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Dans un avis mis en ligne ce jeudi 10 juillet, le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) préconise d’abaisser de moitié le seuil de plombémie qui conduit à une déclaration obligatoire. Il est actuellement de 100 μg/litre, soit la valeur définissant le saturnisme infantile.
Deux niveaux de plombémie sont désormais définis pour organiser la prévention du saturnisme infantile. D’abord un niveau d’intervention rapide pour les plombémies dépassant 50 µg/litre, impliquant la déclaration obligatoire du cas et déclenchant une enquête. Ensuite un niveau de vigilance pour les plombémies dépassant 25 µg/litre. Son dépassement indique l’existence probable d’au moins une source d’exposition au plomb dans l’environnement et justifie une information de la famille sur les dangers du plomb et les sources usuelles d’imprégnation. Ces niveaux de référence seront actualisés tous les 10 ans.
Le HCSP fixe par ailleurs deux objectifs pour 2017 : une plombémie moyenne de 12 μg/litre et une plombémie inférieure à 40 μg/litre pour 98 % de la population.
Des valeurs d’alerte sont également proposées pour les principales sources de plomb dans l’environnement : sols, poussières de maison, eau du robinet. Le HCSP préconise que l’ensemble des données recueillies sur la contamination par le plomb des milieux de contact et des individus soient enregistrées pour constituer une base de données nationale.
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