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Salaires : c'est mal parti pour une augmentation en 2023
Sauf retournement de situation, il ne devrait pas y avoir d'augmentation de salaire de branche en 2023 à l’officine. Les syndicats de salariés ont en effet claqué la porte de la Commission paritaire permanente de négociation et d'interprétation (CPPNI) qui s’est tenue le 18 avril. Reste-t-il un espoir ?
Getty Images/iStockphoto
« Nous n'étions pas venus faire la manche, s’insurge Olivier Clarhaut, le secrétaire fédéral de la branche Pharmacies d'officine de Force Ouvrière. Après nous avoir proposé 1,80 % en janvier, que nous avions refusé, la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) est revenue à la table de la CPPNI avec un mandat limité à une revalorisation de 2 % du point. Après concertation, l’intersyndicale a décidé de claquer la porte, en indiquant que les négociations dans la branche ne pourraient reprendre qu'après la signature d'un accord digne de ce nom sur les salaires. » Pour les syndicats de salariés, qui réclamaient des hausses comprises entre 5 et 10 %, la proposition de la FSPF, à laquelle l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO) s’est associée, était loin du compte. « Après une première augmentation du Smic de 1,81 % en janvier, et une seconde à venir au 1er mai de 2,19 %, nous proposer 2 %, alors que l'inflation continue de rogner le pouvoir d'achat des salariés, n’était pas très respectueux », juge Stevan Jovanovic, secrétaire fédéral en charge de la branche santé libérale de la CFDT Santé-Sociaux. « Cela aurait aussi été insuffisant pour replacer au-dessus du Smic la dizaine de coefficients qui, dans la grille de raccordement, risquent de se faire rattraper par le salaire minimum le 1er mai », ajoute Joël Grebil, le secrétaire général d’UNSA Chimie Pharmacie.
« Intenable » pour les titulaires
Côté chambres patronales, on regrette cette rupture du dialogue social. « Elle va pénaliser les salariés qui n'auront pas d'augmentation cette année, prévient Philippe Denry, le vice-président de la FSPF. Nous avons en effet indiqué que nous ne serions pas en capacité de revenir vers eux avec un mandat à la hauteur de leurs espérances. Après avoir déjà revalorisé de 6 % le point en 2022, nous estimons avoir compensé les effets de l'inflation qui, sur l'année, a été de 5,7 %. Ces 2 % auraient donc permis de redonner un peu d'oxygène à la grille par rapport aux augmentations du Smic. » Même constat du côté de l’USPO. « Les revendications des salariés étaient intenables sur le plan économique, assure Daniel Burlet, son responsable des affaires sociales. Après l'embellie enregistrée en 2021 et 2022 grâce aux prestations liées au Covid-19, les officines ont retrouvé un rythme normal d'activité, et subissent elles aussi de plein fouet l’inflation. Sans pouvoir l’atténuer puisque 90 % de notre économie repose sur des prix réglementés. »
Les syndicats de salariés ne désespèrent toutefois pas de faire revenir les chambres patronales à la table des négociations. « Mais si la situation devait rester figée, nous ne nous interdirons pas d'aller exposer la situation de blocage au ministère du Travail », conclut Stevan Jovanovic.
Travailler en pharmacie pour bientôt l'équivalent du smic avec des horaires allant jusqu'à 21h00 selon les pharmacies, aucun avantage, pas de CE, ni 13eme mois, avec une Convention collective obsolète sur plusieurs points alors que le code de travail et même plus avantageux que notre propre Convention collective. Franchement c'est une déception, surtout que dans ce secteur pendant le Covid ils n'étaient pas à plaindre, avec un chiffre d'affaire en excédent . Autant faire caissière au moins j'aurais le 13 ème mois, le maintien de salaire, la participation, la prime Macron, un CE, des délégués pour nous défendre...
Je suis dégoûté !!!
C’est la méthode Macron !!
Pendant le Covid, nous avons tout donné, jusqu’à nous saigner au travail.
Quoi en retour ? 6% l’an dernier. On l’a payé chère.
Combien d’année blanche allons nous avoir ?
Profession trop féminine, pas de rébellion forte.
Pas contente, mais elles vont comme même au travail en ayant le sourire au comptoir. Mais le cul en avant.
Jusqu’à quand ?
Bon courage au nouveau Préparateur, il va y avoir foule à vouloir faire la formation.
