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C’est désormais acté. Le nifuroxazide sous toutes ses formes est à présent classé sur liste I, le Journal officiel ayant été modifié ce jour. Comme annoncé hier, les spécialités qui en contiennent sont également contre-indiquées chez l’enfant et l’adolescent de moins de 18 ans.
L’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) précise que ces mesures découlent des risques liés à la molécule (essentiellement d’ordre immunoallergique - choc anaphylactique, œdème de Quincke -, mais aussi toxidermie à type d’eczéma, réaction de photosensibilité, thrombopénie, anémie hémolytique…), ainsi que d’un mésusage important : « En France, une vaste majorité des diarrhées infectieuses est d’origine virale et le nifuroxazide n’a pas montré d’intérêt clinique dans le traitement de ces affections (…) qui guérissent sans traitement médicamenteux ».
En attendant la mise à jour des notices et de l’étiquetage des spécialités concernées, une étiquette sera apposée sur les boîtes pour prévenir patients et professionnels de santé des nouvelles conditions de délivrance. Du moins pour les médicaments qui restent disponibles, puisque plusieurs laboratoires ont décidé d’arrêter la distribution ou la commercialisation du nifuroxazide. « Des fluctuations d’approvisionnement des pharmacies sont attendues dans les prochains jours », prévient d’ailleurs l’ANSM.
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