Economie de l’officine : l’USPO réunit en urgence l’ensemble de la profession - 06/06/2016 - Actu - Le Moniteur des pharmacies.fr
 
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Economie de l’officine : l’USPO réunit en urgence l’ensemble de la profession

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A l’approche des discussions autour de la préparation du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2017, l’Union des syndicats des pharmaciens de France (USPO) prend les devants en invitant tous les représentants de la profession (syndicats, Ordre des pharmaciens, associations de groupements et étudiants de pharmacie) à une réunion d’urgence, vraisemblablement le 15 juin prochain.

Son objectif : décider d’une stratégie commune pour éviter que le prochain PLFSS ne « saigne » à nouveau les officines. Elles n’ont pas besoin de cela : sur le premier quadrimestre 2016 par rapport à la même période de 2015, le chiffre d’affaires officinal sur le médicament remboursable a baissé de près de 1 % et la rémunération du double (- 2,04 %).



François Pouzaud

Les dernières réactions

  • 06/06/2016 à 17:52
    Gardarem lou l'arrache
    alerter
    Merci à l'uspo d'être proactifs et de ne pas se coucher devant le pouvoir public qui est entrain de saigner à mort toute une profession pour laisser place à des chaînes capitalistes anglo-saxonne .
  • 06/06/2016 à 18:34
    BREZHONEG
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    Mouais!!! Unis pour ne rien faire,comme a chaque fois?OU ENFIN COMBATIFS?
  • 07/06/2016 à 01:19
    Jean-Patrice Folco, Pharmacien titulaire
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    Il ne s'agit pas de se coucher devant les pouvoirs publics mais de faire des propositions permettant de sortir la profession de la situation économique dans laquelle elle se trouve.
    Depuis maintenant 2 ans l'USPO nous abreuve de chiffres et de tableaux qui n'ont aucune signification, tout d'abord parce les chiffres issus d'extrapolations sont tout à fait contestables et que les tableaux associent une rémunération indépendante du PFHT avec une rémunération dépendante du PFHT.
    Si l'on rajoute que depuis 2 ans l'USPO rend le syndicat majoritaire seul responsable des difficultés économiques de la profession on a du mal à croire à une possible concertation entre syndicats et encore moins si l'on rajoute l'ordre, les groupements et les étudiants. Plutôt qu'une concertation on serait plutôt dans un procès en destitution pour faire reconnaitre l'USPO comme seul syndicat apte à nous défendre et seul à faire des propositions permettant de sortir l'économie officinale de l'ornière dans laquelle elle se trouve.
    Si nos difficultés économiques proviennent bien du fait que les paracétamols augmentent de 20 centimes (ce qui est faux) et que les médicaments pour chroniques baissent de 8 centimes (ce qui est tout aussi faux), pourquoi ne pas proposer de baisser la rémunération des paracétamols de 8 centimes et d'augmenter celle des médicaments pour chroniques de 20 centimes, si l'on suit l'USPO cette proposition simpliste devrait permettre de sauver l'économie officinale.
  • 07/06/2016 à 07:30
    ppp
    alerter
    Le modèle économique de l'officine voulu par la FSPF, par transformation de la marge en honoraires, transformation d'actes faits de tout temps gratuitement, en actes facturés au patient devenu client, est irréaliste, et mort-né.
    L'USPO essaye de rattraper les erreurs.
  • 07/06/2016 à 08:47
    FranckP
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    Il serait temps que les syndicats soient imaginatifs, au lieu de tourner en rond de puis des décennies autour du prix de la boite ET du médicament générique. Depuis le temps qu'ils se battent on a perdu le marché de la prestation, le marché de la PDA est en voie d'extinction, nos boutiques ne valent plus rien etc.., et pendant ce temps, on ubérise de tous côté.
    La seule chose nouvelle : un honoraire à la boite.. plus on vend de boite plus on gagne... Terrible....Il faut apporter des idées neuves, peut être que cela nécessitera du sang neuf pour le faire ?!?
  • 07/06/2016 à 08:54
    Jean-Patrice Folco, Pharmacien titulaire
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    La forme de notre rémunération n'a pas changé depuis 1999, ce qui a été modifié c'est l'équilibre entre la part forfaitaire et la part marge.
    Aucun des syndicats n'a pris la peine de chercher à comprendre le fonctionnement de cette rémunération, et le fait que la part forfaitaire soit appeler honoraire n'en change pas les effets économiques.
    Ce n'est pas la forme de rémunération qui détermine le modèle économique, mais le modèle économique doit être adapté à la forme de rémunération, ce qui n'est le cas de notre modèle depuis 17 ans, et pas plus l'USPO que la FSPF ou l'UNPF n'en tiennent compte.
  • 07/06/2016 à 12:17
    blabla
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    Merci à l'USPO de ne pas réfléchir et de mener une guerre d'arrière-garde.
    Ils n'ont pas compris que le modèle fondé sur la rente et la vie de rentier est révolu et qu'il s'agit dorénavant de passer à autre chose. Faire baisser massivement les prix des officines, ouvrir le marché des OTC à d'autres circuits du moment qu'un pharmacien est aux commandes et se recentrer sur la pharmacie clinique, le coeur du métier, c'est à dire devenir un prestataire de service rémunéré à l'acte et non un simple commerçant qui a perdu toute légitimité.
    Le manque de connaissance des titulaires est pathétique.
    À part la courbe de leur chiffre d'affaires et leur panier moyen plus rien n'existe.
  • 07/06/2016 à 12:31
    coco
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    l'USPO a t elle quelque chose à proposer à part passer son temps à tirer la sonnette d'alarme ? c'est bien beau d'alerter mais il faut faire de VRAIES propositions aussi ..... faire noter " substituable" sur les ordo par exemple ça sert juste à RIEN....
    comme d'habitude à l'uspo, ils vont prendre les idées des autres, dire que c'est NUL sans rien proposer d'autre, et si jamais on arrive à leur faire comprendre que c'est bien, ils diront que c'était leur idée... super des mecs comme ça...
  • 07/06/2016 à 12:39
    Kalinka
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    Mais c'est quoi votre image d'illustration???
  • 07/06/2016 à 12:39
    Kalinka
    alerter
    Mais c'est quoi votre image d'illustration???
  • 07/06/2016 à 15:10
    Citrobilou
    alerter
    Mais que de haine contre l'USPO! Pour une fois que quelqu'un essaye de nous sortir du merdier...

