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Une enquête* menée par l’institut Ifop pour la fondation Adrea concernant les attentes et besoins vis-à-vis de la fin de vie et dévoilée mardi 22 novembre révèle que les Français sont très partagés sur la manière dont est prise en charge la fin de vie.
Une très courte majorité des répondants (53 %) considère qu’elle est bien prise en charge. En détail, seulement 7 % des personnes interrogées se montrent convaincues de la bonne prise en charge en France pour 46 % qui se prononcent sans conviction.
Même si la fin de vie reste une source d’angoisse pour les Français, le tabou qui l’entoure commence à s’estomper. Faire connaître ses volontés en matière de soins et de traitements est primordial pour 51 % des répondants et important pour 41 %. Les Français sont cependant encore peu au courant des dernières volontés de leurs proches sur la fin de vie. Une très courte majorité déclare connaître les volontés de leur conjoint en matière de fin de vie (51 %). Cette proportion diminue à moins d’un tiers concernant les volontés de ses parents (32 %) et à 16 % pour ses enfants.
Si le fait de connaître ses propres volontés quant à sa fin de vie est important pour 92 % des Français, ils ne sont qu’une minorité à avoir déjà entendu parler des directives anticipées. Parmi ceux qui connaissent les directives anticipées, seulement 12 % en ont déjà rédigées.
* Auprès de 1 002 personnes âgées de 18 ans et plus
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