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Lors du colloque consacré à la « pharmacie de demain », organisé le mercredi 4 février à Paris par l’association Coopération santé, l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO) et les industriels du G5 santé* ont appelé le gouvernement à développer un parcours de soins sécurisé par des conseils pharmaceutiques adaptés à l’automédication.
Selon le G5 santé et l'USPO, le développement de l'automédication avec la mise en place d’une organisation de parcours de soins pharmaceutique permettrait à l’Assurance maladie de dégager des économies non négligeables.
« Si 30% des patients font le choix de s’adresser directement aux pharmaciens sur les trois pathologies que sont les diarrhées, rhinopharyngites et laryngites, l’Assurance maladie pourrait économiser 347 millions d’euros », rappelle Gilles Bonnefond, président de l’USPO. Le syndicat et les industriels réclament le lancement d'une expérimentation immédiate avec un parcours de soins organisé pour deux ou trois pathologies.
Interrogé lors d’une table ronde sur cette question, Claude Leicher, président du syndicat de médecins généralistes MG France récuse toute notion de parcours de soins pharmaceutique. « Nous sommes tout simplement dans un parcours de soins où le pharmacien est le début d’une chaîne du premier recours. La position du premier recours est la plus difficile. Je souhaite qu’avant la délivrance ou non d’un médicament, il y ait du conseil. Je considère que le pharmacien constitue une sécurité extraodinaire ».
Le médecin a proposé à la Haute Autorité de santé (HAS) de créer un plan de gestion du risque (PGR) réunissant les trois acteurs clés qui sont les médecins, les pharmaciens et les industriels. Gilles Bonnefond lui préfère parler de « plan de gestion de sécurité » (PGS), une proposition qui convient à Claude Leicher.
*Ipsen, Stallergenes, Sanofi, Guerbet, Théa, Pierre Fabre, BioMérieux et LFB.
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