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L’Ordre national des pharmaciens a présenté ce mardi 2 juin les chiffres de la démographie professionnelle, dénombrant 74 492 pharmaciens au 1er janvier 2015, dont les trois quarts sont des officinaux. Ce chiffre a progressé de 0,29 % en un an.
La tendance est au vieillissement de la profession. L’âge moyen des pharmaciens est de 46,6 ans et même de 49,9 ans pour les titulaires d’officine. La génération la plus représentée est celle des 53-57 ans. De leur côté, les pharmaciens âgés de 58 à 67 ans sont plus nombreux du fait de retards de départ en retraite, dont l’âge est de 63 ans en moyenne.
Comme les années précédentes, l’Ordre relève un taux important d’évaporation des jeunes diplômés. En fin d’études, 27,8 % des pharmaciens, soient 862 personnes, ne se sont pas inscrits à l’Ordre en 2014. Autres éléments de stabilité, les adjoints devenus titulaires sont au nombre de 664 et la proportion de femmes dans la profession est de 67 %.
La section D (adjoints) totalise 27 544 inscrits, la section A (titulaires d’officine), un effectif de 27 380 inscrits.
Les officines sont aujourd’hui 21 772 en métropole et 629 en outre-mer. En 2014, il y a eu 123 fermetures définitives de pharmacies, suivant le rythme déjà observé les précédentes années d’une fermeture tous les 3 jours environ.
Les sociétés de type SEL et SPF-PL connaissent un intérêt croissant, au nombre de 8 053 pour les premières et 479 pour les secondes. Une pharmacie sur 6 est liée à une autre pharmacie par des parts croisées dans le capital.
Les vieux pharmaciens se cramponnent au comptoir ...faut croire que la place est pas si mauvaise ...
Les jeunes ont bien compris qu'avec les salaires qu'on leur propose ,ils ont meilleurs compte à aller voir ailleurs (la grande distribution entre autres .)
La section D on en parle pratiquement pas ...comme d'habitude ...elle intéresse pas grand monde ...
Triste profession !
quelque soit le sujet évoqué, c'est toujours la faute du titulaire
ça devient lassant.....
la profession n'est pas si triste que ça quand on aime ce qu'on fait
croyez-vous que quand MEL aura le monopole vous n'aurez pas échangé un cheval borgne contre un aveugle
demandez donc à ceux qui sont passés par la grande distribution ce qu'ils en pensent.....ailleurs l'herbe est toujours plus verte...à force de scier les branches, vous n'aurez plus guère de choix
c'est l'union qu'il faut et non l'inverse pour la défense de votre diplôme
MEL doit bien rigoler....
je suis d'accord avec mimi, il faut arrêter avec le titulaire qui s'en met plein les poches. Ayant été adjoint pendant plus de dix ans et maintenant titulaire depuis deux ans, je peux vous assurer qu'il ya des bons et moins bons dans les deux côtés....
être titulaire à notre époque, plus de 80 heures par semaine, salaires moindre que mes pharmaciens et pourtant j'y suis allé... peut être qu'il faut savoir sauter le pas!
et restons souder comme le 30 septembre pour être fort devant mel (pas besoin de majuscules, il ne le mérite pas)
pour les adjoints l'autonomie de travail et les salaires sont plus interessants en grande distribution....j'ai travailler dans les 2 environnements.
avoir une hierarchie qui vous fait confiance et vous remunére sur 13 mois + prime est plus valorisant que de travailler dans certaines officines .....
ce n'est pas qu'ils se cramponnent c'est qu'ils n'arrivent pas à vendre...60% des officines sont invendables en l'état et de plus les repreneurs solvables diminuent d'années en années...l'officine n'intéresse plus les néo pharmaciens qui lui préfèrent industrie, l'hôpital, les cliniques...voir un tout autre métier, une reconversion...les pharmaciens titulaires sont les seuls responsable de ce désastre (et je m'inclus dedans) nous n'avons pas su intéresser nos jeunes, les motiver, nous ne leur avons pas donné la confiance, les responsabilités, les perspectives qu'ils méritaient...il suffit de lire les commentaires sur ce site et ailleurs, de discuter avec des pharmaciens pour se rendre compte de la grande détresse qui touche les adjoints jeunes et moins jeunes, humiliés, méprisés...nous avons eu une vision court-termiste calquée sur nos échéances de prêt...notre vision de l'officine s'est limitée à sa valeur patrimoniale....je noirci le trait volontairement par provocation mais c'est une faillite collective, morale et nous portons tous la responsabilité du marasme profond dans lequel se trouve la pharmacie d'officine française en 2015...
