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Stop ou encore ? Au terme de plus de onze séances de négociations, les syndicats de pharmaciens et l’Assurance maladie sont toujours loin d’un accord dont la séance de signature est prévue pour le 12 juillet.
Selon un document présenté aux syndicats lors de la séance du 5 juillet, l’Assurance maladie met sur la table 255 millions d'euros supplémentaires pour la rémunération des pharmaciens, étalés sur trois ans, dont 92 millions en 2018, 91 millions en 2019, 72 millions en 2020.
Sur les 255 millions, il faut savoir que 198,40 millions sont prévus dans le cadre de l’évolution de la rémunération et 56,6 millions d’euros pour les nouvelles missions comme le bilan de médication ou encore l’ouverture du DMP.
Les deux syndicats jugent ce montant « insuffisant» . « Il ne tient pas compte de l’impact des baisses de prix à hauteur de 200 à 250 millions d’euros sur 2018, 2019 et 2020. Autrement dit, on nous propose moins de 0 % d’évolution », estime Philippe Gaertner, président de la FSPF.
« Quand on met la progression naturelle de l’officine avec le coût salarial et les charges, ce ne sera pas possible. J’ai demandé 300 millions ferme et c’est le minimum », ajoute Philippe Gaertner.
Interpellée par la FSPF lors de la commission des comptes de la Sécurité sociale le 6 juillet, Agnès Buzyn, ministre de la Santé, a précisé que la discussion conventionnelle n’était pas close.
Quelles sont réellement les marges de manœuvre de Nicolas Revel, directeur général de l’UNCAM, à l’heure où le gouvernement annonce un tour de vis sur la branche maladie pour permettre à la Sécurité sociale de retrouver son équilibre en 2020 ?
« Nous allons continuer à négocier avec le directeur général de l’UNCAM. Il faut trouver 100 millions d’euros de plus sur les 3 ans, en mettant en place des honoraires plus élevés par exemple », martèle Gilles Bonnefond, président de l’USPO.
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