Et nos syndicats !!!!
Pas besoin de nous augmenter... Ils ont trouvé du personnel en réintégrant ceux qui ne sont pas vaccinés contre covid... Franchement, à quand la grève ?
@LAGADAYOUPI
Comme ça , vous vous êtes saigné pendant le COVID!!!; vous avez travaillé 48 ou 50 heures par semaine, vous avez refusé 4 semaines de congés sur 5, vous avez travaillè les jours fériés et les dimanches?
Dans ce cas là vous méritez plus que votre salaire.
C'est ce qu'ont vécu l'immense majorité des titulaires pendant l'épidémie. Et justement cette vie de titulaire qui rebute des jeunes à s'installer de peur, les premières années, de perdre tous les avantages du salariat "cadre"; 35 h, 5 semaines ou plus, arrêts maladie sans souci , gérer tout l'administratif de plus en plus contraignant, se battre pour maintenir l'officine contre la concurrence, les pénuries de médicaments , la gestion du personnel et son absence.., en gagnant à peine un coefficient 150 pendant des mois, c'était mon cas mais la vocation et la passion de ma profession sont hors de prix..
On a tendance à croire qu'il suffit de demander une augmentation pour qu'elle soit accordée.
Il faut savoir que la pharmacie de proximité vit avec 90 % du CA de médicaments pris en charge par l'assurance maladie qui décide des pris de remboursement et depuis des années les baisses se succèdent. L'OTC, prix public , reste presque stable et rare les pharmacies qui répercutent les hausses vertigineuses du NR et de la para.
Je suis sûr que chaque titulaire aimerait augmenter son personnel si c'était possible comme l'est pour certains fabricants (compléments alimentaires, OTC , para..)les prix de médicaments éthiques.
La plupart des titulaires de pharmacie de proximité, la vraie, font tout pour maintenir ou améliorer les revenus de leur personnel
Pas de modérateur ? Marre de toutes ces insultes ,qui sous couvert de revendications syndicales ou de bien être au travail , allez bosser dans une start up avec baby foot ostéopathe et brassage d’air au programme,masquent de la jalousie et le manque de courage !
Allez la suite ,après les retraites le retour aux 39h payées ….35,vite !
Donc avec l augmentation du smic au1 er mai , une préparation débutant au coefficient 240 se retrouvera au smic , c est lamentable surtout que nous n avons aucun avantages en plus du salaire .
@Bonsens
Ayant pratiqué 30 ans dans de petites officine. Je connais.
Rien, jamais rien !
Même dans les années 80/90, où les années étaient grasses.
Rien, jamais rien.
Alors, c’est malheureux à dire.
Mais MERCI le Covid, et ces 30/40 années de végétations de rémunération de notre profession. Aujourd’hui, il a inversé la donne.
Le rapport n’est plus le même.
Aujourd’hui, il ne faut pas vous étonnez de ne plus avoir de personnel à recruter. Vous avez la monnaie de la pièce.
La société a changé, maintenant les jeunes veulent un travail qui paye. Ce n’est pas avec ce que vous proposez, que vous allez les faire rêver.
D’ailleurs, les jeunes pensent au après, milieu hospitalier etc
Et oui, on revient toujours à la case départ
Les titulaires ont gagné des sommes faramineuses avec les tests covid ..
Il aurait été urbain d'en rétrocéder une partie aux equipes.
Inutile de monter dans les tons ici, mais syndiquez vous pour donner plus de poids à votre profession lors des négociations.
Devant le peu de salariés syndiqués, c'est que tout ne va pas si mal ....ou que votre job ne fait pas vivre votre foyer mais est juste un salaire d'appoint.
Les salariés des labos d'analyse ont été récompensés de leur effort .
Certains titulaires sont plus généreux et meilleurs managers que d'autres alors faites le bon choix !
BONSENS +1
Pendant le confinement, j'ai gagné moins que mon adjointe après impôts sur 2020. Je travaille 75 heures par semaine. Son salaire n'a pas été impacté. Et elle a été payée de ces 5 semaines d'arrêt maladie Covid par la pharmacie. Par contre, la pharmacie n'a jamais été remboursée par la mutuelle pour les 5 semaines. Le dossier est trop vieux maintenant pour être remboursé malgré les relances.
Il faut augmenter le prix des médicaments pour mieux payer son personnel. Mais malheureusement, c'est l'Etat qui décide. Et avec la Sécurité Sociale dans le rouge, cela semble bien difficile.