Dès lors que le plus gros client s'appelle les organismes sociaux, l'officinal est contraint à passer sous ces fourches caudines.
Mais ayant pu à la fois travailler comme officinal avec en prime un laboratoire d'hydrologie accrédité Cofrac, en milieu rural, je constate que l'officinal s'est précipité, depuis longtemps, dans la voie supposée royale du seul produit remboursé, oubliant sa formation universitaire polyvalente, oubliant que tout système impose de la recherche et du développement afin d'anticiper les vaches maigres.
A qui la faute.? Je ne sais. Je ne peux que souhaiter bon courage à ceux restant encore sur le navire officinal, trop vieux pour être appelé Titanic. Normandie, peut être
c'est désolant de voir aussi peu de combativité
si nous étions unis nous serions plus forts
on a l'impression d'une lutte de classe sociale
à quoi a servi le 30 septembre? Pourtant il me semble qu'il y avait salariés et titulaires cote a cote dans les rues.....
Il y a des officines à vendre, il faut vouloir s'installer, travailler et étudier de nombreux dossiers en dehors de ses 35 heures. C' est fatigant, c'est pas payé, c'est incertain et ça ne compte pas dans les heures de travail du futur titulaire.
Il faut oser, il faut avoir l'envie d'entreprendre, il faut être audacieux, combatif et persuasif... Bref faut pas être pleurnichard.
Tout à fait d'accord avec titu33.
Les anciens titulaires veulent gagner sur tous les tableaux : beaucoup, installés depuis longtemps, ont bien vécu et veulent céder leur pharmacie à des prix beaucoup trop élevés par rapport à la situation actuelle, avec souvent du personnel en surnombre, laissant au successeur le soin de licencier ! Merci l'ambiance !
Les repreneurs n'ayant pas d'apport suffisant sont de plus en plus nombreux à reprendre en SEL 49/51, même dans des officines assez petites, avec l'apport financier de pharmaciens plus âgés bien installés. Ce systėme a permis un certain temps de maintenir des prix de reprise trop élevés, mais à quel prix humain ! Compression du personnel , ambiance de pression permanente, peur de ne pas savoir faire face aux échéances bancaires....
Titulaire. ...depuis 8 années et.... je paie toujours pas d impôts : je viens de faire ma déclaration par internet.
j en payais quand j étais adjoint....pour 1524 heures par année et aujourd'hui, ou plutôt le 1er juillet 2015, je franchirai les 4000 heures non stop depuis 1 année.
Et non....je n ai pas payé trop chère ma pharmacie.
Mon métier m a conduit aujourd'hui à prodiguer les premiers soins d urgence à un de mes patients, nécessiteux, qui s etait arraché, avait jeté malheureusement, son ongle d un gros orteil et s était fait une désinfection et un pansement en vitesse avec ce qu il avait sous la main...c'est à dire...rien, hier lundi.
Donc soin d'urgence aujourd hui à 18 heures, amené par un voisin. Pansement compressif betadiné apres avoir nettoyé 15 minutes la plaie. Les risques encourus sont un erisipele, et un risque septique fort, vu l état de la jambe et du pied...
Bref je l ai "préparé" pour mon confrère et ami, son médecin généraliste qui va passer le voir ce soir (vu le boulot qu il a, ce sera pas avant 23h...).
IL redesinfectera, fera le pansement, prescrira une antibiotherapie costaud, Il partira à minuit de chez...notre patient.
Mon métier ?
Pharmacien titulaire, d une moyenne officine, dans un désert medical.
La secu va être contente, c est 300 euro de moins d admission aux urgences, où le patient ne serait de toute façon jamais allé. ..sauf dans 1 semaine, avec une septicémie, et là c'était 1 semaine en hospi...
Le salaire de mon confrère medecin, ce sera 23 euros.
Le mien ? Quedalle.
Notre satisfaction ? Faire notre metier au service de nos patients, dont nous avons le soutien, la sympathie et la gratitude...
