique (…) Si les choses doivent évoluer, c’est bien après des discussions entre médecins et pharmaciens que cela doit se faire et pas dans l’enceinte de l’Assemblée nationale. » Ce que font précisément l’Ordre des pharmaciens et l’Ordre des médecins.
Ils ont raisons si on veut cela il va falloir les autoriser à délivrer des médicaments pour les urgences sans passer par la pharmacie et aussi tout les vaccins, comme cela, la vaccination dans notre pays fera un grand pas en avant, c'est aussi cela une profession qui vit avec son temps, si elle va piquer dans la gamelle des autres elle doit partager la sienne, car le temps des spoliations, c'est finit, à ce qui paraît en tout cas. À bon entendeur salut.
Et puis la rhétorique macronienne, ça vol bas. Mais peut être que nous sommes des gens de rien, nous qui ne sommes pas d'accord avec ces affairistes irresponsables qui veulent jouer au toubib. Au fait, on pourrait rappeler ce que c'est les études de médecin généraliste......
Dans plusieurs pays plus sophistiqués et civilisés que le nôtre, l’acte de diagnostic est réservé au médecin (qui, de par ses études, ne connaît que très peu le médicament) mais l’acte de prescription est établi par le pharmacien (qui ne connaît que très peu le diagnostic). A chacun ses compétences, sinon chacun fait le boulot de l’autre et on n’avance pas.
D'autant plus que nous faisons déjà une bonne partie du job non! puisque nos amis médecins sont suuurmenés ,suurbooqués , faaatigués . Avances et délivrances et exceptionnelles sont quotidiennes ...Pincez moi ou je suis le seul !
Qu'ils commencent par payer leur URSSAF comme tout le monde au lieu de se le voir quasi offert par la sécu au titre de la permanence des soins qui n'est plus assurée d'où le transfert aux urgences transformée en salle d'attente de généralistes ou aux maisons médicales attenantes aux urgences et souvent déléguées à des cow boys(qui n'ont même pas de n° Finess ou RPPS) par les médecins qui devraient prendre la garde.
Répartition géographique, telle est un plus que début de solution et augmenter au lieu de le supprimer le numerus, cette mesure n'est que du vent pour faire croire que l'on fait en ne faisant rien, car former 1000 médecins de plus qui méprisent le rural et vont s'entasser en ville comme maintenant, c'est de la fumisterie . Sans la répartition, comme la pharmacie, cette mesure n'est rien qu'un rideau de fumé, un miroir aux alouettes et buzyn le sait très bien.
Le problème, c'est que les médecins sont pour la répartition géographique. Ce sont les internes qui refusent. Et quand les internes bloquent l'hôpital, le gouvernement cède...
Ce qui veut aussi dire que leur ordre soit ne sert à rien par faiblesse ou complicité, en tout il me semble que si on n'a pas supprimé certains ordres après la chute de petain c'est parce que on croyait qu'ils pouvaient être utiles à mettre de l'ordre dans des professions sensibles, et là on voit que ce sont les internes qui commandent. Dans les avocats celui qui a complote contre filon a été saque suite au docu bfmtv.
chacun son métier , moi je suis contre , c'est la porte ouverte à tout.un pharmacien est avant tout un commerçant qui veut faire du chiffre d'affaire, c'est pour cela qu'ils sont intéressés......
je suis contre ....chacun son métier, le pharmacien est un bon commerçant qui cherche à augmenter son chiffre,en aucun cas il n'est médecin....ils veulent etre partout....appareils auditifs, lunettes loupes, rendez vous diététique etc etc etc.....faire du fric ....
Ne dis pas de bêtises... En quoi "on veut être partout" ? Tu crois que j'ai demandé quelque chose moi ? Mon travail actuel me convient et je trouve que ces nouvelles missions ne tiennent pas la route.
Sinon, tu crois qu'un médecin ou une infirmière ne veut pas "faire du fric" ? Bien sûr qu'on cherche tous à gagner notre vie. Et il n'y a rien d'insultant à ça.
