Laits Lactalis contaminés : 44 pharmacies épinglées par la DGCCRF - 11/01/2018 - Actu - Le Moniteur des pharmacies.fr
 
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Laits Lactalis contaminés : 44 pharmacies épinglées par la DGCCRF

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La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a effectué 2 500 contrôles dans les lieux de distribution du lait infantile contaminé de Lactalis (magasins, grandes surfaces, pharmacies, hôpitaux, crèches), a annoncé Bruno Le Maire, ministre de l’Economie et des Finances.

Il ressort de ce contrôle que 91 établissements détenaient des boîtes de lait infantile qui auraient dû être retirées de la distribution, dont 30 grandes surfaces, 44 pharmacies, 2 crèches, 12 hôpitaux et 3 grossistes.

Le ministre a annoncé la réalisation de 2500 contrôles supplémentaires dès la semaine prochaine afin de vérifier le retrait effectif des lots concernés.

L’Ordre des pharmaciens a indiqué dans un communiqué le 11 janvier que « des procédures seraient immédiatement engagées s’il s’avérait que certains pharmaciens avaient continué à délivrer des produits incriminés par les rappels ».



Anne Drouadaine

Les dernières réactions

  • 11/01/2018 à 18:37
    David Coupin, Pharmacien titulaire
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    Pour toute question ou conseil, un numéro vert a été mis en place par la DGCCRF : 01 71 53 51 20.

    on tombe sur le service consommateur leclerc....
  • 11/01/2018 à 18:46
    Anne Drouadaine, Pharmacien (autre)
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    Bonjour,

    Nous vous remercions pour votre vigilance. Effectivement pour des raisons de publication de newsletter, nous avons rapidement mis cette actualité en ligne. Et nous venons également tout juste de vérifier le numéro.

    Bien cordialement,
    Anne Drouadaine
  • 11/01/2018 à 20:23
    Logistone
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    On a la liste?
    Pharmacie en ligne? C'était citer ce matin aux informations.
    Vu les alertes en pharmacie, c'est aberrant qu'il y en ai encore de vendu!
  • 11/01/2018 à 21:02
    ph trop vieille!
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    J espère qu ils seront lourdement punis....si l on ne fait pas mieux que les grandes surfaces....honte à nous!!!
  • 12/01/2018 à 06:48
    MAURICE
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    très étonnant que des pharmacies n'aient pas fait leur job?
    De quel type de pharmacie s'agit-il?
    S'il s'agit de pharmacies type lafayette, de pharmacies en ligne, avec des stocks pléthoriques, ce ne sont plus des pharmacies, mais des grandes surfaces mal gérées.
    Je refuse de les assimiler à des pharmacies.
  • 12/01/2018 à 08:10
    PIPO74
    alerter
    L'ordre doit obtenir et publier la liste des 44 imbéciles ou incompétents qui font que nous ne sommes pas meilleurs que Leclerc alors que nous pouvions tirer un profit d'image de cette affaire.
  • 12/01/2018 à 08:58
    Margt
    alerter
    Manque de sérieux....

    Appât du gain de Lactalis une entreprise très secrète...

    Les faibles trinquent ....

    Les pharmaciens ne veulent pas trinquer ...
  • 12/01/2018 à 09:06
    PIPO74
    alerter
    Si comme le dit Logistone il ne s'agit que de pharmacies en ligne le pire est évité et il ne reste qu'à l'Ordre et aux Syndicats d'agir et de communiquer vers le grand public.
  • 12/01/2018 à 10:29
    BREZHONEG
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    Les officines petites et moyennes n'etant pas concurentielles pour les prix ,ne vendent plus de laits.(sorties du marché,comme disent les discounters ).Les 44 doivent etre des pharmacies obeses ou sur le net.
  • 12/01/2018 à 10:38
    brucine
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    N'importe quoi (comme d'habitude...).

    A partir de quel CA et de quelle typologie de clientèle une pharmacie est-elle obèse?