    Il doit bien y en avoir que la situation actuelle arrange sinon l'USPO n"aurait pas tant de détracteurs.

    Essayons donc d'être contructifs pour TOUS sans rancoeur contre qui que ce soit.
  • 07/06/2016 à 17:01
    Jean-Patrice Folco, Pharmacien titulaire
    alerter
    A t'on le droit de penser que c'est l'USPO qui nous enfonce dans le merdier..... sans que l'on soit taxer de propos haineux.
    A t'on le droit de dire que ce que dit l'USPO est faux et que son discours est nuisible à l'ensemble de la profession car il supprime toute possibilité de discussion, car apparemment son président est le seul à détenir la vérité.
  • 07/06/2016 à 17:23
    Citrobilou
    alerter
    "pour TOUS sans rancoeur contre qui que ce soit."
    bis repetita
  • 07/06/2016 à 17:34
    BREZHONEG
    alerter
    Alors qu'actuellement la situation politique et syndicale nous montre avec quelle vigueur il faut attaquer les decideurs,force est de constater que nos syndicats en sont toujours aux couinements plaintifs...suivis de pas grand chose. Faisons tranquillement connaitre la difference de traitement de remboursements entre l'Alsace et le reste du pays,en exigeant la fin de la Secu a 2 vitesses (par le haut,l'unification,evidemment),et rien que ça, ca mettra un gros probleme dans le debat presidentiel .
  • 07/06/2016 à 18:46
    ppp
    alerter
    Mr FOLCO a parfaitement le droit de dire que c'est l'USPO qui nous met dans le merdier. Mais c'est une contre vérité, car c'est la FSPF qui a signé cette calamiteuse convention, qui nous a fait changer de modèle économique, et précipiter dans la chienlit.
  • 07/06/2016 à 19:08
    Jean-Patrice Folco, Pharmacien titulaire
    alerter
    Contrairement à ce que vous affirmez le modèle économique n'a pas changé, pas plus d'ailleurs que notre mode de rémunération qui est toujours composé d'une part forfaitaire et d'une part marge (non linéaire). Seul l'équilibre entre les 2 types de rémunération a été modifié.
    Notre modèle économique est basé sur une augmentation des volumes de ventes par augmentation du trafic à travers une offre produit alors que notre forme de rémunération demande une approche qualitative pour matriser la typologie des volumes ce qui est impossible avec les stratégies mises en place.
    En assimilant la part forfaitaire à de la marge, l'USPO commet une erreur lourde de conséquence pour la profession puisqu'il ne remet pas en cause le modèle suivi par la majorité de la profession.
    La modification de la rémunération signée par la FSPF accentue les difficultés économiques engendrées par l'inadaptation de notre modèle à notre forme de rémunération, mais c'est le modèle qui est en cause pas la modification de la rémunération dont la forme ne change pas.
  • 08/06/2016 à 09:30
    miroirauxalouettes
    alerter
    M. Folco, s'il-vous-plaît, dites nous avec des chiffres le modèle que vous préconisez.
  • 08/06/2016 à 11:27
    Jean-Patrice Folco, Pharmacien titulaire
    alerter
    Ce que vous demandez est relativement compliqué, mais il est possible de vous apporter une réponse.
    Le modèle économique qui est suivi majoritairement est un modèle marchand visant à augmenter les trafics en empruntant les stratégies de la GMS.
    Le principal problème de ces stratégies appliquées à l'officine est qu'elles s'appliquent sur un référencement limité par rapport à la GMS puisque ciblé essentiellement sur la santé et que la conséquence première est la faiblesse du panier moyen client.
    Par exemple le panier moyen d'un LECLERC est de 42 € quand celui du pharmacien de la galerie est de 26 €.
    Plus les stratégies reposent sur une mise en avant des prix et plus les paniers moyens baissent, ce qui est un effet mécanique qui donc ne se maîtrise pas.