Et en 2022?? Vous avez gagné moins que votre adjointe? N'oubliez pas que vous capitalisez aussi sur votre fond de commerce, et 75h par semaine pendant le confinement alors qu'à priori votre fréquentation a bcp baissé excusez moi mais j'ai du mal à vous croire. Mon titulaire a au contraire baisser son nombre d'heures pendant cette période et il a bien eu raison.
@x Vas bosser ailleurs pour plus alors!Comme je l'ai dit manque de courage ,mais vu ton pseudo essaye celui-ci c'est un secteur
qui rapporte plus que la pharmacie !!
@ bonsens
Arrêt maladie sans souci …??? C’est peut-être comme ça dans votre équipe mais n’en faites pas une généralité, tous les salariés ne s’arrêtent pas pour un oui ou pour un non !! Certains ont encore une conscience professionnelle…
Et personne n’est obligé de devenir titulaire …
Et lors de l’épidémie de Covid, tout le monde a mis la main à la pâte , notamment avec les tests et les vaccins, mais ça n’a fait aucune différence sur le salaire … alors qu’il y en a eu sur le CA… À la campagne, nous avons été très sollicité par notre clientèle…
Faites circuler PARTOUT l'info que les salariés d'officine ne seront pas augmentés cette année.
Combien de temps allez-vous supporter d'être traités avec aussi peu de considération ? Vos patients et le train de vie de vos titulaires sont-ils plus importants que vos propres besoins ?
-> 1er mai <- : pour les salariés qui ne se tapent pas de garde, je vous invite à une sortie dominicale et à rejoindre les manifestants.
@OJF
vous avez acheté votre pharmacie trop chère....
Il fallait y penser au moment de choisir votre officine
Une officine achetée trop chère ne permet pas de se rémunérer correctement et de rémunérer correctement ses équipes.....
Si les titulaires n ont pas d argent pour payer leurs salariés, ils feraient peut être bien de se tourner vers leurs syndicats. Je crois pas que le marché du médicament et des produits de santé se porte mal, hein. Si le secteur ne peut pas rémunérer correctement, posez-vous les bonnes questions.
@Pharmax
Tant que les pharmacies se vendront aussi chères et que les labos de génériques donneront encore entre 50 et 60 % de remise c'est qu'il y encore du gras et que les pharmacies sont très rentables ....
La marge des officines françaises est la plus élevée d'europe ....
Alors le gouvernement n'est pas prêt d'augmenter les prix des médicaments....
Inutile de donner de faux arguments pour récupérer le pactole ....
Les pharmacies françaises se vendent trop chères.....
La est la variable d'ajustement......
Et tous les pharmaciens le savent bien ......
Les titulaires, comme les adjoints .....
Phcien adjoint ,puis titulaire 20 ans ,puisinterimaire,et formateur prof , je comprends vos revendications, j'ai côtoyé beaucoup d équipe, si vous restez chez votre titulaire c est que vous avez encore un avantage : le mercredi ? Le samedi ? Une proximité du domicile ? Un confort de travail , pas de challenge ni de remise en question ..Etc sinon ayez le courage, changer de titulaire, faites de l intérim. Ou ayez le courage de faire une reconversion pro , puisque c est mieux ailleurs .Sinon c est que vous êtes pas si.mal ......signe un phcien en retraite qui bosse encore car penurie de phcien et qui aime son métier.
@authentic 59
Effectivement, chacun voit midi à sa porte.
Mais le jour venu, je suis d’accord, il faut bouger.
Changer de crémerie.
Car on crée des liens avec les clients, c’est vrai c’est confortable au fil des années.
Cela remet du challenge dans une carrière et surtout permet de renégocier un salaire, etc
Faut pas attendre des syndicats
On voit ce que cela à donné !!!
@AUTHENTIC 59
Bien parlé cher confrère . Ceux qui se plaignent doivent oser changer de vie professionnelle. Plusieurs préparateurs et préparatrices ont créé leur propre entreprise loin ou pas loin de la pharmacie ; location de matériel médical, formation ETC .
Au lieu de pleurer sur son sort devant les caméras ou non , de se victimiser en permanence , il faut avoir de l’audace et ne compter que sur soi au lieu de jeter la responsabilité sur le monde entier .