    Sauf pour les tout petits, il n'est pas très difficile de référencer en direct au moins 1 ou 2 marques de lait à des prix concurrentiels avec ceux de la GMS, certes en en faisant comme elle un produit d'appel et en acceptant de n'y pas gagner grand-chose.
  • 12/01/2018 à 12:58
    pharmaciencensuré
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    Obèse dans le sens surpoids qui pénalise, c'est à dire toutes les officines qui se développe en utilisant les techniques de la GMS.
    Toutes les ventes pour bébé ont alors un panier moyen élevé (à cause du lait à prix coûtant) par rapport au panier vente comptoir mais avec un taux de marque très faible (moins de 10% contre un peu plus de 30%) et tout ceci dans un contexte de ventes nationales en baisse ce qui accentue encore plus le phénomène concurrentiel.
    Le choix du pharmacien professionnel de santé ne peut donc être que l'abandon de la vente des laits infantiles qui ne saurait être pour lui qu'un produit d'appel destiné à attirer le portefeuille des parents.
  • 12/01/2018 à 16:44
    BREZHONEG
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    "En n'y gagnant pas grand'chose",c'est encore trop par rapport aux prix des gms,moins élevés que les prix d'achat chez les grossistes. A part ça, le Moniteur pourrait peut etre nous parler des non*paiements par les cpam;mgen, etc de nos factures télétrans ?Depuis le 1er-01,ça fait 3 bordereaux de suite ,dont le montant est de 1 500e au lieu des 15 000 habituels.Je viens de mettre 5 000 e a la banque en apport personnel pour rester dans le vert.Merci la Secu!!!
  • 12/01/2018 à 17:25
    DariaB31
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    Il n’est nullement questions de la cpam, des remboursements ou des problèmes financiers dés pharmaciens mais de lait potentiellement contaminé qui pourrait nuire à des enfants. Cessez de trouver des excuses aux pharmaciens sans scrupule.
  • 12/01/2018 à 18:33
    brucine
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    Je ne sais pas trop dans quel monde vous vivez.

    Pour une TVA à 5% et depuis que je travaille (ce n'était pas hier ni même avant-hier), la marge des laits (au moins non médicaux) a toujours été comprise entre 10% en fourchette basse et 12% en fourchette haute pour des coefficients multiplicateurs respectifs d'environ 1,17 à 1,20.

    Ce n'est qu'en-dessous (on va commencer à faire un prix GMS-compétitif autour de 1,05-1,07) que l'on commence à "casser de la marge" et l'argument du panier moyen devient alors une argutie puisque, fréquemment (et en opposition évidemment à une théorie de prix d'appel), le client ne prend que ça.

    A contrario, même si l'on ne gagne ainsi qu'epsilon on réalise une vente que l'on n'aurait jamais faite autrement.

    Et l'argument du prix des GMS ne tient pas la route: je me répète, il n'est pas difficile de se mettre à peu près au même niveau, voire en dessous pour certaines marques, le levier du chantage au référencement devenant peu efficace quand certaines marques sont incontournables et que le taux de remise officines est déjà important pour des quantités modestes.

    Il ne faut pas non plus oublier que, au moins en principe, la GMS n'a pas le droit de commercialiser des laits spéciaux (incluant les AR ou appellations similaires), et qu'il est idiot dans ces conditions de scier
    même la (petite) branche sur laquelle on est assis.
  • 12/01/2018 à 18:42
    pharmaciencensuré
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    Faut il il rappeler que le but affiché d'un produit d'appel est d'attirer le consommateur, dans le cas d'un lait infantile c'est attirer les mamans pour les faire dépenser, comme ce que fait la GMS.
    Aucune excuse possible et pour les fautifs une interdiction d'exercer se profile puisque c'est une des sanctions prévu dans le cadre pénal pour les distributeurs.
    L'ordre devrait en profiter pour rappeler les règles de bonne pratiques sur les ventes de médicaments à PMF où les dépassements de la dose d’exonération est monnaie courante dans de nombreuses officines (pas plus d'un traitement d'urgence et pas plus d'un mois de traitement par vente).
  • 12/01/2018 à 18:47
    BREZHONEG
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    On peut parler des 2,Daria b 31.Comme il n'y a aucun lien entre la mauvaise gestion de la Secu et la mauvaise gestion de Lactalis et des 44 officines (sur 22 000),je ne vois pas quelle excuse on y chercherait ?
  • 12/01/2018 à 18:49