Exacte. Depuis la loi hpst de la Bachelot, les politiques cherchent à ce résultat, en clair foutre la merde entre les professions de santé. Diviser pour régner. Le problème c'est qu'il y a des pseudo collègue qui tombent dans le panneau : je l'ai vécu avec les prothèses audio. En plus, la formation fut sabotée. On est trois donc trois demi heure. Quand la vendeuse formatrice est arrivée, la titulaire c'est mise à téléphoner, indecrochable du combiné, trois fois je lui est rappelé qu'elle était là et qu'elle s'impatientait et au bout d'une demi heure elle a enfin "raccroché et m'a balancé que ma formation était de fait annulée car faute de temps qu'elle a perdue et que serait la préparatrice qui me formerait et qui serait la référence. Donc officiellement je n'ai jamais été formé, donc impossible de faire le conseil la prospection de ces machins ces dispositifs médicaux, sauf qu'un jour une patiente qui avait l'habitude d'être servie par moi m'a demandé pour ces machins. Je m'en suis occupé dans la pièce de confidentialité non confidentielle, j'étais en train de faire les procédures du début, elle est venue et foutu le bordel, car elle avait oublié ces procédures. Donc il a fallut que je passe outre, c'était cela ou l'esclandre devant le patient et ensuite les représailles au motif que j'avais raison. Bien sûr l'examen auditif foirra car elle avait fait ce qu'il fallait, et au passage elle passa pour une incapable, il va de soit qu'on a bien rigolé avant de recommencer pour arrivé au résultat du conseil d'aller voir un vrai professionnel..... L'atteinte étant trop forte. Et la titulaire, elle a fait essayé une prothèse alors que c'est les deux à un patient à acouphènes, ce qui interdit car la sanction de chaque interdit est un vertige. Je n'ai rien put faire, je l'ai vu vaciller, il c'est heureusement bloqué contre le comptoir.... Donc je le redis à chacun son boulot et les vaches seront bien gardées.
A Beffroi62: pourriez-vous m’expliquer pourquoi le médecin généraliste prescrit des produits pharmaceutiques qu’il n’a passé que quelques mois à étudier alors qu’un pharmacien a passé la majorité de ses études à s’en familiariser et n’est considéré en France que comme un commerçant??! Encore une fois, la compétence principale du médecin est le diagnostic et le “ruling out” de pathologies plus spécialisées ou funestes (ce que fait le pharmacien au quotidien mais à son niveau, ceci dit en passant, en conseillant le patient d’aller consulter le généraliste s’il juge que le patient ne peut être soulagé par les médicaments en vente libre). Dans beaucoup d’hôpitaux de par le monde, le médecin réalise le diagnostic mais c’est le pharmacien qui choisit le traitement. C’est une évolution logique de l’utilisation optimale des compétences de chacun, sinon il faudrait revoir les études de pharmacie en France et former pendant deux ans à la vente... Quant à l’attrait pécuniaire de la profession, il me semble que les laboratoires visitent plus facilement les prescripteurs que les délivreurs...
A Nick64 : entièrement d'accord avec vous, nos six années d'études pourraient être mieux exploitées !
Le problème est qu'un patient qui entre dans une pharmacie a plus souvent à faire à un préparateur (2 ans d'étude en apprentissage) qu'à un pharmacien (bac+6) et le pharmacien présent ne peut pas vraiment tout contrôler.
Pas plus tard que la semaine dernière, j'avais une ordonnance urgente, je suis rentrée dans une pharmacie que je ne connaissais pas et j'ai été servie par une jeune dame, seule dans l'officine à ce moment-là, sans blouse et sans badge. C'est assez désagréable de ne pas savoir à qui on s'adresse...
Exact, cela ne dérange pas certains titulaires de laisser sans diplômes leur officine. Comme avoir son assistant qui rentre à 9h30 partir juger les autres et obliger son assistant à rentrer à 9h15 deux jours et ainsi la pharmacie reste de 9h à 9h 15 avec la préparatrice et son conjoint qu'elle sait envoyer au comptoir le cas échéant et aussi foutre le bordel et jouer le patron dans l'officine en son absence, comme le jour où j'ai du refuser une délivrance inappropriée car et je me suis fait agresser par lui car je ne fais pas rentrer le fric dans la caisse....
Rien n'interdit au patient de demander à qui il s'adresse.
Je sais bien que la législation impose à chacun son étoile jaune, restant à savoir si les patients en connaissent la signification ou ont tous très bonne vue.
De plus en plus, les personnels en pharmacie ne portent pas d'identification (à commencer par les titulaires) et c'est probablement un signe des temps.
Mea culpa, je suis le premier, bien que pharmacien, à travailler en civil, mais le problème n'est peut-être pas là, mais passant pour le titulaire, qui en a la responsabilité, que les personnels en question sont qualifiés et suffisamment nombreux pour que les uns puissent contrôler les autres au lieu de pleurnicher que la marge n'est pas linéaire sur une boîte à 2000€ qui, bien souvent, ne prend pas plus de temps à délivrer qu'un produit classique.
