Super potard ! - Le Moniteur des Pharmacies n° 2543 du 03/07/2004 - Revues - Le Moniteur des pharmacies.fr
 
Le Moniteur des Pharmacies n° 2543 du 03/07/2004
 

RÉFORME DES ÉTUDES DE PHARMACIE

Entreprise

Enquête

Enseignements coordonnés et stages d'application en officine sont les grandes nouveautés de la réforme des études de pharmacie applicables à la rentrée. Objectif : profession-nalisation.

Nouveau cursus

La réforme des études pharmaceutiques entre en vigueur à la rentrée prochaine. Si certaines facultés n'ont pas attendu pour entamer la refonte de leurs programmes, chacune avance à son rythme. « Nous attendrons un an avant de demander aux facultés ce qu'elles ont fait », rassure toutefois Philippe Courrière, président de la Commission nationale pédagogique (CNP) chargée de la réforme. « Il ne faut pas oublier que c'est l'année de lancement, rappelle Geoffroy Lena, vice-président de l'Association nationale des étudiants en pharmacie de France (ANEPF). Il ne s'agit donc pas de pointer une faculté pour son retard plus qu'une autre. »

Nouvelle méthode d'enseignement.

En quoi consistent les enseignements coordonnés et les stages d'application ? Les 50 % d'enseignements coordonnés en 3e et 4e année et les travaux dirigés associés sont, avec les stages d'application, le gros morceau de cette réforme. Cette nouvelle méthode d'enseignement consiste à associer les différentes disciplines autour de thématiques (classe thérapeutique ou pathologie). Objectif : aider l'étudiant à développer sa capacité de synthèse, le préparer à la prise en charge globale du patient. Dix-huit thèmes ont été sélectionnés par la CNP comme l'infectiologie, le système immunitaire, l'oncologie, le système nerveux central, les glandes endocrines... Les facultés doivent choisir dans cette liste quatre enseignements coordonnés par an, tant en 3e qu'en 4e année.

Mise en pratique de ces enseignements d'un nouveau type, les stages d'application se dérouleront quatre fois une semaine en troisième et quatrième année. « Le gros reproche qui est fait à nos études est le manque de professionnalisation, souligne Jean-Marie Gazengel, président de l'Association nationale des conseillers et maîtres de stage. Ces nouveaux stages, dont l'objectif est d'assurer à l'officine le suivi d'une pathologie, y répondent. » Ils auront lieu durant l'année universitaire, à charge pour chaque faculté de choisir les dates auxquelles ils seront effectués. Elles doivent également organiser localement une formation pour les maîtres de stage afin qu'ils soient en phase avec les enseignements coordonnés.

Initiation raccourcie et TD intégrés.

Autre conséquence de la réforme : l'ancien stage d'« initiation », prévu avant la 3e année, passe de deux mois à six semaines. « A la demande des étudiants, nous avons réduit sa durée car ils le jugeaient trop long. Il s'agit d'un stage d'observation : l'étudiant range les médicaments, assiste le pharmacien dans la délivrance mais ne délivre pas lui-même », rappelle Jean-Marie Gazengel.

A Tours, les enseignements coordonnés existent déjà depuis trois ans en 2e année. « Le thème porte sur les pathologies dermatologiques. Pour nous, il s'agissait de faire un galop d'essai auprès des étudiants, précise le doyen Bernard Yvonnet. Cette année, quatre thèmes coordonnés sont prévus en troisième année. Nous le faisons chaque année progressivement. » A Grenoble, tout a démarré il y a quatre ans et demi. « Les enseignements coordonnés débutent en deuxième année car nos étudiants voulaient entendre parler de médicaments, explique le doyen Demenge. Cette année, nous les avons modifiés pour essayer d'équilibrer les horaires car la deuxième année est assez surchargée. Nous devons en créer d'autres cette année de façon à ce que leur volume horaire atteigne les 50 %. »

A Lyon, « nous espérons atteindre l'objectif pour la rentrée 2005 », précise le doyen Locher. « Les modules Biologie et Médicaments des maladies métaboliques, Médicaments des infections neurologiques et psychiques, Physiopathologie, Système cardiovasculaire et Traitements sont prévus en troisième année », indique de son côté le doyen Vanelle, de la faculté de Marseille.

