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Selon une enquête de la Drees auprès de 1136 médecins généralistes, un tiers d’entre eux seulement seraient favorables à la délégation d'une ou plusieurs tâches à un infirmier qui serait rattaché à leur cabinet.
Cette réticence est très liée au mode de financement d’un tel dispositif : la coopération est nettement plus acceptée lorsque l'Assurance maladie prend seule en charge la rémunération de l'infirmier (60 % des généralistes sont favorables à cette délégation, contre environ 18 % lorsqu'ils assurent eux-mêmes cette rémunération).
Sans surprise, l’enquête montre que les médecins seraient moins enclins à déléguer des gestes médicaux ou techniques (frottis cervical, prescription de la mesure du taux d’hémoglobine glyquée pour un patient diabétique, suture…) ou des tâches qui relèvent de leurs compétences réglementaires.
En revanche, ils seraient largement favorables à la délégation de l'éducation thérapeutique du patient diabétique ou asthmatique (90%), à l'éducation nutritionnelle (88%), à la surveillance de la tension artérielle (86%), à l'accompagnement à l'arrêt du tabac (82%), à la vaccination et à l'application du calendrier vaccinal (73%).
Parmi les médecins les moins réfractaires à cette délégation d’actes, la Drees a identifié près de la moitié des médecins de l’échantillon. Il s’agit des praticiens « relativement jeunes » et exerçant plus souvent en milieu rural.
Loan Tranthimy, photo DR
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