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Au cours d’un débat organisé le dimanche 21 septembre par le groupement Giphar, dont le congrès annuel se déroule à Amiens (Somme) jusqu’à ce lundi 22 septembre au soir, les deux présidents de syndicats Philippe Gaertner (FSPF) et Gilles Bonnefond (USPO) ont quelque peu levé le voile sur l’ambiance et le contenu de la réunion du 19 septembre avec Marisol Touraine et Emmanuel Macron, respectivement ministres de la Santé et de l'Economie. Réunion qui, faut-il y voir un signe, s’est déroulée au ministère de la Santé.
Selon l’expression de Gilles Bonnefond, « Emmanuel Macron a posé quatre sujets sur la table : le monopole de la pharmacie, (la vente de médicaments sur) Internet, l’ouverture du capital et les règles d’installation ».
Philippe Gaertner a par ailleurs apporté une précision d’importance : « Nous sommes au début de la discussion, il ne s’agit pas d’une négociation, comme on peut être amené à le faire par exemple avec l’Assurance maladie. On aura peut-être à signer un protocole de fin de discussion, rien de plus. Et là, un rapport de force s’installe dans la phase cruciale qui est celle de l’écriture du projet de loi. »
« L’AMM est-elle toujours justifiée ? Cela se justifie-t-il pour un dentifrice fluoré, par exemple ? ». Voilà un exemple de question posée par les ministres au cours de l’entretien. Deux ministres qui ont cependant montré « leur attachement aux critères de sécurité sanitaire et de santé publique ». Ils ont également affirmé qu’ils seraient très attentifs au risque de désertification pharmaceutique ou de trou dans la raquette territoriale.
Sur le sujet de l’ouverture du capital, Gilles Bonnefond et Philippe Gaertner ont senti une ministre de la Santé plus en retrait. Se dit-elle que ce sujet est plus en lien avec la compétence de son homologue à l’Économie ? Quant à Emmanuel Macron, il semble qu'il prenne désormais le temps nécessaire pour réfléchir.
Mais, à ce stade de la discussion, « personne ne peut dire : tel point est réglé », conclut Philippe Gaertner.
Le groupe de travail de concertation, dont la création a été annoncée lors de cette réunion, doit se mettre en place d'ici une dizaine de jours, pour rendre son avis mi-octobre.
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