Je ne donnerai qu un conseil aux nième posts ci dessus...
choisissez votre manière de travailler, exercez comme vous le souhaitez, et il y aura moins de post negatifs de titulaires ou d adjoints.
Mais si en sortant de la fac, vous regardez le patrimoine de papa pharmacien, ou si vous lorgnez sur les vitrines de club de golf...changez de métier ou alors vous avez la "chance" de pouvoir achetter une superstructure à 5 millions d euros, mais vous ne ferez pas de la pharmacie. ..fallait faire HEC !
phcien que faut-il faire? dégraisser le mammouth et donc licencier du personnel (dont les adjoints?) pour qu'un jeune phcien puisse s'installer, ou sauver ces emplois si convoités en période de chômage? je pense, selon votre raisonnement, qu'il faut licencier car dans le cas contraire, le titulaire exploite honteusement son adjoint(e) tout en se serrant la ceinture pour pouvoir le payer à la fin du mois. Quant à celui qui part se ballader (ça c'est dit ), il évite parfois le conflit avec un salarié peu motivé mais vindicatif! c'est le plus intelligent qui cède, n'est ce pas?
Mel, c'est rien, c'est dérisoire. Mais en même temps c'est un poison dangereux, un parasite capable de détruire des pans entiers de l'économie. Et on ne va pas lui faire le plaisir de prononcer son nom, il aime trop ça...
Bonjour à tous,
Ancienne de l'industrie (bon souvenir en R&D), passage éclair par la grande distrib (entre les réunions avec les gros bras machos et le déballage de palettes au petit matin, circulez ya rien à voir) et maintenant titulaire surendetté ...
J'ai été extrêmement bien payée en temps que salarié ... je ne peux pas en dire autant aujourd'hui puisque je ne me paie pas en attendant de passer le mauvais cap (encore 10 ans à rembourser la banque et à ne surtout pas divorcer de mon cher époux nourricier ...). Mon prédécesseur a effectivement touché le jackpot sans se soucier de la pérennité de son entreprise et de son équipe ! J'ai signé sans être consciente de tout ce que je sais maintenant et j'ai la prétention de vouloir faire mieux pour mon entreprise ... La pharmacie d'officine est mon métier préféré; à mon sens c'est celui qui a le plus de lettres de noblesse car il faut avoir beaucoup d'empathie et de courage pour s'adapter à tout ce qui se passe.
Titulaire et adjoints, nous sommes dans le même bateau et je trouve insupportable les adjoints qui crachent dans la soupe sans avoir le courage de s'installer eux-même !
Mon adjointe à qui j'ai proposé de lui donner la pharmacie si je gagnais à la loterie m'a honnêtement dit qu'elle n'en voulait surtout pas.
Mon équipe officinale est formidable et connait la hauteur de mon engagement et de mon sacrifice.
Soyons solidaires, les vrais loups sont dehors !
Continuons à bosser, à développer notre vrai métier de conseil et de service et à communiquer sur notre savoir-faire auprès de nos patients même s'ils ne sont pas toujours informés et reconnaissants.
En attendant chers titulaires, ce que vous nommez MEL comme toutes vos autres bêtes noires de la grande distribution n'attendent que d'inonder le marché et, de ce fait, de créer des emplois dans la profession car, comme dans le reste du monde (attention au petit nombril cocorico!), plus il y aura d'officines en hypermarchés moins il y aura de pharmaciens au chômage... Ouvrez les yeux et regardez l'état de la profession; nous avons le même diplôme et certains d'entre-vous ont fait de l'assistanat au préalable mais peu nous respectent en tant qu'adjoints, le salaire reste un grand tabou français et l'Etat nous tire vers le bas eu égard nos emplois du temps et leurs fiscalisation anarchique. A quand une modernisation dans le pays avec des pharmaciens prescripteurs et moins de marchands du temple?
Nous avons besoin de l'argent des grosses structures pour nous payer, nous former convenablement et nous faire évoluer. Vous essayez de sauver des meubles en vous noyant avec.
Signé: un pharmacien qui a travaillé partout dans le monde.
''sans avoir le courage de s'installer eux même ''...eh oui toujours 2 types de pharmaciens :les bons qui s'installent et les mauvais qui restent assistants...d'ailleurs un assistant avec de l'ancienneté c'est ''suspect'' et puis ça COUTE à l'entreprise !
vous prenez un malin plaisir à jeter de l'huile sur le feu
vous êtes tous des aigris qui ne croyaient même plus à votre diplôme
c'est bien triste
tout ce qui motive c'est votre salaire?
