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AUTOMÉDICATION
Actualité
L'offre à l'officine doit être clarifiée, notamment en matière de produits conseil. C'est ce que demande l'Ordre dans deux courriers adressés à l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé et à la Haute Autorité de santé. Dans Les Nouvelles pharmaceutiques du 18 mai, le président de l'Ordre s'inquiète d'abord « du maintien ou de la reprise du nom de spécialités anciennes par certains fabricants, pour commercialiser des produits dont la composition a été modifiée et dont l'efficacité n'a pas été prouvée ». Sans compter les produits qui adoptent ou conservent un nom de médicament alors qu'ils n'ont pas ou plus d'autorisation de mise sur le marché. Jean Parrot propose qu'une commission composée d'officinaux et de généralistes soit créée pour réévaluer ces produits dans le but de définir s'ils doivent conserver ou perdre leur AMM.
L'Ordre s'est aussi penché sur le cas de Neuriplège. Le médicament, initialement à base de chlorproéthazine, a été retiré du marché à la demande de l'Afssaps. Reformulé, il revient sur le marché mais doté du statut de dispositif médical. Pour l'Ordre, ce procédé « semble s'apparenter à une tromperie puisque les patients penseront que le dispositif médical est équivalent au médicament ». L'Afssaps va plus loin, considérant que le « nouveau » Neuriplège ne répond pas à la définition de DM. Et elle a demandé à Genévrier d'en cesser la commercialisation, qui refuse pour le moment. « Un produit est un médicament ou ne l'est pas. Tout ce qui peut être source de confusion pour le consommateur doit être clairement écarté », conclut l'Ordre.
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