Exactement ce que je voulais entendre enfin reconnaître. Le devoir d'un titulaire est de veiller a ses effectifs, qu'ils soient suffisant pour la bonne marche de l'officine ne pas le faire est une faute grave de manquement à tous ses devoirs professionnels. Et faire qu'il en soit ainsi est pire que tout. On ne met pas dans un vaisseau de premier rang de 120 l'équipage d' une frégate de huit. C'est ainsi que je me suis retrouver à remplacer pendant deux mois et demi la préparatrice, plus le deballeur de commande entre chose à la retraite mais qui faisait la commande du matin, il était prévu qu'il ne soit pas remplacé, continuant à bosser discrètement, et en plus la titulaire qui quand elle ne foutait pas le camp et ne passait pas son temps dans le bureau longuement avec un représentant ou à glander était planquée au salon à glander, et en plus je me tapais le téléphone car il n'y en a pas dans le bureau et je devais répondre en plus du comptoir et des ordonnances faxees voir mal faxees, voilà comment on arrive à avoir la peau de son assistant boulet pour cause d'ancienneté en plus de motifs personnels, en plus de tenter de lui faire tarifier perfadom une facture secu, une infirmière et une pour le patient de matériel du forfait, ce qui fut une guerre quotidienne d'un mois avec échec journalier.
Ou une simple question de mode vestimentaire, pourquoi voir le mal là où il n'est pas toujours, et ce d'autant que les fameuses étoiles jaunes garantissent le diplôme de ceux qui les arborent, mais pas forcément leur compétence ni un ratio préparateurs/pharmaciens idoine qui, indépendamment du chiffre d'affaires, dépend de l'agencement des comptoirs.
NB: je ne me sens pas visé, nous sommes jusqu'à 3 pharmaciens diplômés dans un espace restreint où chacun entend et voit ce qu'il se passe à côté quand bien même les préparateurs ne seraient pas pris d'un doute légitime qu'ils nous soumettent régulièrement.
Cela dit, bien sûr, le "zéro défaut", ça n'existe que dans les rêves.
celà fait vingt cinq ans que je pratique mon métier de pharmacien dont vingt en tant que titulaire et je serais
trés heureuse de pouvoir délivrer certains traitements
les week ends de garde celà valoriserait notre métier
d épiciers ou de commerçants sans foi ni loi
Et bien si vous pensez que vous êtes une épiciere sous prétexte que vous ne pouvez pas jouer au toubib, c'est que vous n'avez pas tout à fait compris les fondements du métier. Un rempart pour faire en sorte que ce qui est un médicament ne devienne pas un poison. Ce qui d'ailleurs loin d'être le cas quand je vois une affaire Naomi entre autre. Et donc légaliser la délivrance des listés ce n'est pas de l'épicerie. Elle est bien bonne celle là. Pourtant vous avez fait vos études dans les années 80 comme moi. Pas dans la même fac il est clair.......
Petit silex répond à Caius Je ne me prends pas pour un toubib ! Encore mieux pour un épicier mais je pense me sentir capable de délivrer une fosfomycine un fucithalmic un codoliprane ou un tussidane!De nombreux pharmaciens européens le font et je crois que leurs clients je dis bien clients ne s en portent pas plus mal ! IL ne faut pas toujours se sentir inférieurs aux médecins Nous avons des connaissances et vu la pénurie de toubibs ce serait une très bonne mesure
Il ne s'agit pas de se croire inférieur aux médecins il s'agit de ne pas jouer au toubib, et de s'adonner à la délivrance tiroir caisse de complaisance et je rappel que lorsque ces antibiotiques seront obsolètes faudra pas se mettre à chialer et de jouer l'innocence béate. Mais puisque mr le pharmacien propose des solutions aux "urgences" Il a oublier de demander à ce que les prescripteurs aient certains médicament pour satisfaire aux urgences le fucithalmique le monuryl, cela évitera au patient de faire des kilomètres pour un malheureux tubes, et puis aussi tous les vaccins surtout la grippe comme cela la couverture vaccinale sera bien supérieure et performante surtout avec tous ces vaccins obligatoires, mais je pense que cela ne te convient pas car le vrai but est de légaliser la délivrance tiroir caisse de complaisance, ce qui ressort de l'article bfmtv avec la présidente. Et je te rappel une fois de plus qu'il y a des médecins de garde les jours de garde
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