A côté des enseignements coordonnés, la réforme prévoit également des travaux dirigés intégrés, un temps de travail personnel (qui a été fixé à environ 10 % du total) et l'introduction de nouvelles disciplines, comme les biotechnologies ou la protéomique, la thérapie cellulaire, mais aussi la santé publique, l'épidémiologie, l'économie de la santé, la pharmacie clinique... Au total, l'arrêté du 2 octobre 2003, qui entérine la réforme, fixe un volume horaire compris dans une fourchette de 650 à 700 heures au maximum pour chaque année, de la deuxième à la quatrième.

Le stage, vitrine de la profession.

Sur le terrain, la mise en oeuvre n'est pas si simple, les enseignants devant changer leurs habitudes en travaillant au sein d'équipes pédagogiques et autour de thèmes. A Montpellier, il va falloir tenir compte de la multiplicité des diplômes. « Nous en avons cinq (pharmacie, oenologie, audioprothèses, visiteur médical et IUP), rappelle le doyen Alain Terol. Ce n'est pas évident d'aménager tous les changements avec les plannings des différentes formations. Nous devons trouver un équilibre. » Rouen, de son côté, souligne les difficultés des petites facultés. « Tous les enseignements coordonnés sont organisés en petits groupes et non dans un amphi, rappelle Jacques Marchand, vice-doyen et directeur du département pharmacie. Nous avons moins d'étudiants que dans les grandes facultés mais aussi moins d'enseignants. »

Selon Geoffroy Lena, « les étudiants vont pouvoir mettre en application leurs semaines d'enseignements coordonnés. Il y a beaucoup de travail en amont. Il faut trouver assez de maîtres de stage qui veuillent jouer le jeu, qui sachent ce qui a été appris par l'étudiant. Il faut qu'ils travaillent les ordonnances, préparent des rendez-vous avec des médecins généralistes, avec des patients... ». Geoffroy Lena estime également que le stage est une vitrine de la profession : « Si tout se passe bien, il peut permettre d'attirer des étudiants qui ne pensaient pas à l'officine. Il existait déjà un stage classique de deux mois à réaliser en officine avant la troisième année, mais, à ce stade, les étudiants ne connaissent pas encore grand-chose. »

A Nancy, officinaux et étudiants ont eu l'occasion de découvrir les nouveaux stages il y a deux ans. Depuis 2003, les 3e et 4e années comptent désormais les deux stages d'une semaine prévus dans leur cursus. Pharmacienne à Nancy, présidente du conseil régional de l'Ordre, Monique Durand s'y est dûment préparée : « Nous avons affiché les thèmes sur lesquels devait porter la semaine de stage dans l'officine. Dès qu'une ordonnance nous semble intéressante, nous la photocopions. Nous avons préparé des pochettes puis, quand l'étudiant arrive, nous lui demandons d'aller consulter les dossiers patients sur l'ordinateur, de commenter les ordonnances, c'est-à-dire de resituer les médicaments dans leurs classes thérapeutiques, d'étudier la posologie, de vérifier s'il n'y a pas de contre-indications ou d'interactions, de regarder les antécédents familiaux... Mais il n'est pas toujours possible que l'étudiant puisse observer en direct les conseils que nous donnons aux patients. Il existe un problème de confidentialité. » Autre écueil : la disponibilité. « Il n'est pas toujours évident d'être libre quand il s'agit de s'occuper des clients. »

Commentaires d'ordonnances.

Comme Nancy, certaines facultés ont pris les devants. Grenoble a ainsi proposé aux 2e année un test sur l'asthme et les BPCO. « Les étudiants étaient un peu jeunes pour savoir utiliser vraiment les résultats des stages d'application. Les stages seront donc réservés aux quatrième année pour l'instant puis plus tard aux troisième année », précise le doyen.