Le salaire est DEJA une forme de reconnaissance de notre travail ...quand on pense que beaucoup de jeunes sont payés au dessous du coeff 400 sous pretexte qu'ils n'ont pas passé la thèse ça laisse quand même reveur !
chez moi les assistants ont toujours été à 500
vous faites des généralités et ne cherchez pas plus loin
encore une fois avant tout vous devriez être mobilisés pour défendre votre profession
vous êtes libre de prospecter pour trouver une meilleure officine que celle où vous êtes si cela ne vous plait pas
votre attitude est de critiquer et puis c'est tout
vous ne savez rien des difficultés des "nantis" installés et vous retranchez derrière des clichés
vous faites le jeu des requins et en serez les victimes encore plus que ceux qui auront exercé toute leur vie parce que vous vous n'aurez plus qu' à vous reconvertir : là où actuellement il y a un assistant par officine il y en aura un muselé par la grande surface qui imposera ses dictats purement commerciaux
et après on n'aura + besoin de pharmacien du tout! C'est ça que vous voulez?
à quoi bon avoir fait ses études là si vous y croyez aussi peu....
A Mimi: "...là où actuellement il y a un assistant par officine il y en aura un muselé par la grande surface qui imposera ses dictats purement commerciaux et après on n'aura + besoin de pharmacien du tout! C'est ça que vous voulez?
à quoi bon avoir fait ses (ces) études là si vous y croyez aussi peu....".
Pourriez-vous svp m'apporter des références de publications pro ou sociales étrangères d'après lesquelles le nombre de pharmaciens employés a diminué suite à l'entrée ds le jeu des grandes surfaces?? Bien au contraire, les nombres de contrats équivalents aux CDI ont augmenté. Les GS sont, comme toutes personnes physiques ou morales ds le pays, obligées d'obéir aux lois donc pas de diktat possible à l'encontre du CSP. Qt au commerce... N'est-ce pas le passe-temps préféré des officinaux? Donc oui, à quoi bon faire des études avec espoir de s'enrichir par le commerce, sans réelle reconnaissance de la part des professions médicales/paramédicales à proprement parler, lorsque même le financement n'est plus au rdv?
c'est que justement la pharmacie n'est pas un commerce comme les autres figurez vous
ce qui compte normalement avant votre porte monnaie c'est le service rendu à votre patient
vous l'oubliez complètement dans votre discours
vous n'êtes pas mieux que la poste qui ferme ses bureaux non rentables!
avant de parler de publications étrangères regardez dans votre propre pays combien de personnes isolées sont laissées de coté
croyez vous que la GMS prendra le temps de discuter avec la petite vieille du coin de la rue sans pour autant ne lui avoir rien délivré que de l'empathie
si c'est votre façon de voir les choses....oui vous êtes commerçant! allez vendre et remplissez le caddie de votre patron
Ce qui est sur ,c'est que la GMS paie des boîtes de com pour assurer sa promo....pour jouer du miroir aux gentilles alouettes!
'Bernard 59 et violette ´savent dans quelle catégorie se ranger...
Ce qui est sur ,c'est que la GMS paie des boîtes de com pour assurer sa promo....pour jouer du miroir aux gentilles alouettes!
'Bernard 59 et violette ´savent dans quelle catégorie se ranger...
Violette, je vous très clairement gonflé de tenir des propos pareils. C'est pas parce qu'on est assistant qu'on "mauvais" comme vous le dites. Ils se trouvent que certains assistants ont de meilleurs connaissances que leurs titulaires. Mais bon, si vous jugez que la "qualité" équivaut au management d'une entreprise, je ne peux rien faire ...
oui les vieux s'accrochent car pour certain titulaire ils gagnent plus en travaillant qu'en retraite.
c'est vrai pour les salaires il y a des places meilleur que d'autre comme dans tous les métiers.
c'est vrai aussi un adjoint coute plus cher a une entreprise qu'un préparateur. mais n'oublions pas une chose c'est le patient qui fait la rémunération des employés, pas l'employeur.
et pour finir ne rêvons pas il existe des règles salariales, en période difficile, les coutumes ne peuvent plus s'appliquées.
