Retrouvez tous vos contenus sur mobile avec l'application du Moniteur des pharmacies.
Téléchargez gratuitement l'application !
Professionnels de santé, accédez à plus de contenu, réagissez aux actus et bénéficiez de tous les avantages en vous connectant à votre espace personnel.
Si vous n'avez pas de compte,
vous pouvez en créer un gratuitement !
Le cannabis demeure, de très loin, le produit illicite le plus consommé en France. Son usage, occasionnel ou régulier, ainsi que celui de la cocaïne et de l’ecstasy sont en hausse. C’est le constat du Baromètre santé 2014 concernant l’usage des drogues illicites par les adultes, dont les résultats viennent d’être publiés conjointement par l’Inpes et l’OFDT.
Le cannabis a déjà été expérimenté au moins une fois dans leur vie par 4 personnes sur 10 parmi les 18-64 ans. Les jeunes de 18 à 25 ans sont les plus concernés : l’usage au cours de l’année concerne actuellement 34 % des hommes de 18 à 25 ans et 23 % des jeunes femmes de cette tranche d’âge (versus 29 % et 17 % en 2010). « On constate ces dernières années un développement de l’offre tant pour l’herbe – sous l’effet notamment de l’autoculture – que pour la résine, dont la forte augmentation du taux de THC est à souligner », explique François Beck, directeur de l’OFDT et coauteur de l’étude.
L’expérimentation d’ecstasy concerne quant à elle 4,3 % des adultes et la proportion d’usagers actuels est passée de 0,3 % en 2010 à 0,9 % en 2014.
L’expérimentation de la cocaïne a de son côté quadruplé en 20 ans, passant de 1,2 % en 1995 à 5,6 % en 2014. Pour ces deux substances, l’usage au cours de l’année atteint un niveau maximal pour la tranche d’âge 18-24 ans.
En revanche, l’expérimentation de l’héroïne, des champignons hallucinogènes ou du LSD reste marginale et stable.
Vous êtes , identifiez-vous.
Créez un compte gratuit pour avoir votre propre pseudo
Choisissez un autre pseudo dès maintenant
Prévoyez-vous de fermer votre officine le 30 mai prochain en signe de protestation ?
1Healthformation propose un catalogue de formations en e-learning sur une quinzaine de thématiques liées à la pratique officinale. Certains modules permettent de valider l'obligation de DPC.
Vous avez des questions ?
Des experts vous répondent !