A Dijon, le test a été réalisé en 4e année sur deux journées. En 2004, ce sera au tour des 3e année. A Amiens, une semaine a été organisée pour les 3e année sur les thèmes de l'hypertension artérielle, l'asthme, la contraception et la grossesse. Marseille a déjà tout réglé pour octobre mais les deux semaines de stage, pour les 3e et 4e années, se feront de manière consécutive à la demande des maîtres de stage qui trouvaient la semaine trop brève. Pour la rentrée, seuls Rennes et Paris-V ne proposeront rien à leurs étudiants.

Eric Housieaux, pharmacien, enseignant et responsable de l'association des maîtres de stage de Picardie, a distribué, pour aider les titulaires, un livret récapitulant le déroulé du stage d'application. « Les étudiants sont chargés de présenter à l'équipe officinale chacune des pathologies étudiées et les traitements associés. Ils doivent intégrer dans les ordonnances sélectionnées tous les commentaires en rapport avec les médicaments (prises particulières...). Ils peuvent faire des fiches conseil, consulter les sites Internet du type ANAES pour voir les publications et les recommandations. Et, contrairement à Nancy, nous leur donnons la possibilité de faire de la délivrance au comptoir, sous la surveillance du pharmacien et à condition que les ordonnances soient en rapport avec les thèmes choisis. »

C'est d'ailleurs l'un des regrets d'un étudiant de 3e année à Nancy : « Nous n'avons pas eu le droit de servir ni de faire des préparations alors qu'avec le stage d'initiation, nous connaissons déjà l'officine. Mais l'équipe avait vraiment révisé les thèmes, notamment le système cardiovasculaire pour le premier stage. Ils m'ont expliqué l'HTA et ses mécanismes, alors que jusqu'ici c'était assez flou pour moi. »

Pour l'Ile-de-France, une fiche pratique de préparation devrait également être remise aux maîtres de stage. « Pour les deuxième et sixième années, nous avons le guide de stage. Là, nous partons de rien », explique Sylvie Queniart, présidente de l'association des pharmaciens maîtres de stage agréés. Particularité de la région : seule la fac de Paris-XI s'est engagée pour la rentrée. La semaine de stage prévue pour les 3e année, du 18 au 22 avril 2005, comprendra en fait deux jours de cours coordonnés et trois jours de stage.

L'évaluation des stages diffère selon les facultés. « Nous leur ferons une évaluation basée sur le commentaire de deux ordonnances », révèle Sylvie Queniart. A Dijon, il est prévu qu'une question puisse être posée sur un cas dans le cadre du contrôle des connaissances. A Nancy, « les questions d'examens tiennent compte du vécu en officine », confirme Gérard Catau, enseignant et responsable des stages à la faculté. Pour Jean-Marie Gazengel, il faut prévoir un document écrit de 10 à 15 pages à la fin de chaque année de stage et une note qui refléterait l'assiduité et l'implication de l'étudiant.

Un stage formateur pour les... pharmaciens.

Les pharmaciens actuellement maîtres de stage ont été conviés par les facultés à participer à l'accueil de ces nouveaux stagiaires. Les journées de formation, ouvertes aux adjoints, auront lieu une demi-journée à une journée par semaine de stage ou par année. A Dijon, presque tous les maîtres de stage sont venus. A Caen, une centaine sur les 160 de la région ont répondu à l'appel. « Nous avons 800 maîtres de stage, nous sommes 512 à l'association d'Ile-de-France, précise Sylvie Queniart. Je leur ai écris, mais combien seront au rendez-vous ? Certaines régions n'en avaient pas assez. »