Il y a des années que le problème du statut des adjoints se pose, je ne comprend pas alors que nous sommes maintenant plus nombreux que les titulaires l'Ordre ne propose rien pour améliorer ce statut , permettre aux adjoint d'avoir vraiment un avenir autre que de s'entendre dire que nous sommes des froussards, des fainéants et j'en passe. Pourquoi ne pas arriver à trouver un moyen d'avoir un vrai déroulement de carrière, je pense qu'il faudrait vraiment revoir l'organisation de la pharmacie en France. Enfin, c'est toujours bon de rêver...
A phcien71.
Oui, rêvons,rêvons...je pense que ça fait 20 ans que l'on nous fait croire que nous aurons un jour une évolution de carrière. La preuve, nous ne sommes plus des "assistants" mais des " adjoints" !
Je trouve les titulaires très touchy sur ce blog! Peut-être ai-je frappé à la bonne porte...
Je ne fais pas mes courses en GS et consomme local, je n'éprouve aucune affection pour MEL, mais je constate de mon petit point de vue que je n'ai jamais connu le chômage en tant que pharmacien dans les pays où les chaînes existent, je le connais depuis que je suis rentré en France et me heurte aux petites mentalités de pharmaciens qui ne connaissent rien d'autre que leurs petites institutions françaises et leur système archaïque. Alors bonne chance et suivez la Grèce!
j'ai arrêté mon activité officinale il y a 3 ans,la profession bouge beaucoup,mais attention chez MEL les contraintes sont très importantes:loyer cher,contraintes heures ouvertures (grandes amplitudes donc frais de personnels) , et surtout travail à la lumière artificielle ,mauvais pour les yeux avec les ampoules produisant de la lumière bleue,c'est paradoxal qu'il faille sacrifier sa santé pour s'en sortir en exerçant un métier au service de la santé ....
en france c'est assez simple un pharmacien s'achète sa licence, il lui faut donc de l'argent et une solvabilité..les compétences viennent après, elles ne sont pas obligatoires, il n'y a qu'a voir les faillites et les pb de management de mes confrères...à l'étranger dans les chaines, plus question de se payer une officine avec de l'argent et son patrimoine, les compétences pures sont mises en avant et nécessaires pour se faire recruter par les groupes, l'argent et le patrimoine n'entrent plus en ligne de compte, j'ai exercé en suisse chez sun qq années....tous salariés, tous sur la même ligne d'égalité..au départ.....en france, les privilèges, l'héritage, le patrimoine, l'entre-gens sont rois...on profite d'un système étatique très généreux pour les professions de santé, la sécu, pour s'enrichir, ce sont les rentes de situation, je ne le nie pas...cqfd..c'est aussi une formidable gérontocratie...qui défend bec et ongle ses intérêts...
pour titu33 . bin non il faut commencer par etre docteur en pharmacie. bin en suisse quand la politique du directeur des chaines style sunstore ne te plait pas il ne te reste pas grand place pour trouver du boulot. y a plein de pharmacien titulaire dont les parent sont tres loin d'etre des nantis. Pour info parents sont prof.
Les gms? Voilà le genre de proposition, on aime le 45H pour 3000 € brut " Numéro de l'offre
027ZFHC
Offre actualisée le
03/06/2015
Pharmacien / Pharmacienne
Métier du ROME J1202 - Pharmacie
Description de l'offre
Rattaché(e) au Directeur du magasin, le Pharmacien a pour missions de :
Gérer le compte d'exploitation de votre espace de façon autonome et responsable et en garantissez les résultats en termes d'image, de Chiffre d'Affaires, de marge, de gestion des pertes, de frais de personnel, d'achats et de stocks. Dans le respect de la politique commerciale et marketing du magasin, vous assurez l'analyse des structures de gammes, les implantations, les actions de promotions, les relations avec les fournisseurs (négociations, commandes, relances, litiges) ainsi que la gestion de la saisonnalité des produits. Animateur et fédérateur, vous encadrez votre équipe commerciale, et pouvez être amené à intervenir dans leur formation et leur évaluation ainsi que lors d'entretiens de recrutement. En collaboration avec votre équipe, vous participez à la mise en avant et à la vente de vos produits. Profil recherché : Jeune diplômé ou expérience de 2 ans. rémunération: 2500 à 3000 ? brut/13 mois+intéressement
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Entreprise
GENESE RH
GENÈSE RH, cabinet de conseil en ressources humaines, expert des besoins de plusieurs secteurs et du recrutement CDI, recherche pour l'un de ses clients, un Pharmacien (H/F) sur le département des alpes-maritimes (06).
