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Actualité
Enquête
Bonne réponse pour la plupart d'entre vous, qui nous avez répondu. Oui, vous risquez bien sûr quotidiennement votre responsabilité pénale (amendes, voire prison avec ou sans sursis), non seulement pour actes contraires à la loi (au Code de la santé publique) de votre propre chef, mais aussi pour ceux commis à la demande du titulaire si vous avez accepté de vous y plier.
Vous pensez aussi majoritairement courir un risque en matière de responsabilité civile (indemnisation d'éventuelles victimes suite à un dommage à autrui après une délivrance, une vente de produit conseil). Et là, la jurisprudence concernant l'officine à ce jour montre que c'est celle du titulaire qui est systématiquement recherchée, pas la vôtre. Pourtant, vous êtes 54,3 % à affirmer avoir une assurance responsabilité civile. C'est douteux. Une confusion avec l'assurance responsabilité que tout citoyen souscrit mais qui n'a rien à voir avec une responsabilité civile ?
« La réponse à la question "Pourquoi 70 % d'une promotion ne veut plus entendre parler de l'officine ?" sera réglée quand nos instances et nos titulaires auront décidé de s'intéresser réellement et sans parti pris à la pérennité de la profession, que nous aimons tous pratiquer. [...] Pour certains, la solution est l'augmentation du numerus clausus en première année. Ces propos me font bondir ! Un maximum de diplômés continuera malgré tout à tourner le dos à l'officine. Vous ne pourrez pas les obliger à pratiquer le comptoir au risque de faire des officinaux sans vocation.
Tant que les problèmes de la première installation, de motivation, de l'embauche motivante du jeune diplômé ne seront pas abordés, la situation s'enlisera et les diplômés qui ont pratiqué plusieurs années le salariat officinal, lassés, ne continueront qu'à chercher une autre route [...] ! Alors, quand est-ce que les bonnes questions seront-elles abordées pour essayer de trouver des solutions et prendre des décisions, tous ensemble, pour l'avenir de tous ? »
Maïder, remplaçante en Gironde
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