    L'avenir de la profession est de revenir à un modèle qualitatif en abandonnant le modèle marchand quantitatif.
    Seul un modèle qualitatif permet d'augmenter le panier moyen client et d'augmenter la rentabilité.
    Le modèle que nous suivons donne un panier moyen inférieur à 35 € alors qu'un modèle qualitatif donne un panier moyen pouvant atteindre et dépasser les 50 €.
    Il est quasiment impossible en suivant un modèle marchand d'atteindre les niveaux de paniers moyens d'un modèle qualitatif.
    En résumé pour reprendre un ratio utilisé par les comptables le modèle que nous suivons aboutit à 1 salarié pour 300 000 € de C.A quand pour un modèle qualitatif ce ratio peut atteindre et dépasser 1 employé pour 600 000 € de chiffre d'affaires, tout ceci bien évidemment dépend du niveau du panier moyen client atteint par l'officine.
  • 08/06/2016 à 16:06
    miroirauxalouettes
    alerter
    Je ne sais pas ce que c'est un panier moyen qualitatif.
  • 08/06/2016 à 16:24
    Jean-Patrice Folco, Pharmacien titulaire
    alerter
    Un panier moyen qualitatif est un panier moyen obtenu par un ciblage précis de la patientèle à travers une démarche qualité rigoureuse.
    Par exemple une démarche reposant sur le développement d'une offre produit conduit à un ciblage plus large qu'une démarche reposant sur une limitation de l'offre produit.
  • 08/06/2016 à 18:15
    ppp
    alerter
    Mr Folco vous pourriez sortir de votre charabia.
  • 08/06/2016 à 19:25
    Jean-Patrice Folco, Pharmacien titulaire
    alerter
    Pour résumer et faire plus simple les pharmacies qui s'appuient sur la para et l'OTC pour se développer augmentent leur fréquentation et rajeunissent leur clientèle, ces pharmacies ont un panier moyen client quantitatif qui baisse avec l'augmentation de la fréquentation.
    L'évolution du chiffre d'affaires des médicaments (remboursables et non remboursables) et de la rémunération qu'ils apportent est liée au vieillissement de la population.
    Les pharmacies qui s'appuient sur des stratégies permettant le vieillissement de la patientèle ont un panier moyen qualitatif qui augmente avec l'augmentation de la fréquentation.
  • 09/06/2016 à 08:00
    ppp
    alerter
    donc s'appuyer sur L'OTC et la parapharmacie donne un panier moyen quantitatif qui baisse avec la fréquentation. Et vieillir la patientèle fait augmenter un panier qualitatif avec l'augmentation de la population.
    C'est drôlement tordu.
    Mais vous ne parlez que du CA si j'ai bien compris. Mais le CA n'a plus aucune signification. Ce qui compte c'est augmenter la marge résultante.
    Or votre schéma nous replonge dans le problème de la pharmacie à savoir un client ( CPAM) unique qui comme Leclerc impose ses prix, sans tenir compte des besoins de ses fournisseurs . Et nous arrivons au même paradigme que l'agriculture. L'étouffement.
    De plus il nous est impossible de jouer sur les volumes, puisque ceux-ci sont limités par l'ordonnance, Donc l'amélioration du panier qualitatif, ne peut exister dans notre profession, sauf par fraude.
    Et dernier élément les médicaments de plus de 450€ voient leur marge régresser jusqu'à un plafond de 1500€, résultat la marge diminue à la vitesse grand V au fur et à mesure que les médicaments chers sortent de l’hôpital. Pour info cette tranche représente déjà 1/3 de mes achats chez le grossiste avec 5,8% de marge.
    C'est au contraire un schéma impossible a tenir.
    Je veux bien changer de modèle, mais il faut qu'il soit viable. Ce qui n'est pas le cas du votre, ou alors je n'ai pas compris.
  • 09/06/2016 à 08:51
    miroirauxalouettes
    alerter
