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« La coopération interprofessionnelle et l’utilisation de nouveaux outils de télémédecine constituent l’une des réponses à la désertification médicale, mais rien ne peut remplacer la proximité auprès des patients. Or, le pharmacien demeure clairement l’un des seuls acteurs de santé à remplir ce rôle ; et ce, sur l’ensemble du territoire. Sa place est donc légitime et son implication doit être favorisée », assure Corinne Daver. Dans cette nouvelle chaine de santé, le pharmacien change d’image et d’exercice. Après la dispensation de médicaments, voici venu le temps de l’observance et l'éducation thérapeutique du patient. « Ce qui ne doit d’ailleurs pas alarmer les autres professions de santé car chacun reste dans son périmètre. On l'a bien vu avec les AVK, les entretiens pharmaceutiques n’enlèvent rien aux attributions des médecins », constate Jean-François Rey. Selon Pierre de Haas, président de la Fédération Française des Maisons et Pôles de Santé, « nous sommes en train de passer d'un univers très XXe siècle, avec des exercices individuels et catégoriels, vers un mode de fonctionnement en équipe de soins de premier recours. Pour les pathologies complexes, elles sont composées d’un noyau dur trois ou quatre médecins, d'un pharmacien et de cinq ou six infirmières, autour duquel viennent se greffer orthophonistes, kinésithérapeutes, diététiciens, psychologues, ergothérapeutes... »
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