Retrouvez tous vos contenus sur mobile avec l'application du Moniteur des pharmacies.
Téléchargez gratuitement l'application !
Professionnels de santé, accédez à plus de contenu, réagissez aux actus et bénéficiez de tous les avantages en vous connectant à votre espace personnel.
Si vous n'avez pas de compte,
vous pouvez en créer un gratuitement !
SANTÉ PUBLIQUE
Actualité
S ensibiliser les Français aux facteurs de risque cardiovasculaire, tel est l'objectif de la campagne de communication grand public mise en place par la Fédération française de cardiologie, la Nouvelle société française d'athérosclérose et le laboratoire Pfizer. Avec en ligne de mire la lutte contre le tabagisme mais aussi le dépistage du diabète, de l'hypertension artérielle et de l'hypercholestérolémie.
« C'est la première fois que l'on relaye la notion de prise en charge globale des accidents cardiovasculaires », se félicite le Pr Alec Vahanian, président de la Fédération française de cardiologie. Déployé du 14 octobre au 20 décembre, le dispositif de communication, qui s'appuiera sur des annonces dans la presse grand public (Le Nouvel Observateur, Santé Magazine, Le Monde...), jouera la carte du duo dramatisation/solution et se déclinera au masculin comme au féminin. Le concept : rappeler la gravité des maladies cardiovasculaires et encourager à aller consulter pour pouvoir agir.
Parallèlement, des publireportages et des spots radio compléteront le dispositif. L'information plus détaillée du grand public sera assurée par un site (http://www.prevention-cardio.com) et un numéro de téléphone Azur (0 810 741 741).
L'enjeu est de taille : les maladies cardiovasculaires sont responsables de 180 000 décès chaque année, l'infarctus du myocarde représentant le premier motif d'hospitalisation chez les hommes de 45 à 74 ans et la 3e cause de décès chez les femmes dans cette tranche d'âge.
Vous sentez-vous régulièrement en insécurité dans vos officines ?
1Healthformation propose un catalogue de formations en e-learning sur une quinzaine de thématiques liées à la pratique officinale. Certains modules permettent de valider l'obligation de DPC.
Vous avez des questions ?
Des experts vous répondent !