Poste en CDI, à pourvoir immédiatement, au sein d un hypermarché. Vous allez intégrer une parapharmacie d'une enseigne reconnue, présente au niveau national.
Détail de l'offre
Lieu de travail
06 - Alpes Maritimes
Type de contrat
Contrat à durée indéterminée
Nature d'offre
Contrat travail
Expérience
Débutant accepté
Formation
Langue(s)
Permis
Connaissances bureautiques
Qualification
Agent de maîtrise
Salaire indicatif
Mensuel de 2500 Euros à 3000 Euros sur 13 mois
Complément(s) de salaire
Durée hebdomadaire de travail
45H Horaires normaux
Déplacements
Taille de l'entreprise
0 salarié
Secteur d'activité
Conseil pour les affaires et autres conseils de gestion
Le fric appelle le fric.
Les grandes surfaces ne cherchent que cela.
Les autres, outre ce fric pour faire face aux charges diverses et variées, ont l'empathie gratuite pour le patient. L'exercice du potard, que ce soit comme adjoint ou titulaire, au milieu des betteraves ou des pommes de terre, voir en quartier, le montre fort bien. Des mauvaises langues appellerait cette empathie produit d'appel .
La question est de savoir pourquoi on est pharmacien, pourquoi on est officinal.
L'officine actuelle n'est plus celle d'il y a trente ans. Que sera t-elle dans trois décennies?
Tout ce que je peux dire c'est que ce travail peut être passionnant. N'ayant jamais voulu l'être, je peux cependant le constater. Reste à savoir ce que l'on attend de sa vie pharmaceutique qui nous prend, en tant que titulaire, plus de soixante heures hebdomadaires.
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merci
une profession qui perd ses jeunes,
une profession dont les vieux ne peuvent partir,
(pour partir il faut pouvoir vendre, n'en déplaise aux adjoints )
N'est pas une profession en bonne santé,
je dirais même en déclin.
oui mais tout le monde s'en fout car se dit qu'il y aura toujours quelqu'un pour nous remplacer et que si c'est moins cher ce sera mieux....
consommation toujours. Il suffit de regarder ce qui se passe dans d'autres activités qui sont passées par là avant nous (les opticiens par exemple).Les médecins seront aussi concernés.
Ce que je trouve lamentable à travers ce forum c'est de voir une fois de plus combien nous sommes peu unis
c'est facile d'attaquer des gens sans défense : nous ne savons même pas nous valoriser nous mêmes
il n'y a pas que l'argent qui compte, certes il faut pouvoir vivre correctement mais bon sang regardez autour de vous ,nous ne sommes pas les plus à plaindre. Nous avons des valeurs à défendre autres que les escarcelles.
N'avez vous donc jamais dans vos officines quelqu'un qui vous prouve sa gratitude parce que vous lui avez consacré le temps que d'autres lui ont refusé et avoir essayé de solutionner tout ou partie de ses problèmes? N'est ce pas la valeur humaine qui devrait faire les fondations de votre métier? à force de "vendre et uniquement vendre "n'importe quoi, les business pharmaciens ont fait notre déclin et ça continue. Comment faire l'apologie de ce type d'avenir? la GMS ne fera que cela. Regardez les pharmacies anglaises....
arrêtes de prendre nos collaborateurs pour des cons mimi, demander l'union sacrée alors que l'on garde tout le gâteau pour nous c'est un peu fort..je gagne bien plus de 10000 euros mensuels et j'empocherai plusieurs millions si j'arrive à vendre mon officine (mais pas tout de suite hein ..)...je n'en ai pas honte, le système est ainsi fait..mais pendant ce temps là j'aurais payé mes prepa moins de 2000 et mes assistants moins de 3000...il n'y a pas assez de redistribution et de partage des bénéfices avec nos salariés qui font je te le rappel tourner aussi nos boutiques...je ne les paye pas mieux, pas moins bien que la convention, mais je ne viens pas leur faire la morale sur le devoir, la morale et bla bla bla...personne ne travaille pour la gloire mais pour le fric...eux comme nous....et nous on est clairement 1000 fois mieux lotis qu'eux.....la solution serait de multiplier les scoop , les coopératives..tout le monde associés à part égales, préparatrices, assistants et titulaires....et quand on revend le fond, tout le monde touche sa part.....la tu verras pas besoin de demander une plus grande motivation...elle viendra toute seule...