A Dijon, la faculté avait ouvert ses portes à tous les officinaux intéressés. « Nous n'étions pas sûrs d'avoir suffisamment de maîtres de stage pour accueillir les étudiants, explique la doyenne Sylvette Huichard. Nous voulions laisser la possibilité aux pharmaciens installés hors de Dijon de participer à la formation et de passer ensuite l'agrément pour devenir maîtres de stage. Finalement, 99 % des officinaux présents l'étaient déjà. »

Dans le Sud-Est, la formation se fera à la faculté de Marseille ou en décentralisé (en Corse, à Nice, à Briançon...). « Il faut que ne soit plus maître de stage qui veut mais qu'il y ait un effort, une sorte de partenariat faculté-officine, espère le doyen. Un étudiant en stage d'application, ce n'est pas une personne en plus au comptoir. Il faut prévoir une évaluation des stages d'application au niveau de chaque officine. Il va falloir être vigilant sur l'agrément, vérifier si les pharmaciens font de la formation continue. »

En Ile-de-France, Sylvie Queniart voudrait aller plus loin : « Nous voulons faire deux réunions avec les futurs maîtres de stage agréés en novembre ou décembre prochain dans les deux facultés parisiennes. Nous envisageons l'idée qu'un maître de stage ne puisse prendre un étudiant de sixième année que s'il l'a déjà accueilli en troisième et quatrième année. »

Pour motiver les pharmaciens, Jean-Marie Gazengel souhaite que cette formation puisse être prise en charge dans le plan de formation continue obligatoire. « Les stagiaires arrivent avec des connaissances toutes fraîches. Ce stage nous oblige à nous former, à nous remettre en cause, confirme Monique Durand. Dans le cadre de la journée de formation à la faculté, nous avons revu toutes les interactions médicamenteuses qui mettaient en jeu les mécanismes sur les cytochromes. En vingt ans, il y a eu une évolution forte des enseignements. On connaît les nouvelles molécules mais pas les mécanismes. » La faculté a même ouvert certains modules aux officinaux.

Quid de la réforme licence-mastère-doctorat ?

La réforme des études n'est pas encore tout à fait achevée. La commission travaille sur le nouveau cursus licence-mastère-doctorat (LMD) mis en place dans l'Union européenne. « Les conseillers du précédent ministre nous avaient dit de ne pas nous préoccuper de cette évolution car le corps de santé (médecine, dentiste, pharmacie) n'y était pas inclus, explique Philippe Courrière. Depuis décembre, notre mission est de voir si le diplôme de pharmacien ne peut pas entrer dans le LMD. Ce qui ne veut pas dire qu'il y sera intégré. » Le découpage en LMD suppose une interpénétration de toutes les licences : « Si la faculté de pharmacie est ouverte au LMD, pas question pour autant de supprimer le concours de fin de première année. Le système LMD sera fermé à ceux qui n'auront pas passé le concours. »

En revanche, le LMD peut être intéressant pour les étudiants qui suivent l'option industrie et font un DESS ou ceux qui poursuivent en DEA. « Jusqu'ici, les anciens DEA n'étaient pas automatiquement ouverts, les étudiants devaient d'abord réaliser une MSBM (maîtrise de sciences biomédicales), rappelle Philippe Carrière. Aujourd'hui, les unités de valeur de cette maîtrise, qui disparaît, sont remplacées par des unités d'enseignement. Le cursus des étudiants est simplifié car les unités d'enseignement de l'ancienne MSBM pourra leur donner des équivalences. »

La réflexion de la commission porte également sur l'internat. « Il existe deux options, hôpital et industrie-biomédical, détaille Philippe Carrière. Le but est de simplifier l'internat médicament pour une question de débouchés. Nous allons voir s'il est nécessaire de conserver deux filières distinctes ou d'en mettre en place une seule qui comprendrait deux options. Avec l'actuelle filière pharmacie-biologie médicale, par exemple, les étudiants ne peuvent pas passer le concours de praticien des hôpitaux. Or, ils ne font pas tous industrie. » La commission doit remettre un rapport d'étape sur le LMD et l'internat d'ici la fin année 2004 aux ministères concernés.

