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Le sondage Ifop réalisée pour le groupement de pharmaciens Giphar dévoilé le jeudi 21 mai révèle une nouvelle fois que les Français ne refusent pas les médicaments génériques.
Huit personnes sondées sur dix déclarent prendre ces médicaments proposés par le pharmacien. Six sur dix le font même « volontiers ». A contrario, deux personnes sur dix les prennent « avec une certaine réticence » à la place du médicament princeps prescrit. Seulement 12 % des Français affirment que « cela dépend du médicament » et 8 % refusent par principe. Cette étude conforte les résultats d'un autre sondage réalisé en 2013 pour un autre groupement, le groupe PHR.
Que faire pour convaincre les Français à accepter davantage les médicaments génériques, sources d’économies non négligeables pour l’Etat dans un contexte budgétaire contraint ? Le gouvernement compte bien actionner tous les leviers mis à sa disposition. Il mise d’abord sur les pharmaciens, via l’avenant génériques signé le 21 mai par les deux syndicats FSPF et USPO. En contrepartie d’une prime, les pharmaciens devront atteindre un objectif national de substitution de 85%.
Selon le directeur général de l’assurance maladie, Frédéric van Roekeghem, lors du salon Pharmagora en mars 2013, « le taux de substitution en France est bon grâce aux efforts des pharmaciens ». « Ce résultat peut être meilleur si l’utilisation de la mention NS était fait de façon raisonnée », a t-il déclaré. L’Assurance maladie a annoncé lors de la dernière commission paritaire nationale des pharmaciens de la mise en place « d'ici à la fin d'année» des contrôles ciblés pour vérifier si les mentions non substituables sont utilisées à bon escient.
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