    alerter
    Continuez vous êtes sur la bonne voie, la pharmacie devient un commerce comme LECLERC en plus mauvais....
    J’ai l’espoir que les alertes sanitaires sur les médicaments sont suivie comme celle la .
    Ou sont passés les bonnes pratiques déontologiques pour une fois où le circuit aurait pu faire la différence...
  • 12/01/2018 à 19:04
    brucine
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    Vous mélangez les bavettes et les lingettes et me prêtez des propos que je n'ai pas tenus.

    Je ne vois pas ce qui s'oppose à ce que le pharmacien vende des laits infantiles comme de l'OTC au prix qu'il veut ou peut, haut ou bas dès lors qu'il ne vend pas à perte et ne fait pas, par des prix de lots ou la publicité, un découragement indirect à l'allaitement sur les laits 1er âge et dont je rappelle qu'il est prohibé.

    Il faudra que l'on me démontre s'il existe un rapport entre les pharmaciens qui ont failli dans le retrait des lots et la quantité de laits qu'ils ont vendue et à quel prix, vous ne faites que des conjectures.

    Et, si je ne suis pas partisan de montrer du doigt les coupables sur Fesse-de-Bouc (qui semble rappeler aux plus jeunes les "bons souvenirs" qu'ont certains des plus anciens de Vichy, c'est détestable), j'ai cru comprendre qu'ils seraient traduits devant les chambres disciplinaires de l'Ordre et y seraient sanctionnés sans préjudice des sanctions concomitamment infligées par la DGCCRF: cela me va très bien, sauf à penser qu'en certaines circonstances l'Ordre n'a tendance à couper que les branches pourries dont ses membres ne portent pas de rameaux.
  • 12/01/2018 à 19:17
    Potard17
    alerter
    J'espère que les pharmaciens "défaillants" seront poursuivis et condamnés. Comment peut-on se prévaloir d'être des professionnels de la santé avec un tel comportement mercantile et irresponsable?
    Ces 44 "brebis galeuses" font du mal à notre profession en nous assimilant par leur comportement désastreux aux distributeurs GMS qui, depuis longtemps, revendiquent la vente de médicaments OTC!
    Et pour se dédouaner de toute culpabilité, il me paraît plus que léger d'affirmer qu'il doit s'agir certainement de pharmacies en ligne ou de très grosses pharmacies type Lafayette (même si ces dernières n'ont plus rien en commun avec des pharmacies traditionnelles, mais là aussi l'Ordre des pharmaciens devrait faire son travail...)!
  • 12/01/2018 à 19:50
    brucine
    alerter
    On ne peut pas lire dans le marc de café, mais les GMS incriminées ont, elles, le bénéfice du doute dans ce joyeux bordel (au moins 3 ou 4 rappels de lots successifs et contradictoires).

    Chaque fois que je m'y rends (la question a été posée nous concernant sur un autre fil au même propos), j'y vois fleurir sur les portes d'entrée des annonces aux consommateurs les informant du rappel de tel produit X ou Y.

    Ce qui est probable, c'est qu'ils sont bien moins rodés que nous à ce type de procédure que nous subissons à peu près tous les jours via Fax, Mail, intégration dans les logiciels métiers..., et que plus une structure est petite, plus il lui est facile d'être réactive.