Des cours d'anglais encore balbutiants

60 heures de langue étrangère sont désormais prévues annuellement entre la 1re et la 4e année. Le but : apprendre à lire, analyser les ouvrages scientifiques (essentiellement en anglais), être capable de rédiger un exposé scientifique. Dijon a anticipé cette orientation avec 37 heures de cours en 2e, 3e, 4e et 5e année. En revanche, pas de cours en première année, en raison d'un budget insuffisant.

A Montpellier, le doyen prévoit une mise en place à la rentrée : « Nous manquons d'enseignants. Il faut que nous passions devant le conseil de l'UFR pour y allouer un budget. »

« Comment faire avec un seul poste de professeur associé ?, interroge également le doyen de Marseille. Nous n'avons pas les moyens de mettre en place tous ces cours. Cette année, nous avons une option anglais officinal pour les 5e année, mais nous avons mis l'accent sur la filière industrie et recherche. Pour les 3e et 4e années, nous avons prévu des modules facultatifs de 20 heures pour 20 à 25 personnes. Les étudiants peuvent aussi opter pour les stages Erasmus. »

Du nouveau pour les maîtres de stage

Pour devenir maître de stage, un titulaire doit toujours être agréé par décision du président de l'université, sur proposition du directeur de l'unité de formation et de recherche (UFR) dispensant des formations pharmaceutiques et après avis du conseil régional de l'Ordre et visite du conseiller de stage. Il faut justifier de cinq années d'exercice officinal dont au moins deux en tant que titulaire.

Cependant, le titulaire devra signer une nouvelle charte d'engagement, incluse dans la nouvelle annexe de l'arrêté d'août 2003. « Il devra remplir un questionnaire qui comporte désormais des questions sur l'assurance qualité ("Avez-vous mis en place une procédure qualité ?", "Avez-vous nommé un pharmacien responsable de l'assurance qualité ?") et sur la formation continue ("Avez-vous suivi une formation continue au cours des deux dernières années ?") », explique Jean-Marie Gazengel.

Le titulaire devra également signer un contrat pédagogique avec le directeur de l'UFR qui fixe les objectifs pédagogiques et les modalités pratiques du stage. L'agrément est renouvelé tous les cinq ans. Enfin, la réforme permet aux maîtres de stage de déléguer la responsabilité du stagiaire à un membre de leur équipe.

Les autres nouveautés

Stages

- Un nouveau stage facultatif, baptisé « stage de découverte », a été prévu lors de la réflexion sur la mise en place d'une première année commune d'études de santé. « Il s'agissait de montrer aux étudiants ce qu'est le monde de la santé en choisissant un stage comme aide-soignant, brancardier, aide-laborantin... », explique Jean-Marie Gazengel. Il peut se mettre en place dès la fin du concours.

« Nous avons prévenu les étudiants de première année de cette possibilité de stage dans une clinique, un hôpital, une pharmacie ou l'industrie pharmaceutique », précisent les facultés de Dijon et Grenoble.

- Le stage de sixième année filière officine peut être scindé en deux périodes de trois mois et réalisé dans deux officines différentes.

Cinquième année hospitalo-universitaire

- La 5e année hospitalo-universitaire est adaptée pour les étudiants en industrie. « Les six mois équivalents temps plein permettent aux cinquième année industrie et recherche de travailler sur une conduite de projet en industrie puis de faire un stage à l'hôpital », précise Geoffroy Lena, de l'ANEPF. « Cette année inclut également trois mois de stage à l'hôpital (200 heures) et deux unités d'enseignement à ajouter, souligne Jacques Marchand (Rouen). Les étudiants vont être obligés de la faire de septembre à septembre. Sinon, on ne tiendra pas. »

Recherche

- A partir de la deuxième année, et à l'exclusion de la cinquième, les facultés prévoient des stages d'initiation à la recherche destinés aux étudiants qui en font la demande. Le minimum est fixé à 150 heures par an.

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