Il est vrai que la grille de salaire est totalement obsolète...il serait temps de la modifier pour que les salariés puissent vivre correctement. Pour ma part, j ai eu un changement de titulaire il y a plus d un an et demi et dès leur arrivée, ils m ont bien augmenté sans que je leur demande! Il y a de bons pharmaciens, il ne faut pas avoir peur de chercher ces pharmaciens, il y en a
En tant que preparatrice je suis abasourdi à quel point notre métier est méprisé.. J’ai des meilleures propositions de salaire dans des postes de femme de ménage ou d’auxiliaire de vie.. Je n’ose imaginer la situation en milieu officinale si toutes les préparatrices se mettaient en grève.. malheureusement rien ne changera.. Quand je vois les commentaires du style " si vous êtes pas content changez de métier ) je réalise que j’ai raté ma vocation. On existe juste pour qu’on profite de nous , du bétail bon marché.. C’est d’une tristesse
Pour nous, il n'y a pas plus qu'à changer de boulot. Je m'y prépare activement et efficacement. Mais protégez les jeunes pour qu'ils ne s'orientent pas vers cette filière. Pour mes enfants, c'est évidemment déjà fait.
En temps que petit patron, comptant 2 préparatrices, j'ai pu embaucher une pharmacienne à mi-temps, mon retour sur les bénéfices humains est extraordinaire.
Par contre pour la trésorerie, c'est la cata, je vois du - 5000 de marge déjà sur le premier trimestre. Donc ce sera du - 20 000 sur l'année probablement.
Ca s'annonce rude, pour quelqu'un comme moi qui a acheté,
il y a 3,5 ans.
Je vais devoir baisser ma rémunération de 3500 à 2800.
J'ai mon remboursement de prêt encore 9 ans (décallage de 6 mois pour commencer à rembourser mon prêt de départ et laisser monter un peu la tréso.
Mais vous devez admettre, en temps que salariés, que les prix des labos pour la para ont tous augmenté. Moi, je rogne un peu sur mes marges, coeff entre 1.4 et 1.5 désormais pour ne pas faire subir l'inflation à ma clientèle. Donc baisse de marge.
Côté médicaments et génériques, notre tiroir caisse, notre fonds de commerce perd énormément en marge à cause de ces maudites ruptures et tensions d'approvisionnement.
En tant que chef d'entreprise, je ne peux "jouer" et modifier que sur les prix de la parapharmacie en songeant à les faire remonter.
Et c'est la clientèle qui en pâtit. Sans compter que les gens achètent moins, donc qu'on aura un surstock et encore + de périmés à chercher, trouver, et rejeter ...
Il y a du travail, néanmoins, et des jours morose à cause de la pénurie de médecin et de tous ces départs à al retraite.
Sûr que ces syndicats, en claquant la porte des négociations, ne voient que le fait qu'on a dû travailler et toucher + grâce au Covid ...
Ca aurait pu être 2% d'augmentation tous les ans sur 5 ans, histoire d'aider un peu plus, OK, avec renégo chaque année.
Mais 0% au lieu de 2 %... ce sont vos propres syndicats qui se mettent des oeillères. Syndiquez-vous et faîtes vous entendre, ou bien démissionnez, et cherchez vous des petites officines bien sympathiques à vivre au jour le jour, avec une clientèle des plus agréables (ce qui change absolument tout)
Fuite des villes vers le monde rural assuré, je suis ravi d'avoir franchi le pas en achetant et changeant de vie
@smartiz19
Cela fait du bien de lire que certains confrères savent encore conjuguer une vraie vocation et la casquette de chef d'entreprise. Vos patients et votre équipe ont bien de la chance. Vous faites honneur à la profession. Et effectivement, vous êtes un modèle à suivre.
Titulaire, c’est un choix que j’ai assumé pendant 20 ans, je me suis installé avec très peu d’apport personnel.
J’ai super bien capitalisé, aux prix de semaine de 60 heures, et au final un burn-out .
Maintenant (depuis 2016) je fais de l’enseignement et des remplacements, le plaisir du métier sans les (…) , c’est aussi un choix, je l’assume.
Certes, avant impôts je gagne peut-être moins, mais après impôts, urssaf, cavp (et j’en passe) je gagne la même chose.
J’ai 65 ans et je travaille toujours avec autant de satisfactions, j’ai même décidé de faire 2 ans de plus pour soutenir la profession .
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