    Mon idée à cet égard est donc que les pharmaciens incriminés sont 1000 fois plus coupables que la GMS tant ils n'ont pu, eux, agir qu'en connaissance de cause, et que nous n'avons pas à considérer ce qui s'est ou non passé en GMS.
  • 12/01/2018 à 20:05
    Wybymiel
    alerter
    Je reconnais bien la prose de brucine, qui n'a aucun sentiment pour les parents et les bébés qui ont soufferts de ce très gros problème.
    Elle va nous ressortir comme pour le Levothyrox que les Analyses ont été faite par les réseaux sociaux : " Fesses de bouc " TSH 0,20
    .. # instagram :TSH 5
    !!! .. Hôpital Dijon. TSH : 10
    Pour le même patient ( c'est vrai que les boites avaient changé de couleur). """ Alllllez passssez votre chemin """" (pour rappel )
  • 12/01/2018 à 22:52
    Gronaz
    alerter
    Absolument d accord avec brucine en tout point. Prenez le temps de lire et de relire ces sages paroles ça devrait un peu vous instruire.
    Je suis très certainement bien plus jeune que brucine et en temps que titulaire ayant référencé tout picot il y a moins de 6 mois (oui je sais j ai eu du nez) j ai à peu près du renvoyer 3500€ de stock 15j après le paiement de ma facture ^^
    Cela ne m empêche pas de dormir, je ne vais pas en faire un caca nerveux. Comme tout pharmacien qui se respecte j ai retiré les lots incriminé et j ai isolé par principe de précaution tous les autres lots (applaudissement de la foule en délire). Il est bien sûr honteux que nos confrère n est pas à minima respecté les alertes sanitaires et il faudra une sanction, je ne pense pas que la flageollation en place publique sur "face-De-bouc" soit la solution.
    Mes chers confrères trop pressés de taper sur la gueule du voisin pour récupérer un peu de clientèle, concentrez vous sur le seul vrai ennemi...
    Cette affaire est extrêmement regrettable, et lactalis un grand groupe pharmaceutique et alimentaire ne l oublions pas. Cette affaire signe la fin de picot et je ne pense pas qu'ils l aient fait exprès. Essayons de garder un peu notre sang froid dans ce genre d affaire, il n est jamais bon d hystériser un débat, sauf lorsqu'on est propriétaire d'un média ! Souvenez vous de l affaire du levothyplouf...
  • 13/01/2018 à 09:02
    Margt
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    En Resumé chacun est responsable à son niveau cad du pis de la vache...aux pignottes géantes ,aux matériels de Lactalis ,aux cuves de transports ect...aux mises en boites et à la distribution :commerçants ,magasins des hôpitaux,cliniques,officinaux pour faire des retraits immédiats...

    Il faut savoir se remettre en question car au bout du bout il y a une vie innocente .Tout est question de conscience personnelle.
  • 15/01/2018 à 00:29
    michel75
    alerter
    bonour
    Grosse ou petite le problème n'est pas là . Cela est un problème d organisation si le responsable (titulaires) ne nomme personne(s) pour s 'occuper de ça . Le conseil de l'ordre à bon envoyer plusieurs messages sur chaque poste de l'officine , rien ne sera efficace, les salariés ( magasinier , préparateur , pharmacien, cosméticiennes) vont cliquer sur le bouton pour enlever le message ...tout bonnement. La réalité est là ..pas besoin de grand discours .ou du bla bla sur les médias ...
    Cordialment
  • 15/01/2018 à 07:44
    brucine
    alerter
    On a déjà entendu ça tout au long de cette farce: c'est pas moi, c'est l'autre.

    Rappelons que, aux termes de CSP R.5124-36, c'est le pharmacien responsable (c'est à dire le titulaire ou, en son absence, un pharmacien régulièrement qualifié à cet effet et qui est censé archiver ces alertes après y avoir inscrit les actions qu'il a entreprises et signé) qui est seul qualifié pour traiter ces rappels.

