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Le rapport de l’Inspection générale des finances (IGF), sur lequel le ministre de l’Economie, Arnaud Montebourg, entend s’appuyer pour réformer certaines professions réglementées, livre quelques éléments dans le quotidien économique Les Echos du 15 juillet.
Ce rapport dissèque les situations de rente dont bénéficieraient 37 professions réglementées, dont certaines sont à activité de santé : officinaux, pharmaciens-biologistes, médecins généralistes et spécialistes, prothésistes-dentaires…
Ces professions représentaient au total en 2010 quelques 235 milliards d’euros de chiffre d'affaires, 40,7 milliards d’euros de bénéfice et plus d’un million de salariés. Leur bénéfice net avant impôt représente en moyenne 19 % de leurs chiffres d’affaires, indique le quotidien, soit 2,4 fois la rentabilité constatée dans le reste de l’économie. « Plus le nombre de réglementations encadrant une activité est élevée, plus la rentabilité progresse », note Les Echos.
Pour les officines, en particulier, le rapport préconise la levée du monopole officinal sur les médicaments de prescription facultative. Conséquence : une perte sèche de chiffre d’affaires pour les pharmacies que l’Autorité de la concurrence, également favorable à l'évolution du monopole officinal, propose de compenser en payant « pour partie les pharmaciens au forfait au titre des missions de service public et de conseil qu’ils peuvent effectuer auprès de leur clients, notamment en milieu rural.»
L’IGF recommande également de mettre fin au numerus clausus des pharmaciens, mais aussi des chirurgiens dentistes, infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes, au motif qu’un grand nombre de ces professionnels, installés en France, sont désormais formés à l’étranger.
Selon le rapport de l’IGF, la valeur ajoutée de l’officine avoisine 8 milliards d’euros, contre plus de 10 milliards d’euros pour la médecine générale ou 1,5 milliard d’euros pour la médecine vétérinaire. Pas moins de six pistes de modernisation seraient envisageables pour l’officine, contre une seulement pour les ambulanciers et les prothésistes-dentaires, ou même trois pour les médecins généralistes et les infirmiers libéraux
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