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« Si je tombe malade, aurai-je droit aux meilleurs traitements, où que j’habite ? », « Serai-je encore soigné à temps, alors que mon hôpital vient de fermer ? », « Aurai-je droit, comme d’autres, à ces traitements innovants dont me parle la télé ? », « Comment peut-on me soigner mieux, avec toujours moins d’argent ? », « Le numérique, internet sont-ils une solution ? Est-ce que ça marche vraiment ? ».
C’est autour de ces questions que se posent les Français que s’est organisée la base de données France Santé 2017.
France Santé 2017 rappelle d’ailleurs qu’une enquête IPSOS, réalisée en mai 2016 auprès de 2000 personnes, a révélé une certaine inquiétude de la population. Les Français estiment en effet que si aucune réforme n’est réalisée dans les 5 ans, le système de soins va se dégrader fortement.
40 % d’entre eux se disent très démunis face au système actuel dont ils considèrent à 69 % qu’il se détériore année après année. Ils se plaignent de l’attente aux portes des cabinets et des salles de consultation (59 et 54 %) et du manque de communication entre médecins (42 %).
Ils se montrent en revanche très favorables au développement de l’e-santé. Près de 8 Français sur 10 estiment que le développement de ces outils technologiques est facteur d’une meilleure prévention (70 %), mais aussi d’une meilleure surveillance de la maladie (79 %). Pour eux, l’e-santé est un « accélérateur de prise en charge », lors d’une dégradation des symptômes (78 %).
Enfin, les Français se disent prêts à ne plus aller directement chez le médecin et à privilégier un premier contact via Internet ou le téléphone (73 %). Ils se montrent aussi favorables à la délégation de certains actes médicaux simples, qu’ils soient réalisés par des infirmiers (77 %), des opticiens (63 %)… ou des pharmaciens (55 %).
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