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La Journée des pharmaciens adjoints, qui s’est déroulée le lundi 12 juin à Paris a été l’occasion pour Renaud Nadjahi, président de l’URPS Pharmaciens d’Ile-de-France de ponctuer la matinée de petites phrases bien senties.
- « La pharmacie change. Il faut enterrer la pharmacie dite commerciale. »
- « N’ayez pas peur d’approcher le patient, de le toucher.»
- « Pas reconnu à sa juste valeur ? La juste valeur d’un cadre, c’est quand même de participer au fonctionnement de l’entreprise.»
- « Que le pharmacien refasse son job, qu’il ne mette pas plus de temps à vendre un dispositif médical, un complément alimentaire ou une crème antirides qu’à accompagner une ordonnance complexe. Voilà ce que demandent les payeurs ! »
- « Il n’y a pas que les médicaments qui doivent être en libre accès. Le pharmacien aussi doit être en libre service. Passez devant le comptoir ! »
- « Arrivons à prouver ensemble, titulaires et adjoints, que nous sommes un maillon de la chaîne avec les médecins et les autres professionnels de santé. Si on n’y arrive pas, eh bien il y a des carottes à vendre ! »
- « Demander de mettre sur prescription un médicament dont on est le garant (à propos de la codéine, NdlR), c’est fuir ses responsabilités. »
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