Enfin un titulaire qui comprend ou se situe le problème !
D'accord avec toi titu 33 la motivation manque souvent dans la profession ...et ne demande qu'à revenir !
Le piège, ce sont les prix des officines, des prix maintenus élevés, artificiellement, pour engraisser les organismes bancaires, les agences de négociation, les anciens trayeurs de la République (les pharmaciens titulaires qui sont à leur nième installation, qui partent à la retraite et qui ont bien eu l'occasion de siphonner le système), mais aussi l'Etat qui se sucre à chaque cession d'officine. Ceux qui viennent de s'installer sont dans le pétrin du fait de prix d'achat trop élevés.
Le conflit n'est pas entre titulaires et adjoints. Il est entre générations. Ceux qui contrôlent l'Ordre, les anciens, qui font du lobbying pour maintenir les choses dans l'état et pouvoir la couler douce et les jeunes et nouveaux entrants qui paient, ou qui se préparent à payer la retraite des anciens.
Il est temps de refuser de payer une dîme à l'Ordre ( appelée cotisation) et de quitter ce dernier massivement. Ils peuvent interdire à une personne d'exercer si elle quitte l'Ordre, mais les anciens ne peuvent pas le faire s'il y a un mouvement massif de départ.
Il est temps de "tuer" les anciens. Pour le faire, exiger la liberté d'installation avec des compensations pour les jeunes et les nouveaux titulaires et et qui ont été roulés par les anciens.
tout à fait mais ne penses pas que les titulaires vont se laisser faire sans réagir, ils défendront leur bifteck coute que coute, certains, la plupart, sont caution perso donc c'est leur vie qu'ils jouent...le système tout entier est basé sur la spéculation sur la valeur des officines, maintenu le plus haut possible, par un subtil jeu de maintien de l'offre et de la demande, entretenu par l'ordre, les syndicats, les titulaires en exercice...pour que le système tienne il faut que les salaires soient le plus bas possible et les salariés le plus nombreux possible, afin que la part représentée par la charge salariale ne vienne pas trop amputer la marge brut, et laisser suffisamment de place au remboursement de l'emprunt....tout, absolument tout est gouverné par cette obsession maladive du prix de vente du fond de commerce..le nombre de diplômés, pharmaciens, le quorum, les quotas, les grilles salariales, le nombre de diplôme par tranche de CA, la volonté de diluer les taches des adjoints et des préparatrices pour leur faire effectuer les mêmes taches afin de tuer dans l'oeuf toute véélitées d'évolution...écraser toute révolte afin de continuer à s'enrichir sur le dos des salariés qui font 90% du boulot pour des fèves...
ça recommence...vous faites l'amalgame de tous les titulaires
il y a des gens figurez vous qui sont corrects avec leur personnel et qui proposent à leur assistant de reprendre derrière eux un peu à la fois et sans leur demander un prix exorbitant
c'est vrai que moi je dois être hors normes!
en tout cas moi je suis humaine et ne parle pas que d'argent....vous m'écœurez
Meme si mon patron cherche à être rentable, il est très bien avec son équipe et on tous content de l'avoir comme patron. Ses invitations à la vie de la pharmacie ou à des activités en dehors de cette dernière participe à souder l'équipe que l'on est.
certains sur ce forum ne sont pas pharmaciens et déversent leur frustration , leur mal être , aucune analyse saine , des "auto" revendications ...sans fondements , mélange et amalgame inintéressants .
mais oui c'est ça la théorie du complot, des non-pharmaciens viennent se faire chier sur des forums..et la marmotte...finalement vous etes comme les patients avec les génériques....la théorie du complot..les génériques c'est pas les mêmes; c'est des faux, on me la fait pas à moi....on me la fait pas à moi , quand des commentaires ne vont pas dans mon sens, ne flatte pas ma croupe, c'est forcement des lobby pro gms qui veulent me nuire...paranoia..théorie di complot.....allez on va prendre ses gouttes ou son zyprexa...ça ira mieux....