    Il ne saurait y avoir d'autre délégation que d'exiger des autres personnels qu'ils remettent immédiatement ces documents au responsable ou, au moins, lui demandent s'ils les a bien lus:

    En effet, et sauf à imaginer (encourant là d'autres sanctions) qu'à la fois le titulaire et les autres pharmaciens responsables sont au golf, les logiciels métier informent chaque code opérateur.

    Et, à défaut de travailler lui-même, le pharmacien responsable tombe cette fois-ci sous le coup de CSP R.4235-13 s'il ne surveille pas attentivement l'exécution des actes qu'il n'accomplit pas lui-même.

    Rien ne sert donc de botter en touche: en cas de manquement, la responsabilité est entièrement le fait du pharmacien, pas celle du magasinier.
  • 15/01/2018 à 08:59
    Margt
    alerter
    Oui Brucine tout est question de responsabilité...
    - chez Lactalis où les contrôles n'ont sans doute pas été suffisants ...manque d'hygiène....

    - Au niveau magasin de certains hopitaux mais pas de tous ,le magasinier gère et contrôle ces produits d'alimentation comme le lait.
    Le pharmacien ne gère pas ce type de produits .La responsabilité incombe donc au supérieur hiérarchique du magasinier : les contrats de ces pharmaciens hospitaliers excluent donc ces produits donc pas de responsabilité..

    - En officine bien sûr le pharmacien est responsable des retraits - procédures specifiques -
  • 15/01/2018 à 10:16
    PIPO74
    alerter
    T
  • 15/01/2018 à 17:35
    Potard17
    alerter
    La mesure de blocage total lors du passage en caisse, mise en place par certaines GMS et préconisée en pharmacie par les Pigeons pharmaciens, semble tout à fait adéquate pour éviter ce genre de situation catastrophique. Elle devrait d'ailleurs être mise en place à tous les niveaux dès la mise en évidence d'un risque: producteurs et distributeurs (grossistes-répartiteurs, officines, GMS,...)!
    Toutefois, en l'occurrence et constatation beaucoup plus grave, on reste perplexe et atterré quand on apprend que Lactalis avait constaté la présence de salmonelles lors d'un autocontrôle en août 2017 mais n'avait rien dit ni pris aucune mesure. Et, encore pire, les services vétérinaires de Mayenne chargés de contrôler l'activité "déshydratation de lait ou produit laitier", le 5 septembre 2017, ont en fait inspecté les ateliers de production de céréales et délivré à l'usine Lactalis, un satisfecit avec un niveau d'hygiène "Très satisfaisant" mis en ligne sur le site Alim'confiance (du ministère de l'Agriculture) et - a priori - retiré depuis!!!
    Il y a donc eu un lamentable fiasco à tous les échelons de la chaîne; aussi je comprends et partage la colère des parents des bébés contaminés.
    Et il sera certainement intéressant de regarder la TV demain soir, mardi 1§ janvier: sur France 2, Cash Investigation dévoilera une enquête sur le partage des bénéfices dans l'industrie laitière, entre éleveurs et deux groupes français, Sodiaal et Lactalis.
  • 15/01/2018 à 23:22
    brucine
    alerter
    Probablement pas si simple.

    Le fait que des salmonelles aient été à plusieurs reprises décelées sur site ne signifie pas forcément pour autant qu'elles aient pénétré la chaîne de production.

    Je ne roule pour personne, pas davantage ni moins Lactalis que le Mac Do ou le Kébab du coin que l'on voit préparer la malbouffe à pleines mains parfois à l'évidence sales et sans gants, mais on ne peut laisser les réseaux sociaux et les rumeurs se substituer à la justice: attendons de voir ce que seront les conclusions des enquêtes, même si en effet un monde qui ne vit que "d'informations" en 140 caractères aura depuis longtemps poursuivi d'autres chimères et s'en contremoquera lorsqu'elles seront rendues publiques.

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