Retrouvez tous vos contenus sur mobile avec l'application du Moniteur des pharmacies.
Téléchargez gratuitement l'application !
Professionnels de santé, accédez à plus de contenu, réagissez aux actus et bénéficiez de tous les avantages en vous connectant à votre espace personnel.
Si vous n'avez pas de compte,
vous pouvez en créer un gratuitement !
Hier, les sénateurs ont supprimé, à la demande du gouvernement, l’amendement au PLFSS 2009 proposant une revalorisation de l’aide à la complémentaire santé (ACS) comme corollaire à l’augmentation prévisible des cotisations des mutuelles l'année prochaine. La mesure fixait le nouveau montant de l’ACS à 300 euros au lieu de 200 pour les 25-59 ans, à 150 euros au lieu de 100 pour les moins de 25 ans et à 600 euros au lieu de 400 pour les plus de 60 ans. Xavier Bertrand a argué que cette mesure n’avait pas sa place dans le PLFSS 2009 car l’ACS n’est plus financée par l’assurance maladie à partir de 2009 et qu’elle représente un coût de 500 millions d’euros, alors que l’ACS coûte aujourd’hui 85 millions d’euros. « Je comprends le souhait d’élargir la couverture de la complémentaire santé mais il faut rechercher d’autres voies, compte tenu du coût pour les dépenses publiques », a conclu le ministre du Travail. Le communiste Guy Fischer s’est exclamé : « Pour une fois que le gouvernement voulait faire un pas pour les plus défavorisés ! » Rappelons en effet que le 8 novembre dernier Roselyne Bachelot annonçait son intention de relever l’ACS à 500 euros pour les plus de 65 ans, sans toutefois préciser à quelle échéance. Néanmoins, dans l’exposé des motifs de l’amendement de suppression de la mesure, il est indiqué que le gouvernement proposera une réforme « plus calibrée et moins coûteuse dans le cadre du projet Hôpital, patients, santé et territoires ».
Vous êtes , identifiez-vous.
Créez un compte gratuit pour avoir votre propre pseudo
Choisissez un autre pseudo dès maintenant
Le manque à gagner lié à la perte des produits de contraste vous inquiète-t-il ?
1Healthformation propose un catalogue de formations en e-learning sur une quinzaine de thématiques liées à la pratique officinale. Certains modules permettent de valider l'obligation de DPC.
Vous avez des questions ?
Des experts vous répondent !