    M. Folco, vous parliez de changer de modèle de rémunération. Que les politiques et les syndicats ne nous proposent pas de modèle de rémunération adapté. Or, vous nous parlez de rémunération et de stratégie de développement des pharmacies selon la typologie de clientèle. Quel nouveau mode de rémunération prônez vous ?
  • 09/06/2016 à 09:06
    Jean-Patrice Folco, Pharmacien titulaire
    alerter
    Effectivement vous n'avez pas compris. Je n'ai jamais parlé de C.A mais de panier moyen.
    Vous posez comme postulat que l'amélioration du panier quantitatif ne peut pas exister dans notre profession, permettez moi de vous contredire.
    Plus de 70% des ALD se retrouvent chez les plus de 60 ans et ce pourcentage augmente avec le vieillissement de la population.
    Le panier moyen des ALD est le plus élevé avec une moyenne d'environ 100 €.
    Une patientèle avec 60% de patient de plus de 60 ans aura donc un panier moyen qualitatif plus élevé qu'une patientèle avec 40% de plus de 60 ans.
    Le vieillissement de la patientéle de son officine va donc provoquer une augmentation mécanique (et non frauduleuse) du panier moyen qualitatif.
  • 09/06/2016 à 09:55
    ppp
    alerter
    Alors la vous rêvez, et navré de vous contredire, mais le panier moyen n'est jamais que le CA divisé par le nombre de client. Le qualitatif devenant a terme le quantitatif, D'autre part le panier moyen pourrait augmenter, si la cpam ne diminuait les prix.
    Non il faut trouver en dehors de la CPAM (et des mutuelles qui ne sont que des vampires supplémentaires) de nouveaux marchés.
    C'est sur ce terrain que nous attendons des propositions, la CPAM n'ayant aucune intention d'améliorer les choses.
    En tous les cas je vous remercie de préciser votre pensée. Car enfin un peu de clarté dans ce dédale est nécessaire.
  • 09/06/2016 à 12:50
    Jean-Patrice Folco, Pharmacien titulaire
    alerter
    Vous rappelez la définition du panier moyen, mais si le panier moyen macroéconomique peut être affecté par la baisse des prix, ce n'est pas automatiquement le cas au niveau micro économique.
    Il est bien évident que si le pourcentages d'ALD (avec un panier moyen de 100 €) dans les ordonnances passe de 25 à 30% dans une officine le panier moyen va augmenter même si la baisse de certains prix fait baisser le panier moyen de 1 €
  • 09/06/2016 à 15:48
    ppp
    alerter
    Mais vous êtes dans la théorie pure ou voulez-vous aller chercher des ALD, ils ne dépendent pas de vos choix, mais sont une conséquence du vieillissement.
    Mais si dans le même temps les prix chutent, votre panier moyen en fait de même.
    D'autre part vous n'êtes pas sans ignorer que le gouvernement s'évertue à combattre ce qu'il considère comme une plaie : l'ALD.
    Rien ne dépend de nous dans ce domaine, seul l'OTC et la para peuvent nous empêcher de sombrer.
    Même les missions disparaissent de notre horizon, car mal financées, chronophage.
    La seule solution, c'est que le gouvernement arrête le massacre, et que les syndicats ouvrent le combat.
    Ou alors on ferme les pharmacies, et l'on vend autre chose. C'est d'ailleurs pourquoi 30% des jeunes diplomés vontt voir d'autres hiorizons.
  • 09/06/2016 à 16:34
    Jean-Patrice Folco, Pharmacien titulaire
    alerter
    Si l'augmentation du nombre des ALD est une conséquence du vieillissement c'est donc que ce n'est pas de la théorie pure mais la réalité.
    Aller chercher des ALD dépend bien de nos choix puisque les stratégies visant à vieillir la patientèle vont donc faire progresser le nombre d'ALD.
    Votre choix est de vous reposer sur l'OTC et la para pour vous développer, c'est à dire une stratégie visant à rajeunir la patientèle et ayant pour conséquence première de faire baisser mécaniquement le Panier Moyen Ordonnance et donc le Panier Moyen Client.

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