Mais bien sur mais bien sur. enfin donner cette image du monde de la pharmacie a qui cela sert? bon allez je laisser les forumeur pro a leur boulot je vais bosser.
Dans le Moniteur des Pharmacies et des Laboratoire du 14 et 28 janvier 1948 (c.à.d. il y a environ 67 ans) et donc une dizaine d'années après la création de l'Ordre par Vichy , un article (ou peut-être un éditorial) titrait, déjà, "vers la ruine".
L'agonie de la rente dure depuis longtemps. Ceci devient trop coûteux. Il est temps de débrancher le système et d'accorder la liberté de s'installer, n'importe où, n'importe quand. Des morts, il y en aura, mais c'est ainsi. Pour ceux qui cherchent l'éternité, il faut se tourner vers d'autres royaumes.
Au lieu de vous plaindre à longueur de forum, faites comme moi : revisitez vos méthodes de ventes à la papa, modernisez votre façon de penser, le marketing et la pharmacie peuvent très bien se marier sans y laisser son âme. Personnellement, j'ai fait appel à une entreprise (Pharmasphère) qui s'occupe de booster les ventes et ça fonctionne très bien. Cessez de raisonner avec LA MARGE en tête tous le temps !
que faire a 67 ans et en mauvaise sante!
obligee de continuer faute de successeur sans couverture pour indemnites journalieres pour payer remplacants obligatoires alors on reprends le comptoir
Cest marche ou creve
quel beau metier et on donne des conseils de sante aux autres toute la journee............
bravo a notre conseil de l ordre
Depuis le couvre-feu généralisé, constatez-vous un accroissement de la fréquentation avant 18 heures ?
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MON ESPACE FORMATION
L’abonnement au Moniteur des pharmacies inclut désormais l’accès à tous les modules de formation en ligne, dont les modules agréés DPC, sans frais supplémentaires.
G Laurent :
« Un bon moyen pour rafraîchir ses connaissances sur la vaccination, surtout en ce moment... »
C Didier :
« Très bonne formation claire et pédagogique avec une foire aux questions finale intéressante. »
D Edwige :
« Très satisfaite de cette formation qui est suffisamment détaillée et très pratique pour le quotidien. Ça nous donne toutes les clés pour un bon conseil. Merci ! »
G Jessica :
« Formation très complète qui insiste sur les points importants et donne de nombreuses ressources où chercher les informations pour conseiller les patients. »
M Valérie :
« Formation complète et concise avec les deux cahiers de formation et des modules en e-learning avec compléments d'informations utiles. Les cours théoriques et le support de communication/accompagnement du patient se complètent totalement. E-learning bien conçu et motivant malgré le sujet.... »
P Didier :
« Excellente formation reprenant l'essentiel à maitriser, durée idéale. »
G Rejane :
« Très bonne formation, permettant de se remettre à jour. C'était ma première et cela m'a donné l'envie d'en faire d'autres avec le Moniteur des Pharmacies. »
I P Aline :
« Merci pour la qualité scientifique de votre formation qui est à la hauteur des compétences attendues pour les pharmaciens cliniciens officinaux que nous sommes. »
Lila B. :
« Une formation qui va direct a l'essentiel, j’en veux encore!!! »
J Agathe :
« Formation très intéressante, cas comptoirs réalistes Bon support pour la mise en pratique du bilan partagé. »
Pierre A. :
« Bravo pour la praticité, la réactivité, et la disponibilité. »
Alexandre H. :
« Formation très intéressante. »
P Valérie :
« Un grand merci pour la qualité des contenus. Les cas de comptoir permettent une mise en pratique immédiate. »
E-R Valérie :
« Top ! Mention spéciale aux vidéos de démonstration qui permettent de bien visualiser les erreurs. »
D Anne :
« J'ai eu un problème technique qui a été réglé très rapidement par le Service Clients. La formation est pratique. Les notions sont abordées afin de pouvoir être à l'aise au comptoir. »
P Valérie :
« Un grand merci pour la qualité des contenus. Les cas de comptoir permettent une mise en pratique immédiate. »
Guy L-B :
« Très satisfait du déroulement , alternance intéressante entre documents